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extracted text
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Papeete le 5 jjjars 1929
*c
Rapport sur la situation Vfyy*
public
d© 14 enseignement
!
.
».
-*
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à Papeete.
h
LE CHEF DU' SERVICE DE L INSTRUCTION PUBLIQUE
COLONIES(INSPECTION CONSEIL DE
A MONSIEUR LE MINISTRE DES
■
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I
L'INSTRUCTION
•
PUBLIQUE)
h
Avant
i
■
j
ment public
U
i
garde contre toute initiative préei-
en
\
,
#
tée,et 3e ne devais vous présenter un projet précis qurà la suite
-
.1}
m*aviez don-
vous
à Papeete et pour proposer les améliorations nécessaires,
m4aviez d1ailleurs mis
^
’
départ pour la Colonie,
né des instructions spéciales pour étudier la situation de 1*enseigne¬
us
r
mon
dfun
Après plus de trois .ans de séjour dans la colonie,
examen.
mur
3e me crois en mesure de vous donner une vue exacte de la question,
et d*établir un
projet de réorganisation rationnelle; c}est l4ob3et,
présent rapport*
du
•*», - J
•
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.
A*- LA SITUATION ACTUELLE*
J
Ci-dessous montre
La sta
seignement public et laïque est étouffé p
r
qu1à Papeete, 11 en¬
14enseignement confession-
nel
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Enseignement privé
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Liste des écoles
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Enseignement public
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Liste des écoles:
Effectif
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Effectif
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Ecole Centrale
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Ecole Communale
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Totaux*
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‘163 :142:
*
305
Total x...
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Aux écoles de filles est annexée
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•
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u
‘1
%
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502* 508*
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i
une
classe enfantine.
1—
,
*
eu s
1010*
»
Ainsi,
1315 élèves inscrits aux écolœs de Papeete^,
•
sur
•
fréquentent les écoles publi*
soit moins dfun quart,
305 seulement,
d’écoles officielles^ furent maintenues après la création des écoles
•
•
.
«4
publiques, et de toute évidence restèrenttun obstacle au développement
»
écoles catholiques et les écoles protestantes*
'
• ' .
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‘ !
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défavorable
•
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mer le
à
développement régulier. Cette
son
école, dite ’’centrale’^ est située tout à l’extrémité S-0 de la ville à
*,
•
,
'
V
.
caractère confessionnel de ces écoles lèur
prè® fixe. A ^apeete, catholiques et protes¬
égal;
tants sont sensiblement én nombre
sans
•
.
litique plus que religieuse, et
V
*
_
les plus ardents
est de recruter des élèves*Tous les protestants,et tous les catholi¬
de la classe aisée(colons,
ques
du centre* Pour
pour
pres
commerçants, industriels, gros fonc¬
'
D’autre part, les
9
*
V
*
*
4
'
•
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».*••’"
à cette installation. Et puis pour en écarter sûrement.les fils et
qufau^ourd’hui la tenue des internats y soit excellente, l’école garde
‘
.
>
|
une
réputation suspecte au point de vue moralité, et des parents m’ont
*
••. •
séparation des églises et de 1’Etat, en 1904—I$05; les autres
loi de
<
•
*
*
'
(
•
1
-
'
eux-mêmes é1evés-Une école nouvelle connaît
maîtresses- qui les ont
*
_
*
%
i*
.
public
i
i
V,.
Pour
couronner
cette
oeuvre
d’hostilité à l’enseignement
•
-
.
*
est donné, ils n’y enverraient pas leurs fîlhs*
y
école/s- quelquefois aux maîtres ou
rents confient leurs enfants aux
*
-,
•
déclaré que tout en reconnaissant la supériorité de 1 ’enseignement qui
’
*
4
-,
i
depuis plus de quarante ans* 11 est naturel que les pa-
existaient
aisée, très attachée au:£ pratiques extérieure^.© la
profitèrent abondamment, parfois avec des apparences de raison. Bien
aancienneté: les écoles publiques nfont été créées qu’après la
leur
Général des terrains pro¬
réunit dans le meme local l’internat de garçons et l’internat de fil¬
on
écoles confessionnelles bénéficient de
«
tout effort si léger soit-il, cette question est d’importance. On
les; c’était prêter le flanc à de fâciles critiques; les concurrents en
1
-
connaît le caractère de la population, sa répugnance
religion, et très rigoriste, au moins pour la forme et les apparences,
sont guère peuplées que par
de pauvres gens*
les boursiers et des enfants
qui
filles de la. classe
matérielle, une propagande efficace en,faveur des écoles con-
fessionnelles*Mos écoles publiques n®
!
-eût pu trouver dans le voisinage du Secrétariat
tionnaires) .exercent par 11 exemple, et souvent par une pression mora¬
le ou
.
grand soin, en installant les écoles privées de les placer toqt près
eu
qui aboutit à constituer'pour chaque
religion une clientèle dévouée,dont un des soucis
~
près de 1200 mètres du*centre principal de population, alors qu’on avait
être en lutte ouverte,
à une concurrence très active, parfois très aprf, po-
ils se livrent
ingénié à
gênante que possible pour les écoles privées en sus¬
citant toutes sortes d’obstacles
assuré un effectif à peu
•*
•
personnel enseignant, le Gouvernement d’alors se soit
la rendre aussi peu
nulle*
Et d’abord le
v
•,
créées nous—mêmes,ou sur lesquelles notre action est
nous avons
•
on
créa uh diplôme dit ^Brevet local d’enseignement” bien à la
.
r
toujours des débuts difficiles et se développe
•
•
.a.
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_
sultats*
*
\
vant 1904
•
r
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r
■. ;
y'
•
lentement, surtout
»
dirigées et obtiennent des rév*
'
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.
«,.
t
•
,
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.
*
re, dont
qui a-
étaient subventionnées par Ta Colonie et fdisaient figure
pour
remplacer le Brevet élémentai-
la préparation devenait trop difficile pour les maîtres de l’en-
i
seignement privé
.
J’ajoute que les.écoles des Frère*s et des Soeurs,
,
portée des école^s confessionnelles,
:
xi les écoles concurrentes sont bien
.
•
•
*
instituant l’école la plus importante, celle qui possède un cours complémentaire et qui est chargéede for¬
à des causes profondes que
C’est qu’elle tient
encore.
.
1
•
Enfin il semble qu’en
ans a été fréquemment plus
depuis
vingt
i
;'**
"
••
La situation
.y
•
;
entre les
de celles-ci.
.
les trois autres quarts se répartissent à peu près également
ques,
souvent- âgés
et peu instruits
Enfin, s’il fut impossible de continuer à subventionna-
les
écoles privées sur le budget de la Colonie, puisque la loi s'y opposait
1
'0
permit à la Commune de Papeete de leur.témoigher*ses faveurs par une
on
subvention qui s’est
©
été réalisée
&
"garotte©" ri*a vécu que grâce aux bour-
,
îormémént
•
boursiers; le Cours complémentaire ne recrute que quelques externes de la
ville; on peut dire que toute la classe aisée, celle qui a en mains les
affaires et
partie de 1«administration
une
f
•
•
* -t * yWl
^
/;
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.
...
)
en
France dans Jun grand nombre
d’établissements, con-
décrets ministériels n) X et XÏIÏ du ïer 0ctobss>
1926^
et à
l’arrêté du 23 octobre 1926, qui fixent les enseignements coir?-
muns
et les programmes.
sera
On y lit notamment".» » *. une partie de 1«en¬
donné en commun aux élèves des classes de 6è, 5è,4è,
'
»
3è secondaires et à
ceux
de l’année
années d’enseignement, primaire
a“papeete ùn noyau de population indépendant, nettement
M
elle a dé-
comme
•
*
_
.
publique échappe totalement à notre éducation* Aussi le Gouvernement ne
trouve-t-il pas
aux
seignement
celle qui forme l’opinion
,
V.
j
i
accordées par la Colonie; plus des deux tiers des internes sont des
ses
*
y
•
1«enseignement secondaire se réaliserait facilement,
(T
i
’
i
perpétuée^ et qui s’élève actuellement^. 30*000 francs
L * école Centrale ainsi
©y, t(a fuslèn de 1 « enseignement primaire supérieur et de
■
âème inclus
-Wù Jai4U Huù^mA çxÀcumI -diAic-uu avec,
1|Auu
tera sur la langue et la
"
préparatoire, des 1er© 2è et 3©
supérieur*Cet enseignement commun por¬
littérature française»
aWMtgn*»,.»—I I" ■nfr WHI WI’I •
acquis aux idées laïques, sur lequel il puisse appuyer son action adminis¬
^
.«»ria?il I.*»
iriT-.MWniim^-W.-sgT^agrjaar-niT"
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If-raaaa
V
une langue
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vivante»
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les sciences naturelles, le dessin»
</
les
trative*
exercices physiques*.n En
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En^résumé, les écoles publiques de Papeete instruisent moins
vante à
partir de la 4è restent seuls en dehors de
quart des élèves de La ville; elles -, se “recrutent parmi les classes pau
du
,
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•
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.
.
et les
vres
Pour
•
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’
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petits fonctionnaires; leur influence sur les affaires, l’ad»
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ministration, 1«opinion est extrêmement faible^
1
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e
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elles
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ÂOMA XxiuO M- dcf-iiu
(j$l«cta©-W
tion b i&mmmm
draient terminer leurs études
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créait à Papeete un enseignement secondaire* J«avais pu établir
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1
•
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•
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.
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,
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.
et les familles
.
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sent bien les besoins des
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1
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gnement du second
après la création d%s Cours secondaires:!’école Communale serait
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*
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maintenue
*
‘
,
'
.
•
•
•
sans
*
T
mais avec les classes élémentaires seulement et le pensionnat des gar¬
çons
annexé, sous la direction d’un Instituteur du Cadre métropolitain
^
•
;
changement; 1’école Centrale actuelle subsisterait
J'
auquel seraient adjoints des Instituteurs
ou
Institutrices du^cadre la-
V
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/
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cal
.
»
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i
•
•.
'
•
1
aux boursiers
Complémentaire dê 1 «Ecole Centrale qui donne déjà. un ensei—
'
'
.
Cours
nexer au
'
présenterait la nouvelle organisation de 1’enseignement à Papeete
,
Nouméa, qui coûterait fort cher et se recruterait mal, mais d’an"
détails techniques, voici comment
*
«agit pas de créer un Collège de plein exercice, somme
4
(
se
ouverts:
‘}
celui de
'
*
*
■
,
,
Il
•
T
imprévues*
et aux recrues
.V
s’élever par la suite à 60 et plus
*
'
J"■
*
qui suivraient les cours secondaires dès quails seraient
nombre pourrait
ce
j
*
'
rendre dais la
garderaient leurs enfants quatre ans de plus®
Sans entrer dans plus de
familles, une liste de 46 efafanls âgés de 9 à
â.
14 ans,
*
,
■
"
se
\
dernière, en prenant des renseignements auprès des personnes qui sonniais-
secohdai^i^évraient
Ceux qui vou¬
v
■
V
•
Joaj^Cja|j3UUA.<èoa^'
,
1«année
'
j.
eux.
ropolf,mais ils s’y rendraient à 14 ou 15 ans au lieu de 10 ou ÏI
longera sans changement
notable;
il en serait autrement si ’ la î Colonie
t
'
•- •
>• 'f,
:
î
•
l’élève a suivi les cours; d’autre part les élèves de la sec -
i
^
*
••
r
garderont la clientèle bourgeoise, et la situation actuelle se pro
•
sanctionné
diplôme; le Gouverneur pourrait délivrer un Certificat attes¬
tant que
donnant
en
&
*
•
enseignement sensiblement équivalent à celui de nos écoles publiques,
un
4
wr.
