Ia mana te nunaa_Bulletin n°116 FT 21 février 1984.pdf
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1
21 no fepuare / févr-ier
Gaston MOUXet Albert
FLOSSE propriétaires
ÊDITORIAL
• Alors que l'ODYSSEE
panse ses plaies à FareUte, personne ne 'sait
encore ce que faisait le
Vice-Président
Gaston
Fiosse sur ce yacht en
compagnie du mi Il iardaire
Calédonien Gaspard Ravel,
gros investisseur dans la
spéculation fonçière et
imnobilière.
Ce que l'on sait par
contre
avec
certitude,
désormais , ce sont les
relations d'affaires qui
existent
entre
Albert
MOux, président des patrons d'hôtels et Gaston
Flosse, puisque tous deux
sont actionnaires exclusif
d'une
seule
et
même
société
la
Société
3
associés
d,e l'Agence
Gaston Flosse et Albert
MOux. On comprend mieux,
dès lors, l'attitude du
Vice-Président pendant le
conflit hôtelier et son
attitude
intransigeante
face aux revendications
des grévistes. Non seulement
il
dëf enda lt
les,
intérêts de son associé
Albert Moux, mais en même
temps, il défendait Ies
siens.
N'en
déplaise
à
MOnsieur Henri Emmanuelli,
la "société de marchands"
qu'il dénonçait naguère,
avec une certaine lucidité
et un certain courage.
cette ·société" se porte
merveilleuse~nt bien avec
à sa tête, un horrmed'affaire très entreprenant
: Gaston Fiosse. En effet,
amais
le
Territoire
"Vahine Tahiti
Travel"
n'avait connu c~tte fièvre
d'affaires qu'il conna tdepuis quelques' mois. La
course à l'Argent semble
dominer notre vie publique
avec encore plus de cynisme et moins de scrupule
que par le passé. L'arrivée en force de capitalistes extérieurs (Calédoniens et Français) aIliés
au jeune mais ambitieux
capitalisme demi, installé
au
pouvoir
politIque,
risque d'inquiéter sérieusement
les
détenteurs
traditionnels du pouvoir
économique
les hommes
d'affaires chinois.
î
Pendant ce temps, les
Conseillers
Territoriaux
de lA MANA TE NUNAA poursuivent
"leur
travail
d'information auprès, des
différents
Services
CD
PRESSE
Cette
Territoriaux.
recherche d'une information
complète
semble
inquiéter Gaston Flosse
qui a essayé d'imposer la
présence, au cours de ces
rencontres, d'un Consei lIer de Gouvernement auprès
d'un chef de service. La
semaine passée, ils ont
rendu visite aux: C.J.A,
pendant toute une matinée~
Quant au Cornité pour
la Paix, il est à la rencontre, tous les soirs,
de
la population dont
l"accueil positif laisse
bien augurer de la manifestation du 25 février
à Papeete et du 10 mars
à Ut ur oa ,
LU POUR VOUS AU J'iERNAL
OFFICIEL
• J.O du 15 janvier
1984, p 28.
Décision N° 2·
A.V
ISLV du 12 décembre 1983
- autorisant la réalistion
d'un lotissement dénommé
-Résidence Loisirs MAIDE"
sis à Huahine, par' M:msieur Frantz Vanizet te.
Les Nouvelles du mercredi 4 janvier 1984.
"Et ude de Maître Solari
Notaire :
Huahine
au district
de Maroe, en bord de mer,
ou avec accès à la mer,
piscine, tennis, warf et
marina en corrmun, 37 lots
de 630 à 1 000 M2, prix
très compëtltifs."
Commentaire
Décidément,
c'est un rapide Vanizette
, L'arrêté autorisant son
lotissement n'est pas encore paru au Journal Officiel (15 janvier) que la
vente a déjà comnencé.
N'oublions pas qu'en affaires, on n'est jamais
assez rapide. Le temps,
c'est de l'argent!
UNE PRESSE
"INDÉPENDANTE
ET OBJECTIVE"
• Chacun commence à ~avoir que la presse écr~te
de notre pays est de plus
en plus indépendante et
de plus en plus objective.
C'est un secret pour personne que Gaston Flosse
a placé à la Dépêche un
commissaire politique en
jupon, Christine Boume,
alias Harmony, alias directrice de Radio Tahoeraa
Api,
alias chargée de
presse
de
la
VicePrésidence, une militante
Tahoeraa, chargée de veiller à la bonne "eondùi.t
e"
du journal.
Aux Nouvelles, par contre le travail de normaU8~tion a été plus diffi-cile, mais que l'on se
rassure, il est en bonne
voie. Ainsi, lorsque ce
[ouxmal., dans son édition
du I e» février, laisse
porter, par un journaliste
anonyme des accusations
très gravea et très explicites à l'encontre de la
gestion de la Mairie de
Taputapuatea, commune dont
le Maire est membre de lA
MANA TE NUNAA_, cela aonstitue, aux yeux du âùt-ectieur
, Monsieur Pugin .. une
libre information de la
part d'un libre jOurnaliste. Mais, lorsque, le
Maire de la commune demande à Monsieur Puqin
d'insérer, au titre du
droit de réponse..un article apportant, point par
point, un démenti argumenté aux aalomnies de son
journal, cela constitue_,
à ses yeux.. "une attaque
pol-i-t-ique
à l'encontre de
Gaston Ploese", impubliable ...
<.
_
La chose est claire
désormais aux Nouvelles
: Toute mise en cause de
la poUtique
de Gaston
Flosse est impubUable,
MEME
S'IL
S'AGIT
DE
L'EXERCICE DU DROIT DE
REPONSE, DROIT FONDAMENTAL
RECONNU PAR LA LOI DU 29
JUILLET 1881.
Ausei, une procédure
judiciaire est en cours
contre les Nouvelles de
la part
du Maire
de
Taputapuatea et nous publions cette réponse jugée
impubliable par le censeur
en chef des Nouvelles.
Voici le texte
Mbnsieur
le Direc-
teur,
Dans votre édition
du 1er février, vous avez
publié un article non
signé, intitulé "Raiatea,
le Nouvel Eldorado ?" Dans
cet article, en page 20,
la gestion de la municipalité de TAPUTAPUATFA est
clairement mise en cause
dans les termes suivants
-Tout aussi retentissant,
est
l'échec
du
projet de FAARlA, gigantesque domaine agricole
territorial, probablement
un des domaines les plus
fe:tiles et les plus mécanisables de Polynésie, qui
aurait
pu
devenir
le
poumon agricole du pays,
si la nouvelle municipalité de TAPUl'APUATFAavait
su, ou pu relever le défi
lancé par l'ancien maire
de la commune M. Guy
Sanquer, qui avait entrepris, sous son mandat, un
vaste et judicieux plan
de développement sans précédent
en
Polynésie.
Aujourd'hui, cette terre
Le domaine de FAAROA.
est, à nouveau en friche,
: il est vraiment regrett a-.
'b le, voire inadmissible,
qu'un tel potentiel soit
voué à un tel gâChis·.
Cette
très
grave_
accusation
appelle
de
notre part
la réponse
suivan te que je vous demande de publier. au titre
du droit de réponse.
