SPAA_48W_1671.pdf
- extracted text
-
POLYNESIE FRANÇAISE
BILAN
1961-1965
V
ANNEXES
STATISTIQUES
J k A A,
■''POLYNESIE FRANÇAISE
—
I
1961-1965
■
BILAN
ENSEIGNEMENT
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V..,
V
Evolution de la population
ANNEE
1911
1921
1926
1931
1936
1941
1946
1951
1956
1962
POPULATION TOTaLE
POPULATION I
26 500
31 700
35 800
40 400
44 000
51 200
55 734
62 828
73 600
84 550
Population de la Ville de Papeete : 19 903.
11800
11800
14200
16800
19000
23200
24820
30500
36326
45430
-
2 -
3°) La croissance des effectifs des enseignements primaires, secondaires
et techniques
:
Les effectifs de 1*enseignement primaire et leur accroissement
au 1er janvier de
chaque année
Années
Public
Privé
Total
1951
1956
8 282
3122
4111
11 404
1957
1958
1959
I960
196 i
1962
1963
1964
10 635
10 854
10 941
11 246
12 062
12 360
13 088
14 292
14 867
Taux d'augmentation
14 746
14 580
15 095
15 864
Public
Privé
:
111$
Total
;
88$
6106
16 934
17 730
18 851
20 398
6604
21 471
3726
4154
4618
4872
5370
5763
:
79$»
9
Les effectifs de 1 1 enseignement secondaire et leur accroissement
Années
Public
Privé
Total
1946
63
231
1951
111
1956
1957
360
333
346
409
475
168
174
498
661
704
721
1958
1959
1960
1961
1962
1963
1964
Lesi
601
882
1 155
1 408
893
1 110
1 255
1 398
1 465
Taux d'augmentation
285
858
994
1 050
1 130
1 368
1 711
2 137
2 553
2 873
Qffectifà de 1 enseignement technique
Public
%
2069$
Privé
:
772$
Total
î
1143$
e
Années
Public
Privé
Total
Taux d'augmentation
1960
1961
129
172
72
201
par
82
255
268
1963
1964
237
247
89
185
326
432
rapport à i960
Public
Privé
Total
91$
156$
114$
?
J
$um
conjugués de locaux et de personnels
10 ) ikgs besoins en personnel de I'
enseignement -primaire public
-
A la rentrée de septembre 1964 sur
près de 500 classes. 190 postes
ont été pourvus par des suppléants nantis du C.ETP.3 et munis d’un
OOurte formation pédagogique de base. Trois semaines
après la rent:
10 postes demeurent inoccupés.
Pendant les quatre dernières années, il a été recruté et formé
beaucoup
de suppléants. La auasi-ma.iorité d’entre eux ont
quitté le service.
Sont partis les plus actifs souvent,les plus jeunes presque toujours,les
jeunes gens ou les jeunes femmes pour des raisons diverses, ceux qui
se sentaient exilés dans des îles ou des
archipels éloignés de ceux
où ils avaient grandi et qui ne voulaient pas attendre leur mutation.
Les suppléants destinés à enseigner sur postes fixes dans l'archipel
des Tuamotu percevaient un traitement pendant leur stage de formation.
Les suppléants, annuelp bénéficiaient je stages de réimprégnation
rémunérés. Il faut avouer que, dans l’ensemble, si quelques bonnes
volontés ont été reconnues et encouragées, la dépense a été grande, pour
de maigres résultats : démissions assez nombreuses, rendement médiocre
-
Les effectifs des, élèves, le nombre des classes ouvertes par conséquent,
ont augmenté plus vite que le nombre des instituteurs .sortant du Cours
normal d’élèves-maîtrès,. L’on peut poser comme rapport habituel qu’il
aété ouvert chaque année,depuis quatre ans#deux à trois fois plus de
classes qu’il n'a été formé de titulaires. Le record est détenu par
la rentrée de 1964
ï
70 classes ouvertes. 23 élèves-maîtres sortants.
La solution d'avenir sera sans doute fournie par la
décentralisation de l’enseignement secondaire ou assimilé. En I960,
il n'existait qu’un établissement secondaire public à Papeete,éet)
cinq établissements privés également au chef-lieu. Depuis I960 il a
été ouvert cinq établissements secondaires publics,
à raison d’un
par archipel, un 6ème est prévu pour la rentrée de 1965, et des
classes secondaires fonctionnent près de deux écoles privées des
archipels.