écoles confessionnelles subsisteront,
m.
élémentaire; 1’enseignement secondaire, de la 6i
à la 5è incluse forme un cycle complet, mais qui n’est pas
par un
»...
?
"
B.- LA REFORME PROJETEE
Tant que les
ce programme
l’enseignement primaire supérieur, la sanction des étu
des serait le Brevet
/
somme,le latin, le Grec et la 2è langue vi
•
*
degré, des Cours secondaires s«étendant, de la 6èrae à la
ïïn
établissement nouveau serait construit eu
^ib» mmmmmm m,
f
S
mmm*»
centre de la vil
o-Ù
ItLCjOfaâ-OAJiSL $,
ÊAM£IûaaêamêaM
<$
t
classes d1 enseignement secondaire et
d'enseignement p&imaire supérieur, deux classes
d« enseignement primàire élémentaire (8è et 7,b secondai res) dans l^quelles
les élèves ne seraient admis qu«après examen, et le^pensionnat de jeu
nés filles annexé; il serait dirigé par un ménage de professeurs de
collège licenciés, assistés de
4 instituteurs du cadre métropo¬
il
comprendrai tiquâtre
•
l
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N
'
'
'
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V. '
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,
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1«instruction publique; un Instituteur du cadre métropoli
Service de
i
#
tain serait
/
chargé sous son autorité de lfinspection des écoles prii;
I
-
maires
de Chef du
de 1«école exercerait les fonctions
le Directeur
‘
•
élémentaires•
w%
ffne école ainsi organisée bénéficierait immédiatement dtun
familles
aisées, qui font passer leur intérêt et leur amour-propre avant
prestige exceptionnel, et attirerait tous les enfants des
t/>
•
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a
4
répercussions financières entraînerait 18exécution
Quelles
projet;
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•
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I®** d «abord une
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religieux.
leurs sentiments
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dépense immédiate élevée pour la construe?<
.
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K 0 *&.
tion et 1«ameublement des nouveaux
*
ï
:,V,A' • ‘W / .'-.i
locaux* Il faudrait renoncer à
1«emploi du bois et adopter le ciment armé qui permet seul des cons¬
tructions
durables; pour rester dans 1«esprit d'ensemble de la réor¬
ganisation, le bâtiment devrait présenter un bel aspect afin de fi¬
gurer
parmi les monuments, dont la ville est
de la construction de la
francs.C «est à peu
cela
paternité qui a coûté 3e crois de 450 à SOO.OÜG
près la dépense à prévoîr pour la nouvelle
s'ajouterait une dépense supplémentaire annuelle
•
ê%
de
fière; on s'inspirerait
personnel; elle serait peu élevée* On n’aurait pas à augmenter le
nombre des Instituteurs d® cadre
métropolitain. La Colonie aurait en
•
'
plus le ménége de professeurs licenciés et en moins l'Inspecteur pri
maire Chef du Service
•
•
Si l'on demandait des professeurs jeune
Papeete, le 19 Mai 1928*
Le Chef du Service de
l’Instruction Publique,
à Monsieur le GOUVERNEUR des Etablissements Français
de
l’Océanie
à PAPEETE.
J’ai 1’'honneur de vous faire
1*enquête à laquelle j’ai procède du 25 Mars au
sultats de
5 Avril
connaître les ré
sur
des Gambier et dans les
trativement
l’enseignement dans- l’Archipel
la situation de
îles des Tuamotu qui y sont adminis¬
rattachées, et de. vous envoyer en conséquence mes
propositions pour les améliorations qui me semblent
indispen¬
sables.
A*- SITUATION LE h’ENSEIGNENT
«
rement dit.
I* - Archipel des
des
Le tableau ci-dessous indique pour chacune
/
N
scolaire approximative et le' nombre dbleves
îles la population
qui fréquentent les écoles.
Ecoles où l’en¬
Désignation des^ Pop ulaîles habitées
tion
en
approxi
permanence,
seignement est
donné
mative.
en
fran¬
çais.
Ecoles où
Ob sa"
1*
est donné en
1 a,ng ue i nd i g n e
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enseignent^
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libre
libre
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1
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Mamgareva,
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•
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0
Totaux
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J1
3
Service du Patrimoine
:
3
:
96
V*
2
1
Ainsi 96 enfants sur
120 fréquentent les écoles* Les
qui ne reçoivent aucune instruc¬
tion habitent trop loin des écoles pour1 qu’on puisse leur im¬
quelques enfants de Mangareva
<
i
poser une
fréquentation régulière; il serait utile d’ouvrir une
école pour les 17 enfants d’Akamaru;
tuellement d’aucun instituteur
mais nous ne disposons ac¬
capable de donner un enseignement
profitable,
•
En
dépit de cette lacune, la situation à première vue
quatre cinquièmes des en¬
fants reçoivent un enseignement en français.
Malheureusement
les résultats de l’enseignement sont extrêmement faible^à cause
de l’insuffisance du personnel. Les deux instituteurs et l’ins¬
parait assez satisfaisante puisque les
titutrice
qui enseignent dans les écoles ne possèdent aucun di¬
est insuffisante, et nulle
plôme; leur instruction générale
préparation pédagogique* Ils estiment que les enfants sa¬
leur
vent lire
de le
une
quand ils récitent par coeur sans même avoir besoin
regarder, un tableau de lecture qu’ils ont entendu lire
centaine de jPois du commencement
à la fin, toujours dans le
même ordre -et avec quels défauts de prononciation-; leurs élè¬
ves
comptent mécaniquement des opérations,
mais ne savent pas
résoudre les problèmes les plus simples de la vie
ne
comprennent pas la plus rudimentaire
et je ne parle même pas
naissances usuelles l
Les
courante; ils
conversation en français;
de leur savoir en géographie et en con-
,
progrès appréciables ont été réalisés depuis la
actuel qui s’occupe très
activement de l’instruction dans son archipel; il pourra encore
prise de service de l’Administrateur
sérieuses améliorations, et je «sais qu’il s’y• emploie
•
ra de toutes ses forces, mais il ne pourra pas suppléer a l’in¬
apporter de
•
•
suffisance des maîtres,
/
et les résultats resteront médiocres
II*
r
Service du Patrimoine
x
Iles
•
9
3
II,- Iles des Tuamotu rattachées aux
V
I
Gambier.
*
Sien plus grave est encore la situation dans "'l'es
îles des Tuamotu rattachées aux Gambier, car il
indigène enseignait à Tatakoto,
école publique. Un instituteur
ma is il
n’y existe aucune
est atteint de tuberculose
et vient d’etre licencie, sans
qu’il soit possible de le remplacer*
Le tableau ci-dessous
donne un aperçu de^> "besoins
scolaires*
Désignation des
îles habitées
Population
approxima-
en
français
tlve*
permanence*
nombre
nombre d’é¬
coles en lan¬ d ’ engue indigène • f ant s
hombre d’é¬
coles en-
qui ne
Elèves ' Ecoles Elèves reçoi¬
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sage dans
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1
chargé pen¬
dant plusieurs années d’une école de 40 élevés où 1*enseigne¬
ment était donné en français; je n’ai pas trouvé un jeune homme
A
Tatakoto, un colon français a été
capable de donner le renseignement, le .plus simple et le chef a
déclaré qu& personne ne parlait le français, ce .qui me paraît
f
\
.
•
*
rigoureusement exact. Le résultat de 1’enseignement du français
a
été nul. L* instituted, il est vrai, n’était payé que 5Ô francs
par
mois, mais on aurait pu sans inconvénient faire l’économie
de sa solde.
Dans les autres
leure ni
pire;
un
Servicè du Patrimoine
îles, la situation n’est ni meil¬
ou'deux indigènes parfois savent quelques mots
4
de
français, mais si on ne parle pas le tahitien,
instruction même
en
•
sont
peut s’y
Chose p}.us grave, les indigènes n’ont reçu au¬
faire comprendre.
cune
on ne
tahitien; ils savent à peine compter et
*
à la merci des commerçants chinois et de quelques
commer¬
çants français ou étrangers peu scrupuleux qui les exploitent*
Comme ils
achètent à crédit
et ne
peuvent pas tenir le moindre
compte, leurs dettes grossissent au delà de toute mesure; c’est
\
'
'
•
ce
1
4
qui explique certaines fortunes rapides qui ont été
réalisées,
considérable auquel s’élèvent les dettes dans la
et le* chiffre
plupart des îles. Des abus de toute
“
_
g
f
’..g. /
sorte aggravent
les difficultés
\
.
.
économiques de ces îles où la vie serait déjà si rude; le dévey
* *
*
loppement de l’instruction, d’abord
permettrait de supprimer
une
en
partie de
*
en
.
tahitien puds en français,
ces
la situation matérielle de la population,
tages qui
'
abus et d’améliorer
sans parler des avan¬
résulteraient pour le développement de notre civi¬
lisation.
Il "n’est pas
é-tonnant
que
devant la
carence
de
no¬
tre
administration* au point de vue scolaire, la mission catholi
que
ait tenté
un
effort pour reprendre en main
1’enseignement
qu’elle donnait officiellement jadis. Le Père Paul, chargé de
tout
ce
groupe
d’îles rattachées aux Gambier, réunit les enf nt s
m
quand il est de passage dans
I
compter
•
en
une
île
tahitien. Je l’ai trouve
et leur
T
a
Reao dans
rend
à lire et à
une
maison appar-
%
tenant a la Mission,
sans
autre mobilier qu’une petite table, au
milieu de 90 enfants accroupis sur1 de vieilles
il apprend
nattes, auxquels1
à lire sur des feuilles détachées d’un journal reli¬
gieux publié par la Mission.... Et il obtient quelques résultats
puisque le tiers de
ses
trois mois a. peine,
lisaient le tahitien presque couramment.
élèves,
qui fréquentaient l’école depuis
Mais le Père Paul reste trois mois
chacune des îles et
Service du Patrimoine
ne
revient
au
maximum dans
qü’après un an et plus. Pour loua-
*
*
(
i
.
5
et son zèle on ne peut pas en• atten-
Tôles que soient ses efforts
•
Au surplus, il est pénible de voir
dre d* appréciables ’bienfaits.
confié à une initiative privée dépourvue de moyens, un service
| d’Une pareille importance.
Bref dans ce groupe
est
d’îles, rien n* existe, tout
à créer»
B.- AMELIQ RAT IQ ITS INDISPENSABLES BT
PROPOSITIONS,
'
t
I* - Archipel des C-einbier proprement dit»
•
écoles*
1°- Les
école dans les trois centres de popu¬
Il existe une
celle de Tahu est en très mauvais é~
lation les plus importants,
ont besoin de réparations, il sera facile
tat, les deux autres
à M.l’Administrateur de faire exécuter les améliorations
saires si
on
néces¬
lui envoie les matériaux qu’il ne peut trouver sur
place. Une demande de matériaux est jointe au présent
\
•
rapport.
~
i
Lorsqu’on aura un instituteur pour 1’île de Taravai, on pourra
aménager sans beaucoup de frais une des nombreuses maisons en
pierre construites jadis par la mission catholique et maintenant
abandonnées, ou louer une des maisons inoccupées du village.