1° Le projet de mise
en valeur du domaine de
FAARJA, date en fait de
1982 et constituait. dans
la perspective des élec-t ions comnunales de 1983,
l'atout majeur du
jeu
politique
de
l'ancien
Maire Guy Sanquer pour se
maintenir à sa place de
maire. de TAPUTAPUATFA et
de
leader Tahoêraa de
l'île de -Raiatea. C'est
dans cette perspective de
l'échéance commùuale que
ses amds du Conseil de
Gouvernement prenaIent la
DECISION N° 1230 CG DU 15
DECaiBRE 82 , PUBLlEE AU
JoumAL
OFFICIEL DU 31
DECaiBRE 82, D'AFFECTER
A LA ~E
DE TAPUTAPUATFA 'IOUfES LES TERRES
DU
GRAND
DOMAINE
DE
FAAIOA, (pièce jointe).
Cadeau Royal du VicePrésident Gaston Flosse
à son ami du Tahoêraa. Guy
Sanquer qui devait assurer
sans coup ferir. sa ré-
élection.
Notons
que
l'argument avancé par le
Consei 1 de Gouvernement
pour retrocéder ce domaine
à la Commune était l'incapacité des Services Territoriaux à mettre en valeur
ce domaine et â promouvoir
un développement agricole.
2° Non content de 'cela,
et pour forcer le destin,
le Conseil de Gouvernement
accompagnait cette mesure
miraculeuse d'une dotation
de 20 mi Ilions à une
•AS sS lATION DES AGRICUL~
TEURS
DE
TAPurAPUATFAdont Mons ieur Guy SANQUER
était le Président et dont
le bureau regroupait en
réal i té
les
membres
inf1uents du Tahoeraa de
1a commune (une partie du
bureau de l'association
étai t sur la 1 iste corrrmrnale du Maire sortant Guy
SANQUER)• Ci -j0 int ,la
photocopie
des
deux
.ARREI'ES N° 5 999 Fr DU 28
OCTOBRE 82 El' W 188 Fr
DU 13 JANVIER 83, accordant chacun 10 millions
à cette Association.
Malgré tous ces efforts mérifoires du Tahoeraa, le peuple en décidait
autrement. le jour des
élections municipales. La
malrle changea de locataire et d'obédience.
3° La nouvelle équipe,
une fois installée. reprend à son compte, le
projet de déve1oppement
du domaine de FAARJA _et
s'apprête à
lancer le
lotissement agricole prévu
dans le projet de l'ancienne municipalité. La
seule démarche restant à
remplir était l'approbation par le Conseil de
Gouvernement du cahier des 1
charges du domaine rédigé
par les services techniques•.• une formalité.
Ce
cahier des charges
était transmis en avril
au Conseil de Gouvernement, qui mi t le dossier
sous le coude. Une seconde
lettre de rappel fut expédiée en septembre et le
Haut Commissaire saisi de
l'affaire en octobre. Un
projet de zonning, d'aménagement et d'infrastructure fut préparée.
I
La réponse du Conseil
de Gouvernement arriva le
25 novembre sous la forme
de la DECISION N° 1650 CG
OU 25-11-83 PUBLIE AU
JOURNAL OFFICIEL DU 15
D.ECl!MBRE83. REPRFNANT A
LA a::M4JNE
LES IXMAINES
AFFECTES LE 15 DECaiBRE
82, moins d'un an auparavant. (Pièce jointe).
Entre
temps.
les
Services
Territoriaux
étaient sans doute redevenus compétents et capables
de - rS ttre en v~leur les
domaines sur lesquels ils
étaient incompétents, Il
mois plus tôt. et surtout
le Mai re Tahoeraa, Guy
Sanquer , ava i t perdu son
siège de premier magistrat. Il fallait donc
punir cette commune rétive
à l'ordre TAHOERAA.
Voilà, Mbnsieur le
Directeur, la triste réalité étayée par les preuves ci-jointes de l'action
(suite page 6)
=
Éducation 1
NOS CONSEILLERS
• On en par1e bea ucoup .
Souvent en termes passionnés. l 000 adolescents et
adolescentes en sit uatIon
d'"échec scolaire" "éduqués
par une· soixantaine de
formateurs,
hors
des
structures traditionnelles
du système éducatif, une
expérience qui réussit là
où tout avait provoqué
l'échec.
la cuisine du C.J.A~arçons.de
ginales
de
formation
technique, les C.~.T.A.D
et l-es C.F.A.R (.les concurrents
directs
des
C.J.A).
VOUDRAIT -CJ.l MIElJXEPARPILLER ET G\SPILLER LES
I!NERGIES.LES a:NPETEN:ES.
LES MJ'iENS ET·LES CREDITS
am L '00 NE LE POURRAIT
PAS.
Papeete.
Etabl issements à vocation éducative et de forma tion
t echn Ique ,
les
G.J.A sont rattachés à
l'enseignement
primaire,
alors qu'ils scolarisent
des adolescents de 14 à
18 ans. Il eût été plus
logique qu'ils dépendent
du secondaire ou' du technfque , mais le technique
qui ne recrute qu'à partir
dù C.E.P.E, ne peut pas
englober des C •J .A qui
s'occupent des adolescents'
qui n'ont pas le C.E.P.E.
Aberrations' administratives •.
De plus, le technique·
,est du' domaine de l'Etat
et les C.J.A sont du domaine Territorial, rivali..tésinsensées des coo:pê~
tences. Car l'Etat'-a lui
raus sl ses structures ori-
assurer les adolescents
à
la C.P .S. Il s sont
considérés comme apprentis. C'est 3,5 millions
chaque année. La 1i gne
budgétaire qui figurait
au budget 82 a été supprimée aux budgets 83 et 84.
Résultats
les 3,5 millions sont prélevés sur
le
fonctionnement
des
Centres... sur le budget
pédagogique, autre'scandale bugétaire.
Mais
les C.J.A
ça
marche , Ca marche tellement que ça intrigue tout
le monde. Ateliers construit s par les élèves,
plantation
de
café
à
.Rurutu,
30 000
plants
d'ananas à MOorea, équipements réalisés chez des
particuliers, environ 50
OOOieds de taro plantés
à Teva i Uta.,... chaque
élève quitte le C.J.A au
bout de 3 ans, avec une
somme minimum de 1'0 à 200
000 FCP sur son compte à
'la Socredo. Dans toutes
les communes, les C.J.A
se
développent
rapide~nt •.• trop rapidement,
soupirent les .responsa.bles. Des élèves issus de
Ainsi les C.J .A, c'est
[un peu le canard à cinq
Ipattes du systêlS éduca!tif. Par exemple, les é~èIves des C.J.A qui ont' 14
et 18 ans, ne bénéficient
pas actuellement de hour.ses comS leurs collègues
du secondaire ou du technique parceque les C.J.A
dépendent du primaire •••
et il n'est pas prévu de
bourses pour les élèves'
du primaire. Conséquence
,..
: pour les élèves dont les
parents ne .peuvent pas
payer le repas de midi à
la cant i ne , et ils sont
nombreux dans ce cas,
c'est la .coopëratIve des
élèves qui paie... Scandale budgétaire.
Ce n'est pas un ~8ngster •••.C'est
Mais
tes C.J.A ce
.n'est pas pour autant une
école primaire, il faut
un de vos Conseillers Territoriaux lA MANA TE NUNAA. Il s'informe sur les C.J.A,.mais vous
le droit de le.savoir
CV
VISITENT LES C.J.A.
ous n'avez pas
photos des Conseillers Terri
toriaux en visite". Telles ont été les consignes du Secrétaire Général
du Gouvernement. Seuls les Conseillers Tehoêrea et G. Flosse peuvent
être pris en photo sans problème. C'est pour cela que vous ne reconnaitrez pas vos élus sur les
5e, de 4e et même nous
avons rencontré une élève'
ayant suivi une année de
seconde,
demandent
à
entrer aux' C.J.A plutôt
que de tenter leur chance
dans les structures de
formation techni~ue traditionnelle. Et pourtant,
au bo~t, il n'y a pas de
"diplôme", pas de C .A.P,
pas de B.E.P ••:
Alors, 'certainscommencent à s'interroger.