Les quatre archipels excentrAaue.S-._dQivent préparer
leurs futurs instituteurs. Un Cours,.-IjormaL.vient déjà d’être ouvert
a
ïïturoa. Chef-lieu de l’archipel des Sous le Vent
La première
promotion compte 15 élèves.
(l8 000 habitants)
2°) Le manque de locaux
-
Le dénombrement des besoins pour
1’enseignement primaire public
aboutissait, pour les cinq années à venir,à 238 classes à construire
ou reconstruire, et 77 logements, à la fin de l’année 1962. Les
rentrées de 1963 et 1964 ont dépassé les prévisions. En septembre
1964, il a fallu ouvrir 70 classes dans des maisons de prière des
confessions protestante ou catholique et dans' des cases construites
•••/•*.
Service du Patrimoine
TABLEAUX RESUMES DES SITUATIONS DE L » ENSEIGNEMENT
AU 1er JANVIER 1961, 1962, 1963, 1964
(extraits des statistiques détaillées adressées au Ministère dJEtat)
NOMBRE d1ETA¬
BLISSEMENTS
I
-
NOMBRE DE
CLASSES
NOMBRE
d’ELEVES
RESULTATS AUX EXAMENS
( jttî n i960)
BACelè et:
B.E..P.C. :
:
6è-Lour se s
2èparties :
:
.
:
A
ANNEE 1961
P
A
] 41
13
C.A,P.
P
A
C .E.P.E
P
A
33QJ
220 ° 460 * 267
P
A
a) ENSEIGNEMENT
PUBLIC
Secondaire
Technigue
Primaire
15
601
1
12
172
118
324
12 360
20
13
: 23
16
'
b) ENSEIGNEMENT
PRIVE
Secondaire
•
1 110
Technique
1
Primaire
15
115 ' 96
83
141
16
; 14
5 529
357
■; s
:
V
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287
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NOMBRE D1 ETA-
BLISSEÏIENTS
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NOMBRE DE
:
CLASSES
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NOMBRE
D » ELEVES
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!RESULTATS AUX EXAMENS ( Juin 1962)
•
:
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B.E.P.C.-
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6e -Boluses • C.E.P*E,
C.A .p.
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PUBLIC
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Secondaire
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5
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Technique
Primaire
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2
17
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•
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125
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s
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s
36
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14292
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,'309 « 200
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473 ° 298
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Secondaire
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J
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CLASSES
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Secondaire
o
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•
•
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f
9
Service du Patrimoine
4
par les populations pendant les vacances. L'accroissement considérable
du budget d'équipement en 1964 a été amorti
par la date tardive
d'exécution du budget, par le manque d'entreprises
disponibles, et
par l'insuffisance de moyens du Service des Travaux Publics. La
construction d'écoles ou de classes par les diverses
missions,
dans
la ville de Papeete, où
l'enseignement primaire
public était déjà
minoritaire, constitue un palliatif aux difficultés de scolarisation
dans une ville en pleine expansion. Mais les
enseignements privés
qui se substituent à la puissance publique pour les investissements
en milieu
urbain, se sentent de plus en plus, à juste titre, investis
d'une fonction également
publique. En milieu rural, l'enseignement
primaire public reste seul en face des problèmes.
Dans l'enseignement secondaire,même crise de locaux.
La construction de la cité scolaire du second
tranche
degré
(1ère
en
1965, pour 600 millions d'anciens francs) devient absolument
pressante.
L'enseignement secondaire privé catholique se dégage
des classes primaires élémentaires annexées
qu'il reconstruit ailleurs.
Les collèges protestants sont à l'étroit
malgré de récentes extensions.
c) L'intervention de la métropole
secondaire et
:
le rattachement de
1'enseignement
technique public à l'Education nationale*, conséquences î
1°) La prise en change par l'Education Nationale
Pendant la période 1961-1965, la situation juridique de l'enseignement
secondaire public a évolué considérablement : paiement des
personnels
enseignants du Lycée Paul Gauguin à Papeete, par l'Education Nationale,
du 1.1.1962 au 51.12. 1963,
puis, en 1963;subvention de 25 millions CP
pour le paiement des personnels enseignants des C.E.G. et- du
C.E.T.j
publication du statut du. Lycée Paul Gauguin transformé en lycée d'Etats
^avec C.E.T. annexp. le 5 décembre 1963; prise en charge de l'internat
du Lycée P. Gauguin à partir du
1.1.1964, de tous les enseignants des
C.E.G. et des personnels de surveillance.