*
*'
<
*
à se préoccuper du mobilier scolaire
On n’aura pas
V
des tables-bancs sont disponibles dans les
de remettre
en
écoles, qu’il suffira
état
X
2°~ Le
personnel
est plus difficile à ré
La question du personnel
soudre.
Les boursiers
qu’on enverrait à l’ïïcole Centrale de Pa¬
peete seraient vraisemblablement perdus pour l’Archipel, le s ^
pour
garéviens ont déjà trop de tendance à abandonner leur pays
•
•
•
•
qu’on puisse'compter maintenir dans l’archipel ceux qui auraient
à Papeete. Par contre des enfants instruits
•
*
.*
•
..
à l’école de Fakarava, qui sera bien
.
long séjour
•
un
‘
fait
..
.
..
•
adaptée aux besoins du mi¬
lieu, retourneraient volontiers dans leurs îles où la vie est à
beaucoup de points de vue plus facile et moins rude. C’est donc
l’école de 3?akarava qui devra être chargée à mon avis de former
*
•
le
personnel enseignant et les cadres des Gambier, comme elle en
est
chargée pour les Tuamotu* En accordant annuellement une ou
deux bourses et
dix
ou
douze
quatre bourses au maximum, l’archipel aurait dans
ans
noyau de
un
exercés au travail manuel,
jeunes gens parlant bien le français
à la pêche,aux cultures locales, pour«
de solides notions d’hygiène,
vus
capables en un mot de rendre de
grands services comme instituteurs, conseillers de districts, muto is
ou
agriculteurs»
comme
En
en
attendant,
on
utilisera le personnel enseignant
exercice; toutefois l’instituteur de Eikitea est sourd,
tif,
sans
peu ac¬
autorité; il serait souhaitable de le remplacer si on
pouvait par
homme plus jeune et plus laborieux#
un
II-
Iles des Tuamotu
rattachées aux Gambier»
*
»
1°- Ecoles.
La création des écoles
ne
présente pas de grandes
difficultés: la «population habite au moment des "rahui" dans des
bois couvertes
des feuilles de cocotier
des feuil
cases
en
les de
pandanus, dont le sol est recouvert de sable de corail» Ce
avec
ou
*
sont des habitations
commodes, fraîches et saines. Les premières
é-coles seraient construites
la population
tînrd,
en
ront deans
coles
en
sur-ce
modèle,
sans aucun
par
elle-même; elles suffiraient aux besoins. Plus
utilisant les ressources des syndicats qui
ces
frais,
îles,
on
se
constitue¬
les remplacerait progressivement par des é-
bois, plus durables.
Il faudrait les pourvoir
d’un mobilier
scolaire^—
quelques tables bancs pour les grands élèves et des tableaux noirs
#
qui
ne
z
constituerait pas
une
dépense trop lourde pour la Colonie.
Les demandes de mobilier seraient
Publics,
au fur
•
envoyées au Service des Travaux
et à mesure des besoins par les soins de l’Admi-
nistrateur*
En
fabriquant chaque année pour ces îles dix tables
•v
à 5 places
ans
un
et#deux tableaux noirs, on constituerait en quatre
mobilier scolaire
2°- Le
suffisant*
personnel*
La solution proposée pour
les Gambier s’impose
qui sont en tout point sem¬
blables aux autres îles des Tuamotu. C’est l’école de ?akarava
à plus forte raison pour ces îles,
qui devra être
•
chargée de la formation du personnel enseignant.
Avec deux boursiers par an pour le groupe d’îles,
et six bo lit se s au maximum,
noyau de
d’une
jeunes gens, pourvus d’une bonne
solide instruction pratique,
de notre action
données*
,
N
■X'
I
f' /'•
on formerait en dix ou douze
ans un
éducation française et
qui deviendraient des agents
civilisatrice dans ces îles,
aujourd’hui aban¬
e me
21't
L’Instruction publique
Le Chef par intérim du
Service de 1’1nstruction publique
à Monsieur le Ministre des Colonies
.
{ Inspection - Conseil de 1 f Instruction publique )•
Pari a
.
Objet :
Rapport annuel
1929.
l’honneur de
j * ai
sur
le fonctionnement du Service de
vous
ad r©s ser un rappor
l’Instruction publique
dans les Etablissements français do l’Océanie pendait l’an
L’enseignement est donnée dans quatre catégories d*école s :
les écoles indigènes ;
•
.
i
les écoles primaires
élémentaires ;
l’école Principale des Tuamotu ;
l’école Cent rai & d e Pape © te ;
également quelques écoles privées,
1,- ECOLES* INDICE ME S
Elles sort établies dais les pfncipalo
îles des Tuamotu et dans certains centres des archipels. Elle
Il existe
.
constituent le premier* stade do l’introduction de l’enseigne¬
ment dais les contrées dépourvues d’écoles.
Confiées à un
personnel d© fortune pris sur plaça*» elles obtiennent des
*
i
résultats très inégaux d’une
école à l’autre Les meilleurs
élèves ont la faculté d’obtenir» sais concours, dos bourses
‘
.
■
*
.
Année
,
*
*
«
d’internat à l’école Principale dos Tuamotu et morne à l’école
Service du Patrimoine
Centrale de Papeete.
locaes*
.
2.- LFS ECOLES PRIMAIRFS.ELEMENTAIRES
plus développée
.
Installées dans les centres
elles présentent, un© physionomie analogue à celle :
,
des écoles de la Métropole. On y trouve en général trois cours
:
préparatoire, élémentaire et moyen, mais d’un niveau sensiblement
inférieur aux cours correspondants de France, Il en est do même des
programmes
qui sont aussi variés, mais allégés et modifiés en tenant
compte des nécessités
L’adaptation de l’enseignement aux
besoins du pays ne prendra un caractère vraiment méthodique
précis que lorsqu’on pourra mettre en sorvicé dans les écoles
ouvrage s
rédigés spécialement pour elles
*
Il y en a actuellement
trois dont la rédaction est à peu près terminée
: un cours
de
géographie des Etablissements français de l’Océanie, un vocabulaire
et une grammaire
tahitienne,
Leaprirnaires élémentaires peuvent conduire les élèves jusqu’au
certificat d’études local
,
Leurs meilleurs élèves peuvent obtenir
des bourses d’internat à l’école Centralaprès concours pour
le
et
u
écoles de Tahiti et Mo ore a, sans concours pour les écoles des arcM-
pel s.
3* - L’ECOLE PBI f! C IPALTg * DE S TUJSMOTU.
.
/n
\
C’est un internat de garçons
destiné à recevoir les meilleurs élèves des écoles indigènes deq
Tuamotu, Les programmes et l’emploi du temps diffèrent de ceux
KJ
*
qui sont en application dans les écoles de Tahiti, Ils ont été éta¬
blis de manière à donner aux enfants-des connaissances intellectuel¬
les
manuelles et pratiques en rapport avec les besoins de la vie
dans les îles Tua&otu,
,
Cette école vient d’entrer dans sa troisième année. Les petits indi¬
gènes qui y ont* été admis, au nombre de vingt-cinq, font de rapides
progrès. On peut espérer que par eux les bienfaits do notre action
se
répandront#peu à peu parnîi les populations de leurs îles. lift
quitteront l’école après avoir appris non seulement à lire, écrire et
calculer, mais, encore habitués à la pratique des principales notions
de morale et d’hygiène, et entraînés à apporter dans leurs travaux
manuels un peu d’ordre et de méthode. Sous la
direction,de leur
•
riT
.»•
montre, ils apprennent le maniement des outils les plus employés en
petie*
3
menuiserie et charpente
de
.
Ils participent aux travaux d’entretien,
réparation et d’aménagement des bâtimentst du matériel et
clôtures
Ils pratiquent le jardinage et la pêche
.
dernier©, une
leur collaboration
.
Pour cette
embarcation a été construite sur place avec
,
L’école est dirigée par un ménage d’instituteurs du cadre local
s’est adapté avec une
leur a confiées
rare
qui
habileté aux fonctions nouvelles qu’on
,
\
4,- L ’ECOLE CENTRALE DE
PTE
,
Ecole mixte à six classes dont
classe enfantine, trois classes primaires
élémentaires, deux
années de? cours complémentaire
A delà s’ajoute un cours normal
une
.
pour la formation des futurs instituteurs
des internes et des externes
nats sont distincts
,
*
Cet établissement reçoit
Les cours sont mixtes mais les inter¬
.
L’école prépare à tous les examens que l’on peut subir dans la
Colonie
certificat d’études local ;
certificat d’études primaire/ élémentaire/ ;
:
bourses locales ;
bourses d’études dans la Métropole ;
brevet loi?a], de capacité pour l’enseignement ;
brevet élémentaire ;
certificat d’aptitude pédagogique
•
/*
,
Les résultats obtenus sont mis en évidence par les tableaux du cha -
itre intitulé” examen s"
avec
s
un
,
Depuis six mois environ elle fonctionne
personnel métropolitain réduit et numériquement insuffi r\ n
fsJ Laj.
classes
supérieures,
grace au dévouement et à la valeur pédago¬
gique du personnel actuellement en service, n’auront pas à en souffrir
cette année
Mais les petites classes, qui représentent l’avenir de
l’école, sont moins favorisées. Le mal ira en s’agr avant si l’tn n’y
.
.
I
|
porte remède, car a la rentrée scolaire de 1930% il sera nécessaire
•
selon
•
toute vraisemblance, d’organiser une classe
•
spécial© de prépa
O»
ration au Brevet élémentaire, En résumé, l’école Centrale de
Papeete
obtient des résultats sérieux qui s’accusent d’année en année
#
se raieraencore
v
i
Ils
meilleurs ai le personnel était plus stable .Depuis l’an -
Service du Patrimoine
4
née 1924 la direction de l’établissement a été confiée successive¬
ment à cinq personnes différentes
Il en est à peu près de même
classes primaires * Dans ces conditions il est assez dif -
pour les
ficile d’obtenir
té de
.
$ntre les différentes classes de l’école, •l’uni¬
,
et la liaison nécessaires
vue
II,-
ECOLES
.
PHI V E E .S
9 écoles privées ainsi
Il existe dans la Colonie
réparties :
à Pape e te :
une
école des Frères ;
une
école des Soeurs ;
une
école protestante de garçons ;
une
école protestante de filles ;
#
( ces deux dernières portent le nom d’écoles françaises
N
*
indigenes )
une
école chinoise du KUO MIN T AN h ;
•
une
'
•
école chinoise de l’Association philanthropique ;
à Uturoa ( Raiatea )
:
une
école
une
école protestante mixte
catholique mixte dirigée par des Soeurs ;
.
à Atuona ( Marquise
une
école des Soeurs
,
françaises
sont des pensionnats ayant une organis¬
ation semblable à celle de l’école Centrale de Papeete avec toute
écoles privées de Papeete
fois, cette différence essentielle que ce ne sont pas des école S
mixtes
Chaque école comprend des classes primaires élémentaires
.
et un cours complémentaire
ficats et aux Brevets
bleaux des examens
.
.
.Elle présente des éleves aux deux certi¬
Les résultats sont consignés dans les
ta -
L ’installation matérielle est bonne dans l’en -
semble. L’effectif des écoles protestantes est légèrement supérieur
à ce 1 ui de rÿf ’ éc oie scatholi que s
-
-
-
LES ECOLES CHINOISES DE PAPEETE ne
-
ni mu
Les maîtres
■—m
——■ ■
*
„
reçoivent pas de pensionnaires
qui y enseiplient ont des titres équivalents à ceux
l’on exige des
instituteurs de la Colonie
.