Les enseignants du primaire d'abord pour qui ces
enfants étaient des incapables, des cancres et des
.Lr r écupër ables , sont tout
surpris devant leur tra.vai1 exposé chaque année
dans le Hall de l'Assemblée
Territoriale.
Ils
sont encore plus surpris
d'~pprendre que presque
tous passent avec succès
et
sans
s'y
préparer
spécialement, les épreuves
du C.E.P.E que l'enseignement traditionnel avait
été
incapable de
leur
faire passer.
De nombreuses institutrices et instituteurs se
sentent interpellés par
cette
expérience,
les
techniques modernes, les
méthodes actives, la démarche coopérative et ils
sont nombreux à vouloir
travailler dans les C.J.A.
Les
enseignant.s du
technique ensuite devant
le succès manifeste des
C.J.A et les difficultés
rencontrées par les L.E.P,
les C.E.T.A.D
et 'les
C.F.A.R, surtout dans les
fIes, commencent à se poser des quest ions sur le
bien fondé de leurs procédures, sur l'adéquation
de leurs objectifs aux
besoins des jeunes, aux
.nécessités économiques de
la vie insulaire et du
déve loppemerrt rural. Nous
formons ·le voeux que cette
interrogation débouche sur
une .remise en· question
fondamentale de la dimension éducative de l'&ole
de
dimension de
C'est pour se rendre
compte sur place de la
réalité du Wsystême C.J.A"
que les trois Conseillers
Territoiraux de lA ~
TE NUNAA,
Peni ATGER.
Jacqui DR)LLET et Jacky
VAN BASTOLAER se 'sontrendus, avec le Chef de
Service de l'Education,
Patrick LEG\YIC sur le
terrain,
vendredi
10
février de 8H 30 à 11H 30.
Reçus à 'l'&ole Normale
par. le Directeur foOOnsieur
DAUBEr
et son adjoint
Mbnsieur TUHEIAVA. ils ont
pu s~entretenir longuement
avec Gérard MDRTEVEILLE,
le responsable de l'"opération
C.l.A"
et
son
adjoint Yves DOUDOUTE.
Après la visite des
structures de formation
C.J.A de l'Ecole Norma le ,
les
trois
Conseillers
Terri toriaux furent reçus
par Roger MARAMt\, directeur du C.J .A-Garçons de
Papeete
et
Emile
TElHOTAATA, directeur du
C.J.A-Filles, dans leurs
établlssemènts où les détai1s de la vie pratique
furent abordés avec les
équipes éducatives. Malgré
une connaissance approfon.die de la réal i té des
C.J.A,
les Conseillers
Territori.aux ont pu,
à cette demi-journée
tretiens,
faire
1
,.
_
1
PRESSE- '(suite de la page J)
1
1
largement
tion.
1Affaires.\
1.
1 Educatlon [(suite)
leur
informa-
Rapellons qu'au cours
de la session budgétaire
écoulée, lA MANA TE NUNAA
aval t proposé sans succès
hélas,
à
l'Assemblée
Territoriale:
1) LA CREATIOO D'LN SERVICE DE DEVELOPPFlvR NNroù
seraient
regroupés
les
structures de formation
non-traditionnelles
(C.J.A,
C.E.T.A.D,
C.F.A.R), compl érS ntatrea
ou concurentes, afin d'assurer une me i lleure coordination des objectifs,
des moyens et des formations, afin aussi d'éviter
la dilapidation actuelle
et la dispersion des deniers publics.
Devant le refus que
nous espérons momentanné
d'en treprendre ce regroupement qui s'imposera tôt
ou tard, les Conseillers
Territoriaux de rA MANA
TE NUNAA avaient alors
proposé :
2)
a) La pr i se en charge
au budget Terri torial des
cotisations C.P.S des adolescents en formation.
b) Le rétablissement
de la subvention de premier équipement supprimée
depuis 1982 et nécessaire
au bon démarrage' des nouveaux C.J.A,
politique de Gaston Flosse
et de sa 'majorité. Ce
n'est pas du tout la commune qui refuse d'entreprendre une action que
nous avons jugé interéressante et que nous ét ions
prêts à poursuivre. C'EST
LE CXNSEIL DE CDUVEBNEMENr
001,
POUR DES
RAI~S
D'AI GREUR El' DE VENGFAlCE
POLITlOOE, A REl'IRE A LA
l'DUVELLE
MAJORITE
CXNSEIL
MJNICIPAL.
MJYmS
DE MENER A
00
LES
BIIiN
CErrE mTREPRISE.
Si votre journaliste
anonyme'
obt ient
le
retransfert
(que
nous
espérons définitif cette
fois)
du
domaine
de
'FAAroA, nous lui promettons la mise en valeur
qu'il souhaite. Le gâchis 1
dont parle et dont nous
1 sorrmes les premiers scandalisés,
n'est pas de
notre fait.
Quant au wdéfi lancé
par Guy Sanquer", le seul
défi dont nous ayons été
témoins à l'arrivée à la
mairie de Taputapuatea a
été un défi aux règles les
plus élémentaires de la
gestion des deniers publics. Ces règles incontournables
veulent
que
chaque dépense engagée de
quelque
n~ture
qu'elle
soit, soit autorisée par
l'ouverture d'un crédi t
correspondant.
Cette règle que t ous
les gest ionnaires publ ics
doivent connaitre a été
largement
bafouée
par
Monsieur Guy SANQUER qui
a laissé, en quittant la
malrle, entre autre, UNE
ARDOISE DE 55 685 463 BeP
'DE DEPIiNSES IiNG\GEES SANS
CREDIT OORRESIUIDANTS.
Ce fa
représente,
Mbnsieur le Directeur, une
dette de 11 mi 11ions par
an à rembourser par la
nouvelle
municipalité
pendant cinq ans. c'est
à
dire
11
MILL lOOS
D'INVESTISSEMENTS EN MOINS
CHAaJE
ANNEE
POUR
LA
OOPULATIOO DE TAPUfAPUATEA, par
la faute du
"Judicieux Plan" de réélection
de'
Mbnsieur
SANQUER et la compl icité
des autorités de tutelle.
Pour
finir,
nous
serions intéressés à savoir par votre journaliste
qui semble si bien documenté, où sont passés les
20 mi 11ions accordés par
le Conseil de Gouvernement
c ) Le renforcemen t du
bureau
pédagogique
des
C.J.A par le recrutement
de' 4 techniciens de haut
niveau.
Nous estimons que les
C.J.A doivent bénéficier
de toute· l'attention des
élus, car cette forme nouvelle et dynamique, déducation et de formation est
porteuse
d'avenir
pour
notre Territoire.
,.,y
,
Des aamarades visitant la mini-aentrale électrique.
à Monsieur Guy SANOUER,
Président de l'Association
des Agriculteurs de Taputapuatea
et
reconverti
depuis peu dans le'tourisme à Maupiti. Ces subventions publiques dégagées
sur le budget local d'investissement,
chapitre
62.01 de l'exercice 82,
n'apparaissant
nullement
au niveau de l'équiperS nt
agr ico 1e de 1a' comnune.