-
Les
dépenses *en capital de l'enseignement secondaire
b technioue
T'T~tionale.
Les dépenses, rie fonctionnement de
profondément modifiées.
r
l'enseignement public ont
,
LeTe^itoir^po^iiggg^^^lusc^ue p^elrlas^dâ.
v
4îu
2°) L'importance de l'aide apportée :
-
en
dépenses de fonctionnement
:
personnel et matériel
\: 195 fonctionnaires et agents émargent au budget
de l'Education nationale
40 professeurs de lycée,
depuis la rentrée de septembre 1964, dont
17 professeurs de collège d'enseignement
technique, 45 professeurs de C.E.G., 40 surveillants d'externat et
d’internat, 52 agents de service fis catégories diverses. Le total
/■
G'G0
des traitements est évidemment très élevé
matériel :Le lycée d’Etat Paul Gauguin, qui, seul encore,
bénéficié egalement de l’aide
a reçu en crédits d’enseignement
matérielle,
et biens divers
d'équipements pour 37 155 214 de francs pacifiques
pendant l’année 1964* le Collège d'enseignement technique qui lui est
annexé£ profité largement de cet influx.
~
30) Conséquences pour l'enseignement secondaire privé
Par compensation, le Territoire qui subventionnait les
enseignements
priyégL, primaire et secondaires sur une base uniforme,, a augmenté en
T sur la base des titres réels des personnels, les subventions'"^
accordées aux enseignements secondaires privés pour
la rémunération
de leurs
enseignants.
4°) Le développement de 1'enseignement technique
C'est un élément capital. En 1965. l’Inspecteur Général COURTOUX
vivement recommandé de donner iiri_aiage--i-gr].p.mp-n-h
technique d’un niveau
plus élevé, à un nlus gram nombre d’élèves, qui trouveraient ensuite
des débouchés en métropole et dans les pays du Pacifique en
quête de
main d’oeuvre qualifiée. La 1ère tranche du nouveau
a
lycée sera consacrée
uniquement à l'enseignement technique industriel (_?-000 m2 d'ateliers).
L’implantation du C.ÏÏ.P, et des entreprises qui travaillent pour lui
accentue les besoins. Dans le cadre de la réforme de
l’enseignement
technique, une préparation du C+À.P. en deux ans sera mise sur pied
pour les titulaires du B.E.P.C., ou d’un niveau équivalent. L’enseignement
technique hôtelier, nouveau venu, est à sa deuxième année d'existence.
L’on prévoit
déjà d'augmenter la capacité du Centre d’Apprentissage
hôtelier. L'enseignement technique commercial est donné à un bon niveau.
L’enseignement -privé a fait un effont ; enseignement commercial
au
Collège de Jeunes filles Anne-Marie Javouhey, école technique
protestante à ïïturoa_.
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d) La présence du Centre d’expérimentation du Pacifique et du C.E.Â.
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Ils ont provoqué l’arrivée de nouveaux élèves, assez peu pendant
l'année 1963-1964, davantage pour la rentrée de 1964. Le C.E.P. et les
entreprises qui travaillent pour lui invitent à élever le niveau de la
formation technique et à augmenter les effectifs des promotions du
Collège d’enseignement technique industriel. Le C.E.A. a fourni un hangaratelier, fait des remblais pour augmenter les aires de travail du
technique, et donne des machines-outils récupérées dans ses installations
de Prance
ou
du Sahara.
LH,b OBJECTIFS DU ELAN
1961-1965;
LES REALISATIONS
BUDGET LOCAL et FILES
:
(section locale)
~
*•
—•
»»-
••
•
!
••
•
Rappel du plan FIDES précédent pour 1’ enseig:
_c
a) La motivation
1°) Le précédent Plan établi par le Service de l’Enseignement analysait
la situation dans 11 enseignement
primaire :
-
-
-
-
très fort pourcentage de
scolarisation,
large primauté de l’école publique,
qualification insuffisante du personnel,
qualité inégale de l’enseignement distribué dans les archipels,
et dans
-
-
-
l’enseignement secondaire et technique :
concentration de 1'enseignement secondaire dans le
Chef-lieu,
prééminence en nombre de l’enseignement privé au niveau des
établissements du second degré,
capacité d’accueil insuffisante des établissements secondaires
publics nar rapport à l’infrastructure primaire.