.
que
L’enseignement de la
langue française y est donné obligatoirement une heure par jour aux
is
jeunes élèves et deux heures aux autres .Les enfants qui de si-
Service du Patrimoine
5
français vont dans les écoles de la ville,
principalement à l’école des Frères, parfaire leur instruction .
rent passer des examens
Ce sont en e
général de
bons élèves.
LFS ECOLES PRIVEES. «P ’UTUROA
,
Sont des écoles primaires élérnentai
Elles préparent quelques éleves au certifi cat d’ études local
Les résultats sont proportiomèllenient in fériéurs à ceux obtenus par les mêmes écoles de Papeete , Elles
ont chacune environ une centaine d’élèves.
L’ECOLE DES SOEURS D’ATUQNA
à une physionomie toute particulière
en raison du but qu’elle poursuit.0’est éctfj/’internat créé pour
soustraire les fillettes à leur milieu et leur éviter ainsi des
contacts nuisibles à leur santé et, par suite, au développement
res avec
pensionnat
.
.
.
-é
i
;
—
s
de la race marquisienne
A côté de l’étude du français, de la
,
l’enseignement pratique de 1’hygiene, de la
tenue du ménage, l ’acquisition de bonnes habitudes constituent
lecture et du calcul,
les
se
principales préoccupations des Soeurs qui dirigent l’établis
ment,
i
catholiques et protestantes reçoivent une
écoles privées,
ubvention de la Colonie
,
TABLEAU
indiquant la nature, le nombre et la répartition des écoles de la Colonie en 1929.
’coles
1d re s
primed re s
élémeute
Ecoles
:
par :
un moniteur :
t
dirigées
publ :priv.
: :
_(1)
complément
Cours
publ.:priv
publ.
priv.
2
6
1
fl
fl
t!
II
Il
f!
tf
fl
fl
t!
t!
II
II
99
t!
9
1
4
Totaux
.
n
Papeete
Districts de
Tahi t i, Mo o re a, Mak ate a
Iles
sous
fl
fi
n
«t
II
Tuamotu
tf
Marqui ses
: •
91
Gumbier..
II
Totaux
Service du Patrimoine
If
2
:
♦
2
11
tl
1
:
%
Aus t rale £
26
:
(1)
4
(1 )
M
il
le Vent
:
*
:
*
1
j
**
:
2
:
45
5
o
(1)
complémentaires sont tous adjoints à une des écoles
primaires élémentaires comptées dans la colonne précédente.
s cours
TABLEAU
it la r
le nombre et
la répartition des
élèves en 1929 (aprèsarentl
Nombre d? élève s
Garçons : Filles : Total
Ecoles
Papeete
publique
14L
:
136
277
Ecoles privées
507
:
528
1035
664
1312
<>
Observations
*
à
lers totaux partiel
Districts
648
:
«
*
*
*
Tahiti
715
:
627
1342
Moorea
203
:
156
359
Makate
-a
:
37
78
<»
2 ème s,totaux partie1s
959
:
820
1779
1607
:
1484
3091
•
Totaux généraux
3. - LE PERSONNEL
Le
.
personnel de 1 ’enseignement publique de la Colonie comprend ;
1° des instituteurs et des institutrices détachés de la
Métropole;
2° des instituteurs et des institutrices du cadré local
en
vises
stagiaires et titulaires ( 7 cia
r* c i o C3
UÜ K)
tJ
,..
3° des moniteurs et des monitrices.
*
Le service
emploi® également des suppléants mais d’une façon
irrégulière et toujours provisoire
.
LE PERSONNEL DETACHE DE LA METROPOLE est
^■esc...
'
—
—
—-^-—7—-7-7-.
..
:■
■
U——a
chargé spécialement de
l’école C e nt ral e et de la f o mat i o n p éd ago g i que du p e rs onn e 1
7
en
seigiant local.
Depuis le départ du ménage Couihom, l’école Centrale fonctionne
avec un effectif réduit. Le personnel restant a porté tous ses
efforts
les •classes supérieures de l’établissement et*4#’il
sur
qu’il a fort à faire si l’on songe que la pré¬
faut reconnaître
paration de tous les examens énumérés plus haut lui incombe.
De
plus, dans l’attente d’un autre ménage détaché de la Métro¬
pole, il n’est pas possible de confier les deux petites classes
de l’école à des maîtres locaux titulaires
Le personnel auxi¬
,
liaire
qui y ait employé ne saurait rendre les mêmes services
Cette situation, préjudiciable à
l’enseignement demande à être redressée le plus rapidement
possible, :
que
clés maîtres de carrière
.
LES INSTITUTEURS ET LES INSTITUTRICES DU CADRE LOCAL c
•en
nent deux catégories de maîtres : les uns qui
sont entrés dans
l’enseignement sans avoir reçu de préparation spéciale et
d’autres, plus jeunes, dont la culture est plus solide et qui'
ont acquit quelques notions de connaissances professionnelles
pendant le stage d’un an accompli au cours normal de l’école.
Centrale. Il y.â entre la valeur des maîtres Ipcaux de profondes
différences individuelles,- Mais on peut dire que., dans l’ensem ble, le personnel local fait preuve de bonne volonté et travail¬
sent soutenu
fréquents contrôles aux cours
desquelles il faut savoir allier dans de justes proportions
le s’il
se
par de
la bienveillance et la fermeté. Le climat,
l’ambiance portent
naturellement à l’abandon. Il faut tenir le monde en haleine
continuellement
:
c’est .une nécessité locale.
LES MONITEURS sont de deux s or te. s : les uns
enseignant en langue
française, les autres en langue indigene
On exige d’eux.
aucun, titre.
,
Leur s eide est très minime,* Ils réussissent à en •
•
seigier la lecture, l’écriture, et le calcul mécanique, Quelaue
parviennent à donner un en se i une ment plus déceloppé. Ce
personnel ne doit être que provisoire; il sera nécessaire de
uns
lui substituer dans quelques
cole
Principale de s Tuamotu,
Service du Patrimoine
années les anciens élèves de l’é¬
«
/
8
III
TABLEAU
indiquant la nature, le nombre et la répartition du personnel enseignant public
•
•
•
-
1529
en
%
•
%
Moni
Personnel
Pers1
teurs
du cadre
détaché Totaux
*
%
•
•
Observations
i
local
stag.
¥
,
,
'■
j
de la
titui.
métrop.
*
•
«1
Papeete
2
8
3
3
Plus 2 suppléantes
•
•
•
•
Districts
de
#
Tahi ti, Mco re a,
Mahate a
If
32
6
11
Iles sous le Vent
2(1 !
17
ft
4
.
•
51
Plus 1
suppléant
21
Plus 1
suppléant
A
tl
20
Iles Tuafliotu
II
2
oo
•
ft
Iles Marquises
2
H
II
2
If
If
5
»
5
Iles Gambier
3
Iles Australes
II
#
.3»/'
2
tf
If
5
•
•
(1) Ecole d ’ap -
6
plication
•
.
39
44
26
5
114
HPCRUTl^NT ET FORMATION DU FEKSQDHEL,
Neuf élèves sont sortis en 1929 du cours normal de
l’école
Centrale; ils ont ét*é reçus à l’examen écrit du certificat d’aptitude pédagogique.
Leur culture générale e/ft professionnelle
solide que celle de leurs devanciers * On peut espérer
qu’ils deviendront plus tard de bons maîtres lorsque la pratique
et l’expérience auront complété leurs connaissances théoriques.
Le recrutement du cours normal s’est trouvé arrêté .cette année
est plus
s’est fait,inscrire et les deux seules jeunes fil¬
les qui avaient commencé à suivre le cours ont du être pourvue*s
d’un poste par suite de pénurie de personnel# .11 serait regret table,pour la bonpe marche du service, d’être encore oblige*de
recourir à du personnel de fortune dont 1’insuffisance professionne lie n’est plus à démontrer.
Les stages à l’école d’application ont exercé surtout les maîtres
qui les ont accomplis une influence heureuse. La préparation de
âa classe, la discipline générale et la conduite des principaux
en s g ignements sont en progrès. Les visites aux écoles n’en res tent pas moins indispensables pour soutenir le zèle, contrôler
l’application des instructions données, opérer les redressements
indispensables et encourager les bonnes volontés hésitantes ,
Aucun, garçon ne
%
*
î
IV f
LES BATIMENTS SCOLAIRES
9
-
LE MATERIEL ET LES FOURNITURES.
Tahiti et des îles voisines sont pour la plupart
construites en bois, bambou et couverture en tôle ondulée. Après
Les école-s dé
maints tâtonnements, on s’est arrêté a un modèle d’école
surélé vée sur piliers d’environ 2m 50 au-dessus du sol, le dessous
servant de préau*. Elles sont en général H claires et aérées ,
d’aspect agréable
Quelques unes de construction ancienne•sont
en mauvais état ( Pueu, Taravao, Eaâa, Papeari Tauti ra, Makate a )
La reconstruction de quatre de ces écoles est prévue sur un
emprunt que la Colonie doit contracter .
Bans les archipels les constructions sont différentes, elles sont
faites en général avec des matériaux pris ou fabriqués sur place
.
5
Le mobilier et le matériel
semble
et sont
,
scolaire sont convenables dans l’en -
les vieilles tables incommodes disparaissent peu à peu
remplacées par des tables à deux places . Les écoles de
Tahiti* et Mo ore a s ont* à peu près toutes pourvues de c art g s en
nombre suffisant. Il
est seulement à regretter qu’elles n’en
possèdent gbas des Etablissements français de l’Océanie , ces
cartes n’existant pas dans des dimensions utilisables à l’école
Le matériel pour l’enseignement du système métrique est encore
insuffisant
.
Quand aux fournitures scolaires elles sont, en %
tempos no mal largement distribuées
écoles manquent du nécessaire, not
la commande (faite
Y**.' "
.
en
'
9
ment» ae
1928 n’est pa
e ne o re
•
situation qui, pour r’être que pas
caniers, parce qye
parvenue
*
C ’ e st une
gère n’en est pas moins
gprt panante •.
Le nombre des candidats reçus, a dépassé
chiffrés des années précédentes
,
cotte année tous les
signe certain du développement
régulier de l’enseignement. La progression est indiquée par le
tableau V
,
Les sucres sont en augmentation continuelle depuis
1926. La différence provient surtout des admissions aux deux
certificats* Le r ambre des brevets peut paraître faible
.
Fr,
réalité il est normal car les succès à cet examen dependent en
genéal du nombre, de certificats métropolitains délivrés deux
avant
ans
Il
.
y a eu
corrélation entre les- 36 certificats de
meme
raison
présumer que, a ans aes cona irions normales les yi cer&incaos ae
1929 produiront un nombre
un
mouvement se dessine
élevé de ,brevets en 1931
en
.
Par ailleur
faveur du Brevet élémentaire métro
politain auquel il ne s’est plus présenté de candidats depuis
l’année 1924
Deux écoles présenteront sans doute des élèves
.
cette année à cet examen
.
Il serait à souhaiter que des succè
%
couronnent cette tentative et que la préparation fut continuée
ensuite
régulièrement, ce serait un pas accompli
.
Ainsi qu’on peut le voir dans le tableau
IV
les éïfreuves du certificat d’études local sont subies dans dif
ravao •
meme
examen a
-
11
TABLEAU
IV
»
Statistique • des
de 1929
examens
%
1
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M
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11
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46
48
94
34
37
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30
40
70
8
9
•
Ce rtificat d * études métropolitain
•
#
Ce rtif.