Par ailleurs, si votre
journaliste
souhaite
débattre publiquement des
affaires de la conmune de
Taputapuatea, je me tiens
bien volontiers à sa disposition, pour peu qu'il
décline son identité.
J'airS
bien
savoir
à qui j'ai affaire.
Fait à Avera,
février 1984
le 7
Le Maire dè la'Commune de TAPurAPUATFA
SMITH Charles
~Aux
dernières Nouvelle journaliste responsable de la publicat-ion, Philippe SAVIGNAT
aurait
été
proprement
liquidé par la "direction
financière des Nouuel les..
pour son attitude trop
aritique vis à vis de la
mervei-l-leusepolitique de
Oaetion El.oeee,
Ainsi ..
après MANTELLATO, il y a
à peine un an, exécuté
pour des motifs identiquee, les Nouvelles viennent une fois de plus
d'administrer
la preuve
de la grande liberté laissée par les financiers aux
j,ournalistes..•
Lee ,
Il serait même question
que le magnat chiraquièn
de
la
Presse.. Robert
Hersant rachète les Nouvelles .•. la normalisation
sera alors totale.
-
LES BREDOUILLAGES
DE GASTON
*
Gaston ,Flosse perd les
pédales. Depuis son accident de l'ODYSSEE sur les
récifs de Raiatea, avec
son ami le milliardaire,
Gaspard Ravel, 11 semble
très ébranlé au point de
recourir aux soins de sa
masseuse politique favorite
Christine
EOURNE,
alias Harmony, alias directrice
de
sa
radio
Tahoeraa Api, alias chef
de cabinet de presse de
Flosse lorsque les circonstances l'exigent.
C'est ainsi que dans
la Dépêche du 13 février,
Gaston Flosse a eu recours
à un massage spécial de
son profil politique sur
deux pages sans compter
le SCX).)Pde la première
page du Journal, par, sa
confidente favorite.
Le premier mal dont
souffre
notre
VicePrésident, c'est bien sOr
ce'lu i que, l'on a traité
en derniet : l'Affairisme.
C'est un mal sournois,
rampant, qui se propage
à bas brui t ••• comS
les
rumeurs pub 1iques dont le
proverbe dit qu'elles ont
toujours un f~nd de vérité
et parfois même,
lorsqu'elles viennent à éc1o-
0)
re, il arrive que la vérité dépasse largement la
rumeur.
Mais au 1ieu de traite~:
le mal par une médication
appropriée
l'aveu simpie, comme le fi t en son
temps
l'ancien
VicePrésident,
Françi~
Sandford, en publiant la
liste de ses revnus et ~e
ses rentes, Gaston FIasse
a une fois de plus, essayé
d'enterrer la rumeur sous
des demis-aveux bien pesés
et
orchestrés
par
Christine
Bourne.
Nous
avons
1a
confinna tion
qu'il
s'occupait
jadis
d'Assurances,
mais
que
c'est bien fini, ce sont
ses enfants qui s'en occupent. Quant à l'Agence de
Voyage, ce nlest plus lui,
c'est sa fille. Quant à
Albert Mbux, c'est un ami,
c'est même plus qu'un ami.
Et si le Vice-Président
ne .possède pas d'actions
dans son hôtel, par contre
ALBERl'
MXJX IQSSIDE DES
ACTIŒS
DANS s:Jol AGlH::E
DE VCffAŒ ·VAHINE TAHITI
TRAVEL· appartenant à' la
société Gaston -Flosse et
Albert Mbux, enregistrée
au Greffe du Tribunal de
Commerce le' 7/3/19 dont
nous présentons le fac
similé de la dernière page
du contrat.
Ainsi,
il n'est pas
sans intérêt de connaitre
Affalresj (suite)
la nature des liens d'affalrE~s
1iant
le
VioePrésident
du Conseil
de
GouverneJDent et le Président du syndicat des hôteliers pour apprécier
l'attitude
du
Gouvernement
100al face aux revendications
des
grévIstes
de
l 'hotellerie
a qui Gaston
Pl os se , al ias Albert M:nv~
REFUSAIT l'horaire
de
travail
qu' il
ACCEPl'AIT
Pour acceptl!tion
d'accord sur le projet de
Consul tation
Populaire
proposé à la réunion de
'l'Internationale
Social iste de Bruxelles par lA
MANA TE NUNAA. sur la présence du CEP.
Le
second
ma1 dont
souffre
le Vjce-Président
est
un mal encore plus
grave' : ce 1ui de 1a danse
de Saint
Guy. En effet,
après avoir pris un virage
à 180
sur les pr obl èrS s
s t a t ut a l r e.s, vol là notre
V.P qui s' apprête à faire
de même sur le ÇEP. Les
amateurs
d'aèrobaties
aériennes
et de contorsions apprécieront.
Devant
le succès important de lamob l l Lsa t ion
antL«
nucléaire.
organisée
par
le Cornité pour la Pai x.,
Gaston Fiosse se sent une
âme démocratique et serait
0
• La so If de pouvoir de
Gaston Flosse semble infinie. Il ambitionne de TOUl'
<:XNI'RJLER.Nous avons vu
Finies
les
grandes
envolées
sur
les
·bien-,
fai ts
ëconœntques "
et
l' lnocui té des expér.iences
dont
le
Tahoeraa
aval t
de" tonctions do o&rante
Photocopie file la dernière page du oontxrat: de la société
Gaston Plasse et Albe:rtMoux.
deux mois plus tard pour
les personnels de l'EDf.
L'ŒIL DU CHEF'
fait
son
crédo
depuis
vingt
ans...
finies
les
manoeuvres et
Les chantages aux 8 WLLIARDSFCP
réclamés
au Gouvernement
Central
à l'avènement
du
Gouvernement
Socialiste,
désormais,
et
sous
la
poussée
des
évènement s ,
Gaston Flosse se di t prêt
à réclamer UNE ~SULTATIc;JiI DES POLYNESIENS. qui
plongerait
à coup sOr,
selon ses dires d' il y a
quelques
mois,
la
Pol ynésie dans le marasme
éconciDique et la régressi~n de ~
que l'a~tonouùe interne
devait
nous
conduire à la guerre civile
et
à
l'anéantissement.
.f2_ui sezt la @}Jou'C~eoisie
~e sea pas les hommes!
que dans
le
cadre
desmédias,
son affaire
est
én bonne voie : RrA, Dépêche. Nouvelles,
il
voudrai t. bien RFO, mais pour
l'instant
c'est
impossible,
alors
il
crée
l'Agence
Territoriale
de
la comnunication audiovi-sue l Le , Sa petite
télé à
lui,
qui
est
chargée.
entre
autre,
de préparer.
sa propagande. de le suivre dans tous ses déplacements
démagogiques,
aux
frais
des
contribuables
du Territoire,
qui en sont
pour 91.100 millions
de
leur poche !
Il -y a quelques jours,
Gaston Flosse
s'est
mis
dans la tête de contrôler
aussi ses Chefs de Service, lorsque ceux-ci reçoivent la visi te des Conseillers
Territoriaux
de
lA
MANA TE
quoi a-t-il
Flosse ?
NUNM...
peur
De
Gaston
Nous
avons
aussitôt
demandé des explications
au
Haut
Commissaire,
responsable de la fonction
p~blique
dans le Territoire.