2°) Le précédent Plan avait été fondé, dans la jrantige de l’essor..
demographiqu^"^Tune part, et de l’insuffisance des ressources budgétaires
au
>
Territoire, d’autre part, sur une réforme profonde î la scolarité
à mi-temps, dont rien ne garantissait qu’elle pourrait être appliquée
Cette prise de position avait deux: conséquences
>locage,du nombre: de
ans,
-
importantes
s
classes.(etJ du nombre d’instituteurs pendant
réduction des investissements, dans l’enseignement
primaire,
à la reconstruction des écoles vraiment
trop vétustësT" ou à la
construction d’écoles spéciales en vue de remédier aux insuffisances
des résultats scolaires dans certaines
régions (type : école
inter-iles. avec internat, prévue à Fakarava pour les
Tuamotu)•
‘
rW
3°) Les projets dont il était envisagé de proposer le financement au PILES
découlaient de ces considérations
-
-
-
-
-
:
construction d’un C.E.G, à ïïturoa, avec internat
construction d’une école primaire avec internat
45 000 000
aux
43 000 000
'Tuamotu
(Fakarava)
déplacement du Collège d’enseignement technique
(Ecole technique) de Papeete
reconstruction et extension de l'école primaire
vétuste de Pirae (banlieue de Papeete)
construction d’un C.E.G. sans internat à Taravao
TOTAL
:
27 000 000
7 400 000
7 000 000
129 400 000
-
7 -
b) Etat d’exécution des opérations prévues sur FIDES, section locale
1°) Le Collège d1enseignement général d'ïïturoa :
En fin d'exécution. Il comprend 5 bâtiments, soit 15 salles
de classe et des dépôts, 4 laboratoires et des salles de
collection,
vaste réfectoire, des dortoirs,
(240 places
des sanitaires
extérieurs et intérieurs, un préau. Un 6ème bâtiment est commencé
un
environ),
(5 salles de classe et dortoir au dessus). Le bloc administratif et
l’infirmerie avec logements au dessus doit être commencé en 1965«
Il restera à construire des locaux pour les
enseignements manuels
(garçons et filles), des logements de professeurs, et à aménager le
terrain de sports (à partager avec les sociétés
sportives civiles).
2°) Ecole primaire publique de Pirae :
Elle peut
être considérée comme achevée.
3°) Autres opérations :
Tuamotu : projet remplacé par
üdgèt locaïl à Rangiroa, Hao. Makemo
e
Déplacement du Collège d’enseignement technique î projet annulé
par celui de l'Education nationale, à la suite de la
en charge du
prise
Secondaire et du Technique.
-
K''
-
-
+?
Collège d'enseignement général de Taravao
même observation
:
des opérations nouvelles ont été intercalées
_
Service d'Hb
:
celle du Centre
-
imr-i
seule ville de .Papeete,
-
celle
sur
FIDES des
années 1961, 1962 et 1965 de plusieurs écoles ou classes aux Tuamotu,
aux
Marquises, aux Iles Sous le Vent et à Tahiti :
-
-
-
-
-
-
école à 1 classe de Vaipaae
école a 1 classe de Motopu
école à 1 classe de Àhe
2 classes à Makemo
2 classes à Punaauia
5 classes à Paea
..*/*
t
s
• •
-
c) Réalisations/sur budget local
1°) Enseignement public :
4 classes à Arue
(Tahiti)
1 classe
Rapa (Australes)
1
classe à Mataura
2 classes à Faaaha
(îles Sous le Vent)
1 classe à Poutoru
(îles Sous le Vent)
1 classe + logement à l'école de Hane
"
"
1
"
de
1 classe à Hauti
(Australes)
1961
(Marquises)
Hanaiapa(Marquises)
(Australes)
Ecole de Faâa (1ère tranche)
Ecole de Papara (3
classes)
Ecole de Tehurui(2 classes +
logement)
Ecole de Tevaitoa (2 classes)
Ecole de ïïakatao (l classe +
logement)
logement conseiller pédagogique des Iles Marquises
Ecole de Anaa (l classe)
2 classes à Maraa
Ecole de Maupiti (l
classe)
Ecole de Katiu (l classe)
1962
instituteur à Atuona (Marquises)
Logement
"
"
à Apu (îles Sous le Vent)
Ecole de Raivavae (2 classes)
Classe de 6è à Tubuai (Australes)
Ecole de Faâa (2è tranche)
Ecole avec internat de
Pairoa(Tuamotu)
Logement instituteur de Puarnau (Marquises)
I»
de Tefarerii (îles sous le
Vent)
n
fl
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de Parea
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de Faanui
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H
de ïiaupiti
n
de Hipu
(îles sous le Vent)
2 classes à Parea
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2 classes à Avera
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1 classe à Faanui
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1 classe à Anau
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1 classe à Vaiaau
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1 classe à Apu
1 classe à Tapuamu n
1 classe à Apooiti "
1 classe à Avera
(Rurutu - II®
logement instituteur de Motopu.