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56
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3
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H
1
1
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Bourses de l’Ecole Centrale
4
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S
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Bourses métropolitaine s
1
•
*
Ce rti f.
6
4
10
12o
155
275
d’apt-® pédagogique
1*7
6
0
g
9
95
119 ;
214
•
Totaux
#
A
•
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•
•
MM
*—J
IM
1
TABLEAU
D é s i gnat i on
depuis 1929
ssions prononcées aux examens
Comparaison
:L927
1926
des e xamen s
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mm
mm
mm
fcJ
mm
*•*»
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M
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1929
1928
*-#
tfM|
ma am mm
Brevet local cVensG^ifnemei
38
21
30
21
Certificat d’études métropolitain
42
35
58
91
Certificat d’études local
25
55
74
96
Bourse s de 1’ éc oie Cent raie
12
15
21
16
3
ît
1
4
5
II
9
119
135
183
134
MB
3
Bourse s métropol i ta.ine s
pedagogique
Certificat d’aptitude
Totaux
TABLEAU
Comparaison des succès obtenus aux examens par les pensionnats de la ville
1929
en
ECOLES
•
Désignation
examens
*»»
mm
mm
mm
p-m
mm
mm
mm
9mm
mm
mm
mm
Centrale
C athtl ique.6 î
186
485
mm
mm
mm
mm
mm
mm
mtm
mm
élèves
8
8
5
Certif.d’études métropolitain
25
22
23
Certif? d’études local
18
19
30
«!
tt
11
C e rti fi c at d ’ apt i t ule
!
de
tt
!1
II
pédago gi que
9
fi
Total
72
49
58
27, Z%
32,
10 %
10 ?/0
Pourcentage sur le nombre total
N
•
1
#
.
%
■
succ.os
40, 2%
i
Pourcentags par rapport à l’effectif
de l’école
en
et le C.A.P.
négligeait les Bpurses
«•' ;
27, %
mm
mm
Pro testant os: Totaux
Brevet local d ’enseigiement
..Bourses métropolitaine s
mm
550
él è ve s
Bourses de l’Ecole Centrale
mm
.V •*>
CONCLUSION
La situation se
présente différemment suivant qu’on l’envisage
dans les archipels ou à Tahiti. Dans les archipels, l’oeuvré à
*
accomplir est encore vaste. La création de trois écoles à Huahine
et de trois autres dans les îles Tuamotu rattachées aux Oambiers
a
déjà amélioré la situation
.
Mais des dréations sont encore à
enviéagsr, Ft tant que manqueront aux maîtres les conseils prati *~
que s donnés sur place
resteront faibles
et de fréquents contrôles, les résultats
Ils le seront d’autant plus que, plu s on
.
s’éloigne de Tahiti, plus il est nécessaire d’adapter l’enseignement au-milieu et moins conviennent alors les manuels scolaires
de la Métropole. Un effort est déjà fait pour en avoir d’autres
il faudra persévérer dans .cette voit
.
:
L’archipel des Tuaâiotu
possède une-organisation dont les résultats présents sont très
encourageants et permettent de nourrir de belles espérances pour
l’avenir. Il reste à créer des organismes semblables dans les
autres archipels,et.,tout d’abord, aux Iles
A Tahiti, par les
sous
le Vent
.
résultats obtenus au cours de cetfe année,
on
peut constater que les efforts accomplis précédemment pour amélio
rer
la technique
à plusieurs
dîi personnel n’ont pad été vains. Pour qui a pu,
.<*
•
*
années de distance, contrôler sur le vif la tenue des
écoles, les pogrès ne sont pas discutables. La formation pedago gique du personnel, l’amélioration des procédés d ’enseignement
doivent rester encore
au
premier plan des préoccupations
.
Plusieur
candidats affronteront en 1930 l’examen du Brevet élémentaire
c’est encore une preuve de progrès
:
,
mm?
Service du Patrimoine
ÉTABLISSEMENTS FRANÇAIS
Papeete, le
8 n uvembre
de l’Océanie
SERVICE
[INSTRUCTION PUBLIQUE
-«NIC©'
(Le (Qhef du çServize de /’instruction
N° %À>è
publique
é- & ai b leur le Jouve me ur des
Etablissements français de
*
l’Océanie
J’ai l’hcrmcurde vous soumettre
projet de décision accordant des dis
penses d’à^s à que 1 que s enfants cand i un
dats au ce Hi fie at d ’étules.
La durée de la dispense demandée
dépasse pour aucun d’eux le
its.
prévu par les i
ne
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PUBLIQUE
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Service du Patrimoine
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LISTE
des candidats admis aux examens de l’Enseigieïaent primaire
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CERTIFICAT D’ETUDES LOCAL
*!
(Oïdne alphabétique)
MENTIONS : Très bien "T.B." - Bien "B." - Asfjez bien "A.B."
a) Centre de Fabarara
(27 Juillet 1933)
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G a r ç o n s TE RI IM AN A
A.B.
-
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A.B.
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A.B.
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(16 Novembre 1933)'
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A.B.
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(20 Novembre 1933)
Garçons ~
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BERNARDINO
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A.B.
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A.B.
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B.
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24 et 25 Novembre 1933)
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B.
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A. B.
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A.B.
IE HE I GIBSON
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A.B.
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A.B.
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B.
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A. B.
B.
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A.B.
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A. B.
A. B.
B.
B.
A.B.
A.B.
A.B.
A.E.
BA61BRIDGE
CHABAIN
G HEBEET
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GARNIER
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L AGUE S SE
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L1B0UCHER
LEO AIL
MERSIIAR
Mathilde
Juliette
Catherine
POMARE
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BANQUE R.
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B.
B.
B.
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(Papeete, 30 Novembre, 1er et 2 Décembre 1933)
IV,CON URS
Liste par ordre de mérite *
Garçons -
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Yvorne
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Etienne
DES BOURSES DE L’ECOLE CENTRALE
(Papeete, le 18 Décembre 1933)
Liste par ordre alphabétique*
v'-hî
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Filles
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Ben i amin
VARNEY
V.__ BREVET ELEMENTAIRE METROPOLITAIN
osete, 4, 5 et 6 Décembre
Liste alphabétique des candidats admis* par la. Commission locale
Aspirants
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Aspirante
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-
—
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Simone
Ma/rcoi
Alfred
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A*D
Suzanne
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Marguerite
CF RT IFIC AT D ’APTITUDE PEDAGOGIQUE
Franc is
M, S N
Epreuve pratique, le 19 décembre 193
Mme JARDFL
s écrite et pratique les 17
Mangue rite Epreuve
X
fl.
•
«
Mie LEVE RD
Simone
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•
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n nrp '»
et 19 janvier 1934.
^
Epreuve oc rite
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:
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le 17 janvier 1934.
^
0 e rt i f i é c on f o rme aux procès-verbaux
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de s C omrri s s i on s d ’ e : a j.. n..
Le Chef du Service de
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l’Enseignement,
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Dernière pro® J tion à 1* emploi}
Data et lieu de*
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Sous® la «Vent
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Bu service à Matalea»
Bn congé pendant 3a du*
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19 décembre 1931}
Instituteur de * Bon 536 du 31
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1? juillet 1010 i 6e cia a se
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* 6e classe
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Pour compter clujBn congé pendant la duââ- octobre 1910 i
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naissance
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Be mi ère pro»» tien à 1*'emploi 3
motion
1
1 actuel
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! Institutrice
1 de $e classe
iBêsirês)
U mro 1909 I
Afare ai tu. (Mo©
Observations
in«à*«*:*• *tua «-Mi
'ta»-ji» *f «* uv- m
•MS
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servies à Haapiti
Bob as Ü du 1*?
janvier 1931
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pour compter dm
f
1er janvier 1933*
rea)
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Institutrice
}
*1
Ben S# 0 du 17
i En servies à l^BcoXe
janvier 1931
\ de ^aea
pour compi er du *
1er janvier 1931
de 5e elasa©
S3 mm 1910
à Basa
j
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(Louis)
Ins il tuteur
de 5e clasas
Bon Bê C du 17
(Pierre j Instituteur
3 septembre
f de 5e classe
1910 à Punsauid
Bon BS 0 du 1?
PICA B
16 juillet"
1910 à mea
\ E» service à l’Ecole
J Central®
janvier 1931
pour compter du i
1er janvier 1931g
?
i
BABAS
janvier 1931
pour compter
1er janvier
1933^
Bon 536. 0 du 31 î En congé administratif
Institut zi ce
de 5e ciaan®
lime B3UHBÆ
(Lucienne)
j Affecté à l’Ecole d©
I iPunaaula f Bon 686 0
! du 31 août 1931
juillet 1931 points 6 moi© à gassèr en
compter du 39
* Franco (Bon 61 6 du 30
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S3 janvier 190$
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ETABLISSEMENTS FRANÇAIS
DE L OCÉANIE
RÉPUBLIQUE
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FRANÇAISE
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SERVICE
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En se ignement
à
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Iles
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le Vent
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Service 3e t’Sfnstzuction
\Cs<
puGficjue P*l*
2%nsieur le GOUVERNEUR
des Etablissements
français de l’Océanie
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'
»
En vous transmettant le dossier
ci-joint du personnel
enseignant des ILE b S OU b LE VENT, j’ai l’honneur de vous présenter quelques décisions ci-dessous énumérée
-
%
#
.
Décision portant création de l’école de
Décisions portant mutation:; dan:.; le personnel en'
,/tA/W
seigiant des ILES SOUS LE VENT ;
) af At at ion de Mme GUE HO à l’école de FAARQA
e
Raiatea)
b)
^fe c't at ion de Mrna SANQUER à l’école d’OPOA
%‘
(île Raiatea)
J ».
c) affectation de
-à*/
(île Rai ate a )
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Î0r.
■j «
le AÏÏJMOA à l’école de W TI® A
3,_ Décision portant nomination de 11* PAIA a TOI RORO
,
*
à l’école de EMMENE
U ’après
.
le rapport n° 89 de M. CAFFLA, le principe
t.
■'f*.
ér
%
/
de cette nomination a été arrêté lore de votre tournée aux
ILES SOUS LE VEFT,_ Le moniteur aurait pris le service dès
le 1er octobre et c 5est à compter de
PELA propose de
cette date que M. CA-
lui attribuer sa solde
Décision accordant une gratification à deux jeunes
filles de TIVA ( île Tahha)
*
Ces deux jeunes filles ont assuré le fonctionnement û
*
de l’école depuis
le décès de* l’instituteur (février
1930) jusqu’à la nomination de M. PAILLOUX (novembre.
1930)._ M. CAPELA a toujours loué hautement leurs
services
«
Il demande
une
gratification de lOOOfr,
pour chacune
Je pense qu’elles se trouveraient
satis fates
la moitié de cette
ce
avec
somme
et c’est
qui est proposé dans le projet de décision ci-
joint
L’examen des
ssiers et de la correspondance des
SCÜS LE VENT m’a dimwit ré la nécoessité de mettre
certaines
ILES
au-point
questions e^psées dans le projet ci-joint d’une
lettre destinée à M;
lwministrateur.de l’Archipel
Lorsque les renseignement demandés seront parvenus,
je préparerais un projet d’arrêté, qui, ca&s in si tuer un
cadre de moniteurs,
établira cependant pour cette catégorie
de personnel un classement,
des possibilités d’advancement
et des soldes moins arbitraires que celles
lenient servies
qui sont actuel
1
•
4*
■'ç.