21 no fepuare / février
Te mau tià arata'i
EIOMUARAA
~Aita
faahou a "ODYSSEE"
nia i te taviriraa i
Fare Ute, ua pou 0 ia i
roto i te miti e ua tapiri
atu i piha'i iho i te vahi
tata'iraa pahi a te nuu
farani. Aita atoà e pahonoraa i te uiraa
"Eaha
mau na te t umu i paiuma
ai 0 Gaston FLOSSE i nia
i teie pahi a te hoê ona
miria taratoni ?" Te vahi
papu ra 0 te mau auraa ia
e vai nei i rotopu ia
Gaston FLOSSE e 0 Albert
MXJX te peretiteni 0 te
mau ona hotera rarahi i
0 tatou nei. Mea papu, i
te rS a, 0 raua toopiti i
roto i te hoê taiete, te
taiete "Gaston FLOSSE e
i
o Albert MXJX· 0 tei ma'.iri atoàhia i
te 10a
-Tahiti
Holidays·,
oia
atoà
0
·Vahine Tahiti
Tours·. l teie taime te
papu maitai ra te feia
rave 'ohipa hotera i te
turnumau i pat0'i uàna ai
o Gaston FLOSSE ·i ta ratou
mau aniraa i te hopeà
matahiti 1983.
Areà
ma'itia
ra
te mau. tU
lA MANA TE
NllNAA, te rave tàmau nei
ratou i te farerei i te
mau t I faatere 0 te mau
pu ravera~ 'ohipa e vai
nei i Papeete, noa atu te
mau haatafifiraa 0 ta te
Apooraa Hau e faatupu nei.
l te hepetoma i mahemo,
ua farerei atu na mero
à
0
0 te
TOMITE NO TE HAU
Apoo~aa Rahi too toru i
te mau p~ FAA Ul (te
C.J .A.) e te pu faatere
o te mau 'ohipa moana e
vai nei·i Fare Ute.
Te tere a t oà, nei .te
Tamite no te Hau i te mau
•
po atoà no te farerei i
te Nunaa, no te haamaramarama , haafer~ri e he lpunI
mai ia na i nia i te niu
o te tomite : ia faa'orehia te tupitaraa àtani i
o tatou ne i , Mea mai tal
te mau farereiraa e mea
anaana t aè te taatoàraa 0j
te mau parauparau.
Etai '0 mai 'outou i
taua mau t urnu parau ra i
roto i teie nei veà· itl
ta tatou.
TE TOMUTE NO TE MAU
*
Ua haapapu te mau taàt i raa , mero 0' te Tomi te
no te Hau tei haamauhia
l te 2 no fepuare 1984,
i to ratou mana' 0 turu i
te àroraa i Patifita nei
i te 'ohipa àtomi. Te ani
tuutuu 'ore nei ratou ia
faaèa te C.E.P e te C.E.A
i ta raua 'ohipa tamatamataraa àtomi i Por InetIa
nel.
1 ta ratou hi'oraa, ua
haamauhia teie mau 'ohipa
fifi no te oraraa i te
matahiti 1963 i Porinetia
neI, ma te ani-ore-hia te
mana' 0 0 te Nunaa , ia au
mai tei faahepohia no te
hoê 'ohipa f if i. Mai te
2 mai no te âvaè tiurai
1966, oia, mai te haapaa-
'inaraahia te tupita àtomi
matamua i MOururoa, ua
noaahia e 41 tupita i
paa' Ina i roto i te reva
e, e 58 i paa' Ina i raro
i ,te repo.
Eita tatou e tuatapapa
i te 'ino e te mau fifi
ta te àtomi e faatupu no
te oraraa 0 te mau' Nunaa
e no .t e fenua. E 'ohipa
te reira na te mau àivanaa. Teie ra, e ui te mana'o, e aha te tumu te
faatereraa 0 te Hau Farani
i onoono ai e haamau i te
hoê pu tamataraa àtomi i
rapaè i Farani, noa atu
e moni rahi te pau, no te
atea te vahi tamat araa
àtomi ? Ua tata'i àhuru
te moni e pau, ia au i
teie faanahoraa.
la au i ta ratou hi'oraa, te tiàturi nei te mau
taàtiraa mero 0 te Tomi te
no te Hau e ua haafifi roa
te C.E.P i te 'imiraa faufaa a te Fenua Ma'ohi, ua
haafifi atoà i te mau au~aa e te fenua êê, ua haafifi '1 te faahoturaa 0 te
fenua, inaha, mea tipee
te f aufaa a te Fenua
Ma'ohi i p iha 'i iho i te
Hau Farani e faufaa taparu.
Eita roa te C.E.P e
arata'i i te Fenua Ma 'ohi
i nia i te êà no te hoê
fenua tupu maitai e te hoê
fenua e ora ia na iho. Taè
mai i teie mahana, aita
ta te C.E.P e faufaa papu
i faatupu ei maitai no te
Nunaa. E faufaa ra e marau
o'io'i noa, e faufaa faatianiani no ta na 'ohipa,
ua tihepu te C.E.P 10 000
Ma'ohi, i teie mahana e
7 700 taata i vaihohia.
Te toe nei e 2 300 Ma'ohi
,e 'ohipa nei a no te
C.E.P. Teie ra, aita ratou
e faahotu nei i te fenua,
e aita i roto i te 'imiraa
i te mai tai no te fenua
e no te mau huaài e no a
nanahi.
No reira, ua ineine te
mau mero 0 te Tomi te no'
te Hau 'i te ferur i e te
faatereraa 0 te Hau Farani
no te 'imi i te raveà mono,
i te "ohipa a teie e 2 300
taata.
Te "faufaa C.E.P", te
tumu hoê roa i fif i roa
'ino ai te faahoturaa 0
te fenua e te oraraa vaamataèinaa. 1 teie mahana ,
te 'itehia nei e ua rahi
roa te,fifi e aita te taatoàraa 0 te Nunaa e fana'o
nei. E âpoo to ropu i te
mau pupu taata e noho nei
i roto i te oire e te mau
pupu taata 0 te mataèinaa,
to ropu i te mau
â e te mau
pupu taata ma'ohi, e area
to ropu i te mau rave
'ohipa a te Hau e te mau
rave 'ohipa eère i ta te
Hau, e area atoà to ropu
i te f e i a i fana'0 i te
faufaa a te C.E.P e te
rahiraa 0 te Nunaa tei àmu
noa :i te huàhuà e teie e
parahl nei i roto i te
hepohepo no te nava'i 'ore
i te toata. E uàna roa atu
a teie mau f if i e, e âmaha
t_evaamataèinaa Ma'
* •• **
Te a~~ta'iraa parau a
Paul ARAI.
.*.**
E anaanataè rahi to te Nunaa i
tiàororaa a te TOMITE NO TE HAU
i
te mau
Ua papu i te mau taàtiraa mero 0 te Tomite no
te Hau i teie mau fifi e
i ravehia e, te Apooraa
Rahi a te Etaretla Evaneria i te âvaè âtete 1983.
E rahi noa atu a te 'oa'oa
mai te mea e rahi faahou
mai te taata ~ te mau Et~retia e haapapu i to ratou
mana'o e ani la faaho'ihla
te C.E.P. Ua haapapu atoà
teie mau taàtiraa e rS a
tano ia valhohia i te hit!
te mau mana'0 tahit ohito
e te mau mana'o e tupu ai
te âmaha i rotopu ia ratoua Ei raveà no t e- àro
âmui ia faaho'ihia Ihoa
te C.E.P i roto I te hoê
taime poto noa, no te'mea
ia 'ore, e fifi noa atu
a te oraraa i nia i te
Fenua Ma' ohi .
la au i teie hi'oraa,
oia la haa âmui e t l a ai,
te pi i, nei te mau taâtiraa
tmero 0 te Tomi te no te Hau
i te mau vahine e te mau
tane e au mai, la taàti
mai no te hoê faanahoraa
Q_ato'1 i te àtomi i faataahia no te mahana maa
25 no feEuare, hora 8 i
te EO'iEo'i, i te fare Hau
no Paeeete.