1 classe à Atuona
1 classe + logement à
II
tî
n
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1963
Australe^
(Marquises)
(Marquises)
Hanapaoa (Marquises)
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J
Service du Patrimoine
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8
-
-
Ecole de Tepoto (l classe) + logement
Ecole de Faâa (centre) 10 classes
Ecole de Papetoai (l classe)
Ecole de Paca (2 classes)
Ecole de Papara (3 classes
Ecole de Patio (l classe)
Ecole de Faaaha (l classe)
Ecole de Petuna (l classe)
Ecole de Tehurui (l classe)
Ecole de Maupiti (l classes)
Ecole de Vaitape (2 classes)
Ecole de Haamene (l classe)
Ecole de Faanui (l classe) + logement
Ecole de Anau (l classe)
Ecole de Tubuai (l classe,)
Ecole de Vaiuru (l classe)
Ecole de Tiputa (2 classes)
Ecole de Hakahau (l classe)
d'instituteur à Paie
Logement
!î
"
h Hakahetau
1964
2°) Enseignement jgr y e s
•
/
j.
a) enseignement privé catholique :
Collège La Mennais (cuisine, salle de sciences.
et laboratoires
d'enseignement)
artisanal école de Taiohae
Enseignement
b) enseignement privé protestant
—
—
—
HI
-
Collège Viénot (laboratoire)
"
Pômare (enseignement ménager)
Internat de Taravao (équipement
mobilier)
Enseignement ménager d'Uturoa (équipement mobilier)
REALISATION DE L «ENSEIGNAIENT PRIVE, SUR
FILES,SG, POLLS PROPRES
Enseignement privé catholique
w
C-roupe scolaire Ste Thérèse et St Paul à Taunoa
(Papeete
Ecole de filles et école de
garçons : .3.0 classes sur FILES
1961, 1962 et 1963 et sur fonds propres
-
Ecole Notre-Dame des Anges de Paâa
Anne-Iîarie
JavouheT.^(3 classes et bloc sanitaire) PILES 19
Internat de Taiohae
r.v'vfï
*
(8 classes) JF ILES 1962
•••\
{■ bâtiment à étage ) PILES 1964
9 -
-
6 classes à l’Ecole de la Mission
1
préau
"
1 dortoir
n
10
(annexe du Collège Javouhey
de Papeete)
Collège Anne-Marie Javouhey
au
1 bloc sanitaire de 28 privés
à l'Ecole Ste Thérèse de Tauhoa
4 classe.s à l’Ecole des Soeurs de Raiatea
ces
opérations sur les fonds propres de la Mission Catholique.
Enseignement privé protestant
Ecole ménagère d’Uturoa
(bâtiment à étage ) sur FIDES 1961, 1962, 1964
Internat de Taravao (dortoir, et réfectoire) sur FIDES 1962, 1963, 1964
en
1961 finition du Col1
(transformation d’une salle
de fêtes en 6 classes, bureau et salle de musique)
P omar e-Vi en ot
ouverture de classes
provisoires à Taunoa
(8 cl.)
dernières opérations sur les fonds propres de la Mission
Protestantes„
ces
,
»
Enseignement privé adventiste
construction en 1962,
à 3 classes.
entièrement sur fonds propres,. d'une__école
Enseignement privé de la Mission de l'Eglise de Jésus Christ des Saint s
des derniers jours
construction
en
1964, entièrement sur fonds propres, d’une école
à 12 classes, bureaux et locaux divers.
IV
-
PARTICIPATION DU BUDGET MUNICIPAL
La Municipalité de
•
•
q
.
■
Service du Patrimoine
\
i'J.
■
.
Papeete entretient les écoles qui sont
sa propriété (constructions ou
réparation de clôtures, de WC, peintures
diverses) et se prépare à construire, avec une aide du Territoire, l'Ecole
primaire de plus de 20fIclasses de P^tutoa, destinée à remplacer l'Ecole
primaire publique dite de la Mairie (7 classes).
'
—*
„
Fait partie de Bilan statistique de l'enseignement pour les années 1961-1965