&tat> lis sexnent s français
de
1*Océanie
Instruction publique
•
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JE&pe e te', le .18 rà&Ta 1931
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ÎT° 1004 I.1?»
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Enseignement aux Iles
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le Gouverneur des -établis sement s français de 1*Océanie
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Officier de la légion
d*Honneur
3x
à. Mm sieur l’A^miisis trat'ëur d e>fc -Iles-^ous-le-Vegt
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J’ai l’honneur de
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le dossier de l’en-
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seignement que vous m’avez communiqué
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les décisions nécessaires vous parviennent sous peu»
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1*examen des
JL
pièces des dossiers et leur comparaison avec les
documents precedents concernant votre archipel
certaines confusions sont commises dans la dénominatio
tater que
du
personnel enseignant #t également dans la désignation des école
Il est
de
m’a permis cte cons
nécessaire deJre chercher
le nom exact de chaque
l’adopter exclusivement dans lesactea
t
les écoles, il
JL meme, pour
d’adopter pour chacune une désignation of-
ive et exclusive»
ficjfelle, déf:
tre au
point des différentes questions je vous
nnel
'ou;
une
officiels
liste nominative formant cahier destiné
à grouper les
ignements recueillis sur le personnel affecté à chaque
école*
h) des notices destinées à recevoir tous les renseignements ' sus itihles d’identifier les intéressés et de préciser leur carrière
fi
nistrative»
2°) pour les écoles
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ments
cahier
scolaires
sur
V
les terrains et
bâti•
>.
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B) des ear,te s fixées à la fin du cahier et destinées à etre
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de vouloir bien recueillir avec la plus
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grande exactitude tous les renseignements deimndés tant
sur
lef
ÀMl'
personnel que/les écoles* he manière à constituer des documents
précis et définitifs» qhe vous voudrez bien me retourner
ensuite
signalé le mauvais état
A différentes reprises vous avez
de
santé de Mine Uratua a itaahune et vous concluiez à la nécessité
d’un examen médical s érieux. Je vous serais
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parvenir le certificat délivré
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Lettre
sous
1
enveloppe
Projet cle lettre à M, 1
’odiainis*trateur
3
(1 triginal et 2 copiée)
,
4
Projets de lettre
2
Bulletins de propositions
2
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•
Projets de decisions
*
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•
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Liste nominative du personnel
C ahier de renseignements
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( Pièces à transmettre
sur
les écoles
1
Notices individuelles
24
aux
ILES SOUS LF VF NT)
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struction s
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N° 3
(Pièces à conserver au J
Dossiers du personnel de
i—1. (J*
1’ ense i gnement
-
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(à retourner aux
3
Dossier PAIÀ a TOIRORO
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Cabinet du Gouverneur )
ILES SOUS LE VERT
*
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( à retourner aux
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ILES SOUS LE VENT)
Service du Patrimoine
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ILES SOUS LE VENT
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ILES SOUS LE VENT
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à retourner aux
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Dossier de l’enseignement aux
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)
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Instruction Biblique
CABINET
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FRANC A ISE
REPUBLIQUE
DU
1. IBRRTE
ÉGALITÉ
FRATERNITF
GOUVERNEUR
DE L’C)r,E.
ET i\ é
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PERSONNEL
Enregistré au Cabinet du Gouoemeur sous
le n°
portant création d*une école à Faaro© (Ile Haiatea)
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des hlablüsemenîs jviuicais de ( 'otcemiie?
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1Jî^fAtrfrS M fwf tKil/Wi* Zs
'
t
Officier de la Légion d’Honneur,
Vu le décret organique du 28 décembre 1885 concernant le Gouveinement de la Colonie et les actes modificatifs subséquents ;
t,
Ÿu l*ert» 10 de 1*arreté local du 1er ©out 1914
réorga»
nisant le Service de ^Instruction
publiquef
Sur la proposition d e 1* Administrateur des Iles-Sous «*le
Veïft et du Ghef du Service de !• Instruction publique,
DECIDE f
Ampliations
est
îl/créé au village de Faaroa(lie Ksi©tea)
une ceo le primaire élémentaire à une classe»
'
•
Art» 3«
*
Art» à*
•
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V'i;
Le personnel de cette école comprendra unf^
instituteur et une institutrice du cadre local» A défaut de
ce personnel 1*école pourra etre confiée à un moniteur ou
une monitrice»
Cab • «I «0 •
3 «a,
Enseignement
Adteur Ilea
sous-le-Vent
Le
Secrétaire Général du Gouvcmeaefc» le Chef
des Ilee^Soue 1*înepruction publique et 1*Administrâteu*
en
qui
le
chacun
sont
^e
dhargés,
l€»^Jnt
concerne de l*exé«tion de la présente décision
qui sera
enregistrée, coranPiiquée et publiée partout om besoin sera*
du Service de
Papeete
mars
JL.
Service du Patrimoine
-t-—*.
1931
C ab ine t-pe r s om ie 1
DECISION
mutations dans la personnel ©nseigiant de
Iles Sous le Vent.
Le Gouverneur
Vu le décret organique du 28 décembre 1885 concernât 1
Douve mer .ai it de la Colonie et 1 as actes modificatifs subsé
quants ;
v 1 o«s
Vu 1 ’ ar m té ' 1 oc al d u 1 a r ao ut 1914 ré organ! s ant le B* rde 15 In st ruct i on publ i q ue ;
Vu 1# décision n° 492 du 22 août 1930 affectant Mma DUE
HO en qualité d’institutrice § UTUROA.
Vu l’c
s
^ V
iO Col
~
(île Raiatea)
é local n° 576 C du. 20 septembre 1930 c oncer
QUE R i ns t i tut ri c e stagiaire du cadre local :
Vu la décision n° 659 du 11 décembre
A institutrice suppléant® b. 0P0Â ;
1929 nommant Melle
1931 accordant un
Vu la décision n° 81 BRUNET, janvier
institutrice à FÉTUSA (île
congé admini a û i ci tif à-Mine
dii 30
c
#
Raiatea)
portant créaF A ARC A ( i le Ra iate a )
Vu l’arreté n°
du
t i on d’une école u r ina i re el ém r t a ire
...
Sur la proposition du Chef du Service de
1 ’Fuseigiemünt j
DECIDE:
lin® GUE HO ( J®ann® ) institutrice de 4-ème classe
du caLm local à UTUROA, est affectée à l’école de FAAROA
Art. 1er*
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'M1-
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^
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MA#
A
A •».
«
(île Raiatea)
institutrice stagiaire du cadre local e
affectée à l’écoÀ d’OPOA (île Raitea) ©n remplacement de Mel
Mme Vv# BANQUES,
W
leli^ AUNSp (Louise) institutrice suppléante a 0P0A, est
ée à 1 ’dfole de FETIJMA, «n remplacement de Mme BRUNET.
AUNOA •.
Apt. 2.
Ampliations :
CabJ.6.
S /G,
Trésor
Ensei.cn.
Le
stations ci-dessus auront effet à
J-
S I'
Chef
3*.
Art«.
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et 1 ’ sd rni n i s t rat e ur a es II e s S o us
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Se
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de.
l’Elise
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gnement
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e n c e qu
Vent
s.ont
i 1 e c one e rpe
chargés,
chacun
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V.
S.
Adrn^
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I,
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Intéressés s/c
Admini s tr.
,
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CABINET
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
DU
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ÉGALITÉ
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GOUVERNEUR
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FUANCA1S l>E L’OLE; «E
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PERSONNEL
Enregistré au Cabinet du Gouoerneur sous
'fWHMI* MrtaÉftMK»* MM A# «WWW*î «MWipwM «ta
le n°
yÇV c.
lif Gouverneur des Etablissements fronçais de l Occanie>
Officier de la Légion d’Honneur,
28 décembre 1885 concernant le Gou\ernetnent de la Colonie et legacies modificatifs subséquents ,
Vu le décret organique du
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01 cono leur le
GOUVERNEUR
1 ’ Oc éani e
de s E tab! i a cernent a f rang ai a de
V'-
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jf
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Ijrhonneur de
voue
t ran omettre une lettre de M
rateur dec ILES SOUS LF TO T, une lettre de demis-
îlSTde M. VF RI'1 IF R et un projet de décision
la d i rec -
Melle DEBRIF vient de terminer l’intérijAn de
■
■
j euneo filles à PAPEF TF
Elle reprend son ancien poste._ Je ne voie*aucune ob¬
jection
Je propose toutefois que le texte de la décision
jointe soit modifie
D’une part les autorisations de ce genre ne peuvent etre accordées que par le GOUVERNE UR(Art 79 et 80 de l’arreté
local du 1er août 1914L. D ’autre paid,, l’art 2 et l’art 3 de
la décision ne sont pas utiles
L’attribution de la subvende l’école p ro tes tante d e
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tion doit faire
l’objet d’une décision spéciale
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Tout récemment il avait été décidé de 21e pas donner
18000 francs
Si la décision accordant les s ubventions doit
être prise maintenant, je propose d’attribuer 5000franca à
chacune des écoles 1ibres d *UTUROA
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ÉTABLISSEMENTS FRANÇAIS
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L’OCÉANIE
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SECRÉTAIRE GÉNÉRAL
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CABINET
GOUVERNE IM
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& Direction de 19 M
Enregistré au. Cabinet du Cou ©utoris nt Dell
oerneur sous
métropolitain, à
mixte &* lïturoa.
le n
tC tilovvcrneur des Etablissements français de VOcéanie,
a
O fficier de
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la Légion dé Honneur,
Vu le décret organique du
28 décembre 1885 concernant le Gouvei
nement de la Colonie et les actes modificatifs subséquents ;
Vu les articles 5, 78 et 79 de 1' arret<
août 1914 réorganisent le Service de l’Im
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Vu lr décision B*
du -7 rarrs 19,38 1
cation de 3,600 frs l*an à 1© Directrice Soeurs des Iles sous le Vent}
Vu 1© décision Bfc
94 du 7 février 1930
VERNIER» Foui# à prendre la direction de
te mixte
A inpliatkms
d’üturoaj
Vu la décision H° 755 S.G. du 9
à chacun des Directeurs des De oies
vc-ntion de 9*000 fret
VERRIER»
Vu la démission de
Vier 1931$
d.’cemb
libres
P ult en date du
proposition du Chef du S
Publique et de 1Vdminiatr teur de
Sur la
Cab J.0.
8at Gai
Trésor
Enseignement
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Adeur Üturoa
Ecole protec*
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Administreteur
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Art •1er.-* Melle 33»
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DE’BHIE titulaire du brevet
éléments! r<
métropolitain» anciennement institutrice à 1*école libre
protestante de Pope etc est autorisée & prendre 1« i)ir c. O4*
tion de l*Ecole protestante mixte d*üturoa»
Artȉ. 1
subvention de 9.000 francs
précédemment alloué
le Service local à cet établissement sera mande-tec eu
nom de la nouvelle Directrice et reste imputable au ch&pétr
11 art» 10 § 1 du %dget en cours.
par
Généra 1» le Chef du Service de
l*Enseignement» l*£dministr teur des Iles eous le Vent sois
charges chacun en ce qui le concerne de l*lxccution de la
Art»3«-* le Secré taire
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INSTRUCTION PUBLIQUÏÎ
£’£lc> ministzateuz des o}(es-§)ous-te,-(tye,nt
Monsieur la GOUVERNEUR DES ETABLISSEMENTS FRANÇAIS
DE 1'OCEANIE
Officior do la Légion «t'Hnnnow
7
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J*ai lfhonneur de v®u# transmettre ci-^amt
pr*j*t de décisien qui pourvoit au remplacement da M. 1«
locals mixte protestante
Pastsur VERNIER déliasiennair
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DUBRU titulaire du brevet élément
taire Métropolitain* anciennement Professeur à'l’école pro¬
aixte dfUTUROA. ^ar Melle
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testante de
PAPEETE*
Cette mutation n’est qu’une simple mesure
i’ordre l l’intérieur de la Mission protestant* et M.