:_ _]_re 1
~ -
[fAATITI~fFARORAA
~
NA fE-APOORAAOIRE NO TAPUTAPUATEA
.,.
.Te
'ite papu nei te
teia tai '0 veà i tele
mahana. 1 te pi'oraa ia
na veà e pit I, te -Depeche- e te -Nouvelles· i
mua i te mau hinaaro a
Gaston FLOSSE. Te vai nei
te vahine ra 0 Christ ine
BJURNE i te ·Depeche· 0
ia atoà te faatere 0 RrA
(Radio Tahoêraa Api) e vahine vahavai (*) i te mau
'ohipa atoà 0 ta G. FLQSSE
e faatupu. AreA ra i te
"Nouve Ll es " ua tafif i la
i te matameha'i. ua roa'a
ra ia ·FLOSSE i teie taime
i te tiàvaru i te mau papa'l veà auraro 'ore i ta
na mau hinaaro, i tià atoà
ai i te "Nouve lLe s" i te
pl'o i mua ia na.
1 te hepetoma i ma'iri,
ua haaparare te hoê papa'i
veâ 0 te "Nouvelles· i te
hoê parau faa'ino e aa i
te huru 0 te faatereraa
o te oire no TAPUTAPUATFA
i te paè hitià 0 te ra 0
Raïatea. 1 mua i teie mau
parau tià 'ore e haavare,
ua putuputu te Apooraa
Oire .no TAPUTAPUATEA e ua
faataè i te hoê pahonoraa
i te veà "Les Nouvelles·.
Ai ta 0 FLOSSE i au. aita
atoà te veà i pia. Ua farerei roa te tavana i te
hüitie no te faahepo i te
veà ia pia, aita atoà i
f ar Ll hLa , ua taataahi te
ona veà i te ture. No
reira ua mana'o te veà lA
MANA eiaha roa te parautià
ia mou, ia 'ite ra·te taatoàraa i te huru mau 0 te
faatereraa 0 to tatou fenua i teie mahana. A tai'o
mai i te rata pahono a
Tehare SMITH, t avana oire
no TAPUTAPUATEA.,
E te faatere e,
1 roto i ta oùtou veà
no te mahana matamua no
fepuare, ua neneihia hoê
parau tei ma' irihia i te
ioa ra "Raiatea, le nouvel
Eldorado ?". Te faahapa
1 ra
teie parau, tei neneihia i te àpi 20, ~~ te
'ohipa a te Apooraa Oire
o Taputapuatea mai muri
nei :
"Te tahi parau peàpeâ
~ te 6puaraa ta te tavana
oire' tahito, 0 Guy Sanquer , i rave na i to na 1
tau. 1 teie mahana, te vai
nei teie fenua i roto i
te àihere e mea peàpeà no
te mea, ua mauà ia fenua".
E faahaparaa fifi teie.
No reira te ani atu nei
matou ia neneihia ta matou'
pahonoraa ia au i te
faauèraa a te ture.
1) Te ôpuar aa no
te f aaho-
- Te fenua FAAROA roa, teie ua 'ino roa te
6puaraa no Faaroa, teie
fenua faaàpu i fatuhia e
te faatereraa 0 te fenua,
no te mea te tahi fenua
maitai mau teie no te
'ohipa faaàpu e te tahi
fenua 'ohie noa teie i te
faahotu ia au i te mau
raveâ âpi. Penei aè paha
e riro t e i.e fenua ei pu
no te 'ohipa f aaàpu i 0
tatou nei ahani te âporaa
oire âpi no Taputapuatea
i 'ite aore ra i haafaufaa
'CD
aroa, no
tu
i haamata
te
ai e i te taime ma' itiraa
oire no te matahiti 1983,
ua riro 'teie ôpuaraa ei
mauhaa por i t i ta na te tavana tahito 0 Guy Sanquer,
no
to na hinaaro
ia
• e vahine vahavai : 0 te
hoê ia vahine vaha monamona no te teuteu e haamai tai i
te tahi atu
taata.
ma' iti-faahou-hia 0 ia ei
Tavana no Taputapuatea e
ei raatira no te Tahoêraa
i Raiatea. Teie te tumu
rah i , oia te ma'itlraa
tavana, i rave ai to na
mau hoa 0 te Apooraa Hau
i te faaotiraa n° 1230 CG
no te 15 no titema 1982.
tei neneihia i roto i te
,veà a te Hau no te 31 no
titema 1982, e horoà i
roto i te oire 0 Taputapuatea te taat oàr aa 0 te
mau fenua 0 Faaroa. E taoà
faatau aroha arll na te
Mono-Peretiteni
Gaston
Fl osse i to na hoa no te
Tahoêraa 0 Guy Sanquer tei
tiàturi roa e ma 'itifaahou-hia 0 la. E tià ia
haapapuhia e te mana'o ta
te Apooraa Hau i tuu mai,
la na i horoà i teie fenua
na te oire e haapa'o teie,
elta e maraa 1 te mau piha
'ohipa 0 te fenua i a faahotu i teie fenua e ia
faafaufaa i te 'ohipa faaàpu.
2) Aita i nava'i i reira,
e ei raveâ eiaha ia tafifi
noa aè, ua faataa atoâ te
Apooraa Hau hoê tuhaa moni, 20 mirioni farane. na
te hoê "Taàtiraa feia faaàpu no TaputapuateaB pere-I
titenihia e Guy Sanquer,
âreà te mau ruero 0 te tomite faatere ra, e mau
mero ia no te Tahoêraa (te
tahi wau mero 0 teie tomite tei nià atoà ia i te
tapura ma'itiraa oire a
te tavana tahito, oia 0
Guy Sanquer). Tera mai te
hohoâ no na faaotiraa e
piti i ravehia, n° 5999
Fr no te 28 no .ât opa 1982
e n° 188FT
no t e 13 no
tenuare 1983, no te faataa
i te taime hoê 10 mirioni
farane na teie taàtiraa
ta tatou e faahiti nei.
Noa atu a teie mau
'ohipa faahiahia ta te
Tahoêraa i rave, ua faaoti
Te mau ito àpi : na te pape e horoà i te uira (haamata'ita'iraa na Peni ATGER)
te nunaa i te mahana ma'ii ta na faaotiraa.
Ua taui te taata e parahi
i te fare hau e ua taui
atoà ta na titeti.
ti raa
3) 1 to te âporaa oire âpi
parahiraa i nià i te parahiraa, ua tapura 0 ia ei
'ohipa atoà na na, te
6puaraa e faahotu i te
fenua Faaroa e ua haamata
e tatuhaa i te fenua ei
tenua faaàpuraa, ia au
ihoa mai ta te Apooraa,
Oire tahito i faanaho.