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Pasteur VERNIER continuera* I titre privé* 1’enseignement
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dans cette éc*l*«
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Date
Mois
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Analyse
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vru 1®© article» §, 78 et 79 de lf arrêté jl©çal du 1er août
1914 réorganisant» la Service de lfInstruction Publique,
Vu la décision n EfeE g 87 Mars 1928 allouant une allocation
de o.600 fri l’an % la irectrice de l’Icole dos Secure des
Iles sous le Vent,
Vu la décision n* 94 du 7 février 1930 autorisant M. VERNIER
1 nrendre la Direction de l’Ecole protestante nixt®
Paul
t
Vu la décision n*
chacun des Directeurs
vention de 9*000 frs
au Cabinet du Gou¬
n
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9 décembre Ï9g0 allouant à,
res d’uturoa une snb
cleo
I9f5i
Vu la démission cia M* VERNI8R ®aul en date du 21 Janvier
verneur sous te n°
Sur la preposition du Chef du Service de l’Instruction
Publique et de l’Administrateur des Ha sqm la Vent
{Archipel) à la date
DECIDE
du
Art 1er.- Mademoiselle E.
titulaire du brevet clés institutrice
est autorisée
DEliRI
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Art 2.
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testante mixte
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Elle aura ...droit li ce titre à une indemnité annuelle
; 9.000 francs
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imputable
1 .hj ba'd-rot local dâ 1931
*© Secrétaire
Art 4.- Le
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Général du Gouvernement, le Chef
du Service do l’Instruction Publique, 1’Adminis¬
tra teir des Iles sgus le Vent m. nt,charges chacun
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SECRETARIAT GENERAL
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2™ BUREAU
EGALITE
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ETABLISSEMENTS EKANCAIS DE ' L’OCEANIE
Affaires Administratives
allouant à chacun des Directeurs des Ecoles libres
d’Uturoa une subvention de 9.000 francs*
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Enregistré au Cabinet du Gou-
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Officier de la Légion dy Honneur,
Vu le décret organique du 28 décembre 1885 concernant le Gouver¬
nement de la Colonie et les actes modificatifs
subséquents ;
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Vu les articles 5.78 et 79 de
1* arreté local du 1er Août
1914 réorganisant le serve© de
l’instruction publique;
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Vu la décision N* 252 du 27 mars 1928 allouant
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allocation de 5.800 franæs l’an à la Directrice de
^l’Ecole
des SoeurI des Iles-Sous le
Vent;
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Vu la décision N® 94 du 7 Février 1950
autorisant M.
VERNIE R Paul à prendre la Direction de lf
Ecole protestante
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de
'l’Océanie pour l(annéè ^SOjChapitre II art*
Français
6 paragraphe42 et
une subvention aux Ecoles libres
prévoyanr
des Iles Sous le Vent pour la somme de 18.000
frênes;
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Sous la proposition du Chef du Service de 1*
Instruction
Publique et de 1* Admin is tràteur dès Iles Sows le Vent;
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DECIDE
Art*-Ier L*allocation respective de 3.600 frjl’an
accordée à la Directrice de 1*Ecole dès Soeursdes Iles
Sous
le Vent et au Directrice de l’Ecolé protestante
d’Uturoa
eèt portée pour compter du 1er janvier 1930 à 9.000
\
francs l’an.
*
Art*-2-.C3tt© dépense imputable au ChapitreII art;
6 paragraph* 42 du budget local de 1930 sera
mandatée
respectivement à Mme Cèle s tine BQRLES en religion Soeur
I*ouise dû Coeur de Jéèus et à M. Paûl VERNIER à Uturoa
•
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Art*-3-. Le Secretaire Général du Gouvernement et la
Chef du Service de l’Instruction Publique sont
cha¬
chargés
t*
cunes
qui le eonaerae de l’exécution de la présente
<&&cta&<3lndttlrfêra éhrégistrée .communiquée et publiée p&rtou
Papeete le 9 Décembre 1930
Aî"-
Pour ampliation
le Chef de Cabinet
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BUILLARD
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P.C.C.
Signé JORE
La Chef du 2em
Bureau du Secretariat
Général
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Service du Patrimoine
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INSPECTION
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privé
concernant l’enseignement
de l'Océanie
français
dans les Etablis cements
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établissement d’enseignement privé ou d’assistance aux e•niants ne sera ouvert hors de l’autorisation1 admini
tnative
Tout établissement non autorisé existant avant, la promul¬
gation du présent décret devra se pourvoir de l’autorisation régle¬
mentaire dans les six mois de sa publication au Journal Officie
c ear le
des Établissements fraisais de
Art i o Le 2._ Le fonctionnement des écoles /privée et des éta¬
12
na
itions
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aux
d’assistance
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enfants est soumis aux
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X
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va
du Gouverneur de
Dépôt par le directeur entre les mains du
la Co.Ionie -d unie demande d’autorisation indiquant le caractère de
l’établissement, son organisation générale, le nombre des.maîtres
et cies classes, le plan des bâtiments affectés à l’usage d’enseigne
ment ou d ’habitation pour les élèves
•
2°,__ L’obligation de tenir les registres en usage clans les écoies officielles, de fournir un rapport arnu.ei sur la situation
K matérielle et morale de 15 étal) lis se ment, de se sonne tire a la vis!
te du One f du Service de l’en soi Element, des médecins de 1’hygiene
et des administrateurs de la circonscriptions .
Article 3._ L ’ensei,piemeib: doit être donné exclusivement en
1 ai °ur française
Les établis sononts^ ai tue 11 emert autorises a
donner l’ensei nemer.t» .en langer étrangère c on s < rverono c cous auooridation, mais l’enseignement de la langue française y sera obii1°
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......
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suivant
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4,_ Le personnel ■c.nçoi, rant devra être pourvu,
Article
s a f one 11
on des titres de capacité exige s.pour exercer dans les
ion,
fficielies ou de titres dont 1 ’equivalence aura oOo admise*
écoles officie
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l’ensei
Article 5,_ Un c aise il de surveillance de
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institué dans la colonie
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ment destine
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adminisà un culte public ne pourra s’établir sans auoori s au ion
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Aucune
réunion cultuelle ne pourra être tenue eu dehor
des
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étabi i ss émoi. t s auto ri sés,
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dans la colonie. s ont
Article
:c ran ç ai s e. e h latine
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ses
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se ui s-
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et
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Service du Patrimoine
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Article .R. .'Aucune
touillée do propagande, comport art dos ap-
pôle cl ’arge.ut i.x fitèles, ne po ut otro entreprise’.que sur auto ri 's a ti ou" adrni n i s t rat ïmq per fertile et dans ’le s" partie s de la colo¬
nie désigné^ par arrêtée du Gouverneur
.
S A N C ï I 0 r s
i one aux
jj<aoA Ouf-‘.JL appe¬
Article 9.__ Le;.. infractions
pre ec ri pu i one du i)ara-Tfinl
lucret eeront déférées au Couse il de
2 dé l’article 2 du prie eut duc
u, pourra
surveillance de l’eneeipnement prive quip après en que une
s une
des
iu
proposer a Lieutenant-gouverneur l’application de 1’
tiens suivantes
,,
L ’ av o ri i e e o me n A ;
L ’ in te rd ic t i on à t e mpe ;
1
La
forme ture de 1’é t ablis e emeut
n i s t rat i admi
mes.
fe
par
mesure
(a?.-,
i " <\r.mr~r. tf. d ’"in ft'mct i nn
ni stance ou
(viviln
les
ou confessionnels
établissements
d’instruction, d’as
d’assistance
Article 10._ Seront agilement
ve
.
qui existeront en violation de s articles 1er et 6.^ .
Les c ont devenants, de même que ceux qui Enfreindraient le
dispo sitions des eu*tic le s 3, 4 et 7, seront traduits devant les
*.
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à
francs
tribunaux compétents et punis d’une amende de 100
.
500
Pu cas de récidive la peine sera de. 200 à 1.000 francs d’a¬
mende
Les iiifficti
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ment de six jours
.
.
.
x
.
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de récidive, de 1.000 a. 3.000 frai .c s indupe n
d amme n t‘ des sanctions qui pourraient êfcfcre encourues dans lo cas
où les actes tomberaient spun le coup de la loi pénale
a c un fi
e s quête
se atu
La
il sc
ati on au,
d u pproduit,
rod uit daes
que s. se ra obi i gftto.i renient
prononcée au profit du bud un t local.
en cas
_
Los dispdsitions.de
1 ’article 463 du Code-
appliquée aux délits prévus par le présent décret
p oürront
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Article 11._ (manque)
Article 12.
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i ’application du présent décret.^
Article 14._ Le Ministre des Colonies est chargé de l’exéen
t ion du présent décret, qui sera publié au Journal- Officiel de
la République française et au Bulletin Officiel du ministre des
Article 13.
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profsssiennels que la Chambre de Commère® n’assurera pas*
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gnement donné aux élèves infirmiers et élevas sages "femmes du
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RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ — ÉGALITÉ —• FRATERNITÉ
ETABLISSEMENTS FRANÇAIS DE
L’OCEANIE
COURS D'ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL
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PAPEETE
IMPRIMERIE DU GOUVERNEMENT
Service du Patrimoine
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
LIBERTÉ — ÉGALITÉ — FRATERNITÉ
ÉTABLISSEMENTS FRANÇAIS DE L’OCÉANIE
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Cours d’enseignement professionnel
I.
—
Les besoins du pays.
Le développement progressif et continu de la Colonie a provo¬
qué, dans les industries locales et le commerce, la création d’em¬
plois nouveaux et variés pour lesquels les jeunes gens du pays
n’ont pas été préparés.
D'une part, commerçants et industriels déplorent le manque
d’employés et ouvriers compétents, ce qui les oblige, non sans
de grands frais, à recruter au dehors le personnel spécialisé qu’ils
ne trouvent
pas sur place.
D’autre part, les jeunes gens du pays, faute de préparation pro¬
fessionnelle, n’ont pas toujours trouvé, dans l’emploi qu'ils ont
accepté après leur scolarité, les satisfactions qu’ils escomptaient;
par suite, ils ont trop souvent fait preuve d’une inconstance et
d’une instabilité défavorables a leur avenir.
II.
—
But des cours.
C’est pour donner à la jeunesse locale le goût d'un métier, et
lui fournir les moyens de s’y perfectionner, que sont organisés
les cours d’enseignement professionnel. Ces cours se proposent :
a) — d'attirer les jeunes gens vers des professions qui répon¬
dent à la fois à leurs aptitudes et aux besoins du pays ;
b) — de les munir, pour ces professions, de connaissances
théoriques et d'une habilité pratique présentant toutes les garan¬
ties que peuvent exiger les employeurs;
c) — d’offrir aux adultes les moyens d’acquérir les connais¬
sances qui leur font défaut dans le métier qu’ils exercent actuel¬
lement.