Te mea noa i toe, te
parau faatià ia a te Apooraa Hau.,. e 'ohipa oti
noa ia. Ua tuuhia te parau
haapapuraa i te 6puaraa
e ravehia i roto i te rima
o te Apooraa Hau i te âvaè
eperera, teie ra, aita e
faaotiraa i raveh i a ; l te
âvaè tetepa, ua papa 1 ihia
te pitiraa 0 te rata i te
Apooraa Hau no te faahaamana' 0 ia na e rave i te
faaotiraa e ua faaâraatoâ-hia te Tomi tera Teitei ,i teie 'ohipa i te
âvaè âtopa. Ua faaineinehia te parau faataaraa i
te mau 'ohipa e faanahohia
no teie ôpuar aa , 1 te 25
no novema, teie te pahono-
'CD
raa a te Apqoraa Hau, tei
neneihia i roto i te veà
a te Hau no te 15 no titema 83 ra, taaotiraa N°
1650 CG no te 25/11/83,
eita te oire faahou te
haapa'o i te mau tenua tei
horo'ahia i roto ia na i
te 15 no titema 82 ra,
oia, aita i matahiti roa.
Eita atoà e 'ore e ua
mana' ohia e maraa teie
'ohipa i te tenua ia rave,
noa atu a ia e , 11 âvaè
na mua iti noa aè, ua tiàturihla e, elta e maraa
la na ia rave. Ino roa
atu, eère te tavana Tahoêraa 0 Guy Sanquer te mana
faatere i te oire. No'
reira, e ta'iri i teie
oire i 'ore i pee faahou
i te faauèraa a te Tahoêraa.
Tera ia e te faatere,
te haapapuraa mau no te
'ohipa peâpeâ roa e te
pereraa poritita ta Gaston
Flosse e te paè rahi e
rave nel , Tera atoà mail
te mau parau haapapuraa
e aha mau na te 'ohipa ~
tupu. Eère roa atu te oire
tei 'ore e hinaaro e faatupu i teie 'ohipa, ta na
i mana t o , e mea' faufaa ia
rave-hope-roa-hia,
Te'
1
ëire '
FEU
'p_arau api hopea
IApooraa
Hau,
no to
na
e no to na mana'o
'tahoo,
tei
'ore
i horo'a
.ma I i roto i te Apooraa
Oire âpi i te mau mauhaa
le tupu, ai tele ôpuaraa.
I 'ino'ino
Mai te mea e noaa i ta
oe ,papa'i
veà ioa 'ore,
i te 'imi
i te raveà e
faaho'ihia
mai ai te fenua
Faaroa na te 'oire
e haapa'o,
te poro'i
atu nel
matou e , e haa matou no
te. faatupu i te me a. ta na
e hinaaro ra. Te parau ta
na e parau ra e, ua mauà
te taime e ta matou a toà
e peàpeà nei,
eère
i te
ôpuaraa na matou.
Te 'ohipa
faahiahia
e
parauhia
ra,
ta Guy Sanquer i rave mai, hoê anaè
ta matou i 'i te, ia matou
i taè mai i te Fare Hau
Taputapua tea,
oia hc i ,
laita
e haapapuraa
no te
moni a te Hau i f aa oh i>
.pah i a ,
la
au
mai
tei
matauhia,
hou e faa'ohipa
.a I i te moni, mea faataa
na mua e aha te 'ohipa e
Tave.
;0
t
Ua papu i te mau t ià
o te Hau, mai te mau tavana, teie
huru faanahoraa
e aita
0 Guy Sanq~er
i
haapa'o
i te reira,
ua
ôfati
ra i te ture e ua
vaiho mai hoê âpoo, e 55
685 463 farane moni i pau,
alta i taahia mea na hea.
la
'ite
mai oe e te
faatere,
ia numerahia,
e
pau Il mlrloni
farane
i
te matahiti
no te faaho'i
1 te moni i pau. Na te
Apooraa Oire âp-i te reira
e àufau,
no te maororaa
e paè matahiti,
Il mirioni
farane
i roto i te âfata
a te Nunaa 0 Taputapuatea.
Te tumu, ua 'imi
noa 0
Sanquer
tane
i te raveà
e ma' i ti-faahou-hia
ai 0
ia ma te tauturu
a to na
UA TAHOE TE MAlTA:
1 ROTO
1 TO RATOU PUTE
*
Ua tere roa te mau tià rauti i TAPUTAPUATEA.
mau hoa,
e aita
i manuia.
Ei ôpaniraa,
te hinaaro
roa ra matou, ia faa' i te
mai to outou papa' i veà,
inaha ia hi' ohia, ua 'i te
mai tai 0 ia i te tereraa
o te 'ohipa,
e tei hea te
20 mirioni
f ar ane ta te
Apooraa Hau i horo'a
ia
Guy Sanque r ,
peret i teni
o te taàtiraa
a te feia
faaàpu 0 Taputapuatea,
tei
f aa ' ohipahia
no te 'ohipa
fariiraa
ratere
i Maupiti.
Ai ta i taahia
e tei
hea
teie
moni a te Hau' tel
E fenua maitai no te faahotu
faataahia
ei moni no le
'ohipa a te fenua,
irava
62.01 no te matahiti
82.
Aita roa teie moni e '1tehia ra i roto
i te mau
faa'ohiparaa
no te faaàpu.
Taa noa atu te reira,
mai
te mea e hinaaro to outou
papa'i
veà
ia hohorahia
te parau no te 'ohipa
a
te oire i mua i te arc 0
te taata,
ua' ineine au no
te farii
ia na, ia faa'ite
mai ra 0 ia 0 vai 0 na.
Me a a u na ù i a 'i tee
o vai to mua ia ù.
FAAROA.
1 roto
i te v'eà a te
hau no te 31 no tenuare
1984 e i te àpi 72, ua
piahia te ioa a.te hoê pu.pù. àpi 0 tei ma'lrihia
i
te ioa "Aupupu no te mau
rnut o ' i 'no Pi rae e 0 Papeete".
Ua tupu te hitimahuta
i te
tai'oraa.
Ua
piri
anei o'Gaston
FLOSSE
e 0 Jean JUVENTlN ? No
reira
ua ti torotoro
haere
te veâ lA MANAno te 'imi
i te parautià,
e'ua
'itehia mai. Eère roa atu i
te hoê tapiriraa
i rotopu
i na t'avana oire
toopiti
no Pirae, e no Papeete,
aita
e aita
roa atu.
E
pereraa
ra
na
Gaston
FLOSSE i te moni a te NUNAA.
Te haamana' 0 ra ta tou
i te ma'itiraahia
i te hoêl
tino moni 62 mirioni
i te
'tapura
tereraa
faufaa
1984, no te t ihepu mai e
30 muto'i
no te tiài
ia
FLOSSE. Ua rave oioi mai
o FLOSSE i taua moni ra
no te àufauraa ia i te mau
muto' i no Pirae.
E taui
noa i te ahu, e parau atu
ai,
e mut 0 'i no te ti à i
i te Apooraa Rahi e te
Apooraa Hau. Aita
atura
te oire no Pirae e àufau
faahou i te mea na teie
62 mirioni
a te Apooraa
Rahi,
oia e moni na te
Nunaa , e àuf au i te mau
muto'i no Pirae.
o te hoê a teie pereraa
a te tià
faatere
no te
Tahoêraa
Huiraatira
faa'ohu i te Nunaa , De teie
eère ne i i te 'ohipa,
oe
teie
eère nei i te mon!
âvaè mai tai , te ' i te ra
ia oe i te huru mau 0 te!
mau faatere
no teie mahana~ te huru mau no te mau
ti:à f aat e re. 0 te Tahoêraa
Huiraatira.
E tahoê i te
aha ? Te mai tai i roto i
to ratou mau pute !
TO TAINA MAT"
mai te mata i hi 'opoà,
1
tapapa,
i haava ia Taina
i te taime a tapa~ahi pohe
ai 0 ia ia Apera ?
Ua haere
roa
0
G.
FLOSSE i te faahepo i te
mau rS ro Apooraa Hau, eiaha ia fari i i te mau farereiraa
i rotopu i te mau 1
t i à ma' it i a 0 lA MANATE
NUNM e te mau faatere
piha 'ohipa a te hau e vail
nei i 0 tatou.
Eaha ta nal
e riàriâ
nei ? Te vai ra
anei te tahi atu mau 'ohipa 0 ta na e hrnaar o ra
i te tahuna ? Ai ta anei
o i ait
i t ur i i t a .na mau
raàt~ra
piha
'ohipa
?'
Ahani,
a faa' i te mai -na
oe e Gaston TAlNA, eahà
te tumu to mata i fera ai
i'
.Aita
'e 'otià
i te hinaaro f aa tere a FLOSSE
Ai ta aè reà "oh i pa 0 ta
na e 'ore e hinaaro
i te
hi' opoà , Ua ot i te par au
no te mau veâ papa' i " tel
nia atura
0 la
i te veâ
paraparau e te pu haapurororaa
parau
âpi no RFO.
Ua tama ta 0 ia i te faa
û atu,
ai ta ra i manui a '
i te mea e mana na te Hau
Farani. Aita 0 ia i haaparuparu,
ua haama' i t i 0 ia
i ta na mau teuteu
i te
Apooraa
Rahi
e., 91,100
mirioni'
farane
patifi ta
no te faatià
i ta na Iho.
E moni na te Nunaa no te
faatietie
i te hoê anaè
taata !
Ai ta anei teie mata a
FLOSSE, teie pu haapurororaa
i te poritita
a te
Tahoêraa.
e riro ananah i ,
CD
à
1
1
?
TE TIAVARURAA NUI
.Mai
te
tiàvaruraahia
i te taata ra 0 MANTELLATO
i te matahi ti
i ma' Lr i ,
o ia te raàtira
0 te mau
papa' i veà i tera ra tau
i te veà "Les Nouvelles",
ua tiâvaru-atoà-hia,
i te
hepetoma
1 maherno,
te
raàtira
0 te
mau papa'i
veà
i mono mai ia na,
maoti ra 0 P. SAVIŒAT.
,Ua faatoroâhia
te hoê taata âpi,
0 M. François
to
na ioa.
E taata
te Ie . no
Farani
roa mai, mai roto
i te pu .a te taata
ra o'
Robert HERSANTfat u no te
hoê fai to rahi
0 te
mau
veà farani,
e taata
piri
roa
ia
Jacques
CHIRAC,
Peretiteni
0 te RPR, papa
faaàmu a Gaston FLOSSE.
Te 'i te ra oe e te Nunaa
i te huru 0 te raveraa a
G. FLOSSEe ta na mau hoa,
ai ta 0 ia i farii
noa aè
ia piàhia
i te hoê parau
eère i ta na. Eaha to oe
manao ?
TE UURU A TE MONO PEREYIYENI
*
Te hoene (*)
nei 0
Gaston Flosse. E riro paha
na te iriraa 0 te pahi ra
o "ODYSSEE" i nia i te'aàu
no Uturoa i faatupu mai
i teie paruparu to te
Mbno-P~retiteni. E ia hoene 0 ia. e pii atu ia
Christine Bourne, te vahine vahavai 0 ta na i faatoroà i te veà -La Dépêche- no te taurumi mai la
na. 0 te 'ohipa ia i tupu
i roto i te veà no te 13
no fepuare.
Te ma'i ma tamua roa ,
o te huru ia 0 ta na mau
1 Imi raa , te huru 0
te auhoaraa i rotopu .La na e
te mau ona no te fenua nei
e no rapaè atoà. E no te
paruru ia na, aore ,0 ia
e faa'ite i te par au t t à,
e 1 imi ra i te mau raveà
no te tahuna i ta na pereraa. A hi'o na tatou i ta
na mau pahonoraa
GFA,
tei roto 0 ia i te matamua
ra, aita faahou ra i teie
ne I , 0 ta na rat ama i t i .
Société en nom collectif "G. FLOSSE & A. r-IOUX"
dénommée "VAHINE TAHITI TOURS"
au ca~ital de 200.000 francs CFP
SiAge social
Papeete, Doulevard Pomere, centre
Valma
R.C.
: Papeete n ? 688-D
·Vahine Tahiti - Tours·
ua vaiho atoà 0 ia i roto
i te rima 0 ta na tarnahine. A taè hoi ê ! A
tai '.0 mai i te àp i hopeà
o te parau mana a te taiete "Vahine Tahiti Tours",
aita i taui, eaha e haavare ai ? Mai te peu e,
aita faahou 0 ia i roto,
eaha te tumu i vai noa ai
to na ioa i piha'iho ~ te
ioa 0 Albert MOux ?
Teie te àpi 0 te parau mana a te taiete a Gaston FZosse
e tona hoa 'ona 0 AZbert MoU$.
N°270 du 27/02/1979
FLOSSE & A. IvDUX" conteDEPOT DU PRCX:ES-VERBAL
nant Transformation de, la
de la décision collective
société en Société
Resextraordinaire des assoponsabi1 ité. "TAHITI'IDLIciés de la S.N.C~ "G,
DAYS"
-à
~;=>
"Ci.lon
v:sx=;
.
~
-
Pour Acceptœtion de~ tODctio~. de virante
. ,u0~
f'OI/"" .• J
. Rarb.r".
1I'1.ll~~fJ'
Te piti 0 te ma t I , 0
te mau t ipuu-taùe-raa la
o te âveià a te Tahoêraa
Huiraatira. Te haamana'o
ra tatou i te aàmu 0 te
papature "Autonomie Interne" 0 ta te Tahoêraa i
pa t o 'i e 0 tei rira hoi
i teie mahana ei âveià
poritita na na. Hoê mahana
mea teatea e I te mahana
i muri iho, mea èreère ia.
Ua na reira atoà 0 Gaston
Fiosse i te tiàraa 0 te
C.E.P.
I nanahi ra, te ani ra
te Tahoêraa Huiraatira e
8 mlrla farane patifita
i te C.E.P. E tapa'o te
reira no te fariiraa i te
tupitaraa àtomi iota tou
nei. l teie mahana, te farii nei te Mbno-Peretiteni
i te pee i te mana'o 0 lA
MANA TE NUNM e te mana'0
o te TOMITE NO TE HAU, ia
faatupuhia i te 'hoê uiuiraa mana'o i nia i te tiàraa 0 te C.E.P. 0 te huru
mau teie 0 te pit i 0 te
ma'i a Gaston Fiosse, maoti ra 0 te oere-noa-raa
ma te âveià papu 'ore.
A taa noa atu i te
reira, ua 'imihia te paho-no a Gaston Flosse i te
t umu mau 0 to na tiàraa
i nia i te pahi ra 0
·ODYSSEE" i iri i Uturoa•
Aore rea e ahehe i faaroo-noa-aè-hia. Eaha ra
pa' i ?
haere
• Hoene
paruparu, matima'i.
(!) tei teuteu i te ona, aoze oia e tavini i te nunaa.
Gf;aut ciNi:;uzn
maàu ,
Fait partie de Ia Mana : bulletin de liaison du Ia Mana te nuna'a du 17 novembre 1983 (n° 111) au 20 mars 1984 (n° 118)