2
III.
—
Différentes catégories «le cours.
L'examen des besoins les plus immédiats de l'industrie, du
commerce et de l’Administration permet de
répartir les études
susceptibles d’assurer un avenir convenable en six catégories :
a) — cours de navigation ;
b) — cours de commerce ;
c) — cours de mécanique, électricité, travaux publics;
Jb
ment les élèves à l’exécution des travaux se rapportant à la pro¬
fession qu'ils ont choisie.
C’est l’application directe de ce qu’ils
ont appris au cours des exercices précédents.
V.
—
~
cl) — cours de T. S. F.
é) — cours d’enseignement médical ;
IV.
—
Pour sanctionner les études, stimuler l’amour propre des can¬
didats et donner, à ceux qui le méritent, une reconnaissance offi¬
cielle de leurs aptitudes, il est institué pour chaque section un
diplôme qui sera délivré aux élèves qui auront subi avec succès
un examen portant sur
les différentes parties du programme de
-
f) — cours d’enseignement pédagogique;
_
leur section.
VI.
Organisation générale «les cours.
Chaque cours possède une réglementation particulière qui dé¬
termine son organisation et règle les détails d’exécution.
COURS
—
—
Suivant les besoins, l’enseignement sera donné:
soit dans la journée,
soit le soir.
qui, par suite, ne sont libres qu’à 17 heures. Dans certain cas, les
élèves des cours du jour seront astreints à suivre aussi ceux du
soir.
L’enseignement est donné, en général sous trois formes:
a) — des cours d’enseignement théorique ;
b) — des exercices de démonstration ;
c) — des travaux pratiques.
a) — Cours denseignement théorique. — Ils ont lieu, pour la
plupart, dans l’une des salles aménagées pour l’enseignement
professionnel dans les bâtiments du service des Travaux publics,
Avenue Bruat, à Papeete.
b) — Exercices de démonstration. — Ces cours complètent les
précédents et permettent aux élèves de comprendre aisément la
théorie.
—
Gratuité.
—
Admission.
L’autorisation de suivre les cours doit être demandée au Secré¬
taire Général du Gouvernement. Chaque demande (contresignée
par les parents pour les enfants mineurs) devra porter les indica¬
tions suivantes :
Les cours du jour sont destinés aux élèves qui désirent recevoir
une instruction professionnelle
complète. Ceux du soir sont plu¬
tôt ouveits à l’intention des adultes déjà pourvus d'un emploi et
c
—
Les cours sont entièrement gratuits ainsi que les fournitures
nécessaires.
VII.
—
Diplômes.
Travaux pratiques. — Ces exercices qui constituent un
véritable apprentissage, ont pour but d’entraîner méthodique¬
Service du Patrimoine
a) — Nom et prénoms;
b) — date et lieu de naissance ;
c) — résidence actuelle ;
d) — profession (s’il y a lieu) ;
e) — degré d’instruction;
y) — section choisie ;
(Nul ne pourra être admis s’il n’est français ou sujet français.)
VIII.
Discipline et licenciement.
Les élèves qui, en cours d’année, feront preuve d’indiscipline
ou d’insuffisance de capacité, ceux dont la moralité ou l’état de
santé laisserait à désirer, pourront être licenciés.
—
IX.
—
Bourses.
Des bourses d’enseignement professionnel pourront être ac¬
cordées aux élèves domiciliés en dehors des centres d’études
afin de leur assurer la nourriture et le logement.
Des indemnités pourront être accordées pour les services ren¬
dus pendant l’exécution des travaux pratiques de la journée,
4
COURS DE NAVIGATION
COURS DE COMMERCE
/voue. Sa.
BUTS
Préparation au Brevet de capitaine au petit cabotage — qui
donne droit au commandement des navires armés au cabotage
ordinaire dans les eaux des Etablissements Français de l’Océanie.
2°
Préparation au Brevet supérieur de capitaine au cabo¬
tage — qui donne droit au commandement des navires armés
au cabotage
international pour l’ensemble du Pacifique.
i°
Comptables ;
2° Former des Sténo-dactylographes.
i° Former des
LES COURS
—
comprendront deux sections : la durée des études
sera de deux années scolaires.
Les
i°
cours
Section comptabilité. — Les cours auront lieu le soir après
professionnel, au Ser¬
17 heures dans le local de l’enseignement
vice des Travaux publics à Papeete. Ils comprennent:
a) — des cours de comptabilité commerciale ;
b) — des cours d’arithmétique commerciale ;
c) — des cours de langue anglaise.
2° Section sténo-dactylographie, — Ces cours auront lieu dans
le même local et aux mêmes heures, mais à des jours différents,
ce qui permettra aux
élèves-comptables de suivre également les
cours de
sténo-dactylographie.
il est indiqué au paragraphe
VIL
Les candidats doivent être âgés de 15 ans et pourvus du certi¬
ficat métropolitain ou justifier d’un degré
lent.
Les cours auront lieu
le soir dans le local de l’enseignement
professionnel au Service des Travaux publics à Papeete.
Ils se répartissent en Cours préparatoire d’une durée d’un an
et en Cours d’application d’une durée de 6 ou 8 mois.
ADMISSION AUX COURS
Pour être admis à suivre le cours préparatoire, il faut avoir 16
ans.
Pour être admis à suivre les cours d’application,
ADMISSION AUX COURS
Adresser une demande comme
LES COURS
d’instruction équiva¬
EXAMENS ET DIPLOMES
a) — Examen de passage de re en 2mR année. A la fin de la ire
année, les élèves subiront un examen de passage — Ne seront
admis en 2me année que ceux qui auront obtenu la moyenne
cessaire.
né¬
b) — Examen de fin d’études. — Section de comptabilité — En
fin de 2me année, un examen portant sur les cours de comptabi¬
élèves d’obteSection sténo-dacty¬
lographie : Un examen sera passé en fin de 2ma année. Les
épreuves seront corrigées en France et annotées par l’Associa¬
tion Sténographique unitaire qui délivrera un diplôme aux candi¬
lité et d’arithmétique commerciales permettra aux
tenir un Brevet d'aptitude commerciale —
dats admis.
Service du Patrimoine Archivis
il faut être
âgé de 23 ans et avoir effectué 36 mois de navigation dont 24 au
au moins au iong cours ou au cabotage et avoir obtenu
le certi¬
ficat de théorie dont il est parlé plus loin. L’admission au cours
doit être demandée comme il est indiqué au paragraphe VII.
PROGRAMMES GENERAUX
a) — Cours préparatoire— Eléments d’arithmétique, de géo¬
métrie, de cosmographie, de navigation, code international.
b) — Cours d'application — Constructions des navires à voiles,
à hélices, manœuvre — gréement — Droit maritime — Eléments
de mécanique et d’électricité — Moteurs marins et machines à
l’usage du sextanr
vapeur — Des exercices de démonstration sur
et du chronomètre auront lieu le dimanche de 9 heures 30 à 11
heures à la cale de halage.
EXAMENS ET DIPLOMES
A la fin du cours préparatoire, les élèves subissent un examen
qui leur permet d’obtenir un Certificat de théorie.
A la fin du cours d'application et après un examen subi avec
7
succès, il leur sera délivré l’un des deux Brevets énumérés plus
haut. Les titulaires du brevet de Capitaine au petit cabotage, peu¬
vent obtenir le brevet supérieur de Capitaine au cabotage en pas¬
sant un examen complémentaire dont le programme est fixé
dans l’arrêté spécial à la Section Navigation.
ADMISSION AUX COURS
Adresser une demande comme il est indiqué au paragraphe
VII
Les candidats doivent être de nationalité française, âgés
de 15'ans au moins et 19 ans au plus et être pourvus au moins
du Brevet local
La demande doit être accompagnée des pièces
suivantes :
—
—
ADMISSION AUX EXAMENS
Pour être inscrits à l’un des 2 examens, l’élève doit :
être français, sujet français, ou naturalisé et produire :
—
—
—
—
—
—
—
—
son acte de
son
naissance;
—
—
acte de naturalisation (s’il y a lieu);
états de services à la mer ;
l’extrait de son casier judiciaire ;
un certificat de bonnes vie et mœurs;
un certificat médical constatant son
aptitude à servir à la
—
acte de naissance ;
extrait du casier judiciaire ;
certificat de bonnes vie et mœurs ;
certificat médical.
ses
mer.
EXAMEN
DE FIN D’ETUDES
A la fin de l’année, les élèves sont tenus de se présenter à l’exa¬
men écrit du certificat
d’aptitude pédagogique, tel qu’il est insti¬
tué actuellement.
DIPLOME
COCUS D’ENSEIGNEMENT PÉDAGOGIQUE
BUT
Le cours d’enseignement pédagogique est destiné à la prépara¬
tion professionnelle des jeunes gens qui se destinent à l’ensei¬
gnement.
COURS
Il est prévu trois séries de cours :
a) — Cours de perfectionnement — destiné à parfaire et con¬
solider l’instruction générale des élèves — Cet enseignement est
donne soit à l’école d’application de Taravao, soit à l’Ecole Cen¬
trale de Papeete.
b) — Cours de pédagogie— Etude de l’organisation et du fonc¬
tionnement d’une école— Méthodes et procédés d’enseignement
concernant les différentes matières du programme — Devoirs.
c) — Applications pratiques — Les élèves sont chargés d’une
classe et assurent l’enseignement successivement au cours pré¬
paratoire, élémentaire et moyen.
Les travaux des séries B et C sont exécutés à l'Ecole d’applica¬
tion de Taravao. Les élèves sont logés et nourris et perçoivent,
pour leur participation à la classe une indemnité de 150 fis. par
mois. La durée des études est fixée à une année scolaire.
Le
diplôme du C. A. P. est délivré après l’admission aux
épreuves orales et pratiques qui peuvent être subies dès que le
candidat a quelques mois d’exercice.
AVANTAGES DE CARRIERE
Les élèves ayant suivi le cours d’enseignement pe/lagogique et
réussi à l’examen auront la priorité sur les autres candidats pour
l’obtention d’un poste. La préparation professionnelle facilitera
leur tâche et leur procurera des avantages pour l’avancement.
COURS DE
MÉCANIQUE ET TRAVAUX PUBLICS.
BUTS
Les buts de cet enseignement sont de former du personnel
spécialisé.
i°
dans les travaux de mécanique et d’électricité ;
2"
dans les travaux publics et le bâtiment;
LES COURS
Ces cours s’adressent à deux catégories d’élèves :
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1° les élèves désirant recevoir une instruction professionnelle
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b)des
1.
•.
8
9
complète (cours du jour et du soir) :
2° les élèves adultes
déjà pourvus d’un emploi (cours du soir).
Pour chacune de ces catégories
renseignement comprend :
^7)des leçons théoriques avec exercices d’application qui auront
lieu dans le local de l’enseignement
professionnel, le soir après
17 heures.
travaux pratiques exécutés par les élèves dans la jour¬
LES COURS
La formation professionnelle des élèves comprend :
a) des cours mixtes d’anatomie et pathologie externe, donnés
dans les locaux de l’enseignement professionnel le soir de 20 à
21 heures.
b) des cours mixtes d'hygiène, dans les mêmes locaux, de 18
née, soit dans les ateliers, soit sur les chantiers du Service des
heures à 19 heures.
c) un cours spécial de puériculture et accouchement pour les
ADMISSION AUX COURS
élèves sages-femmes, donné à la maternité.
d) des cours de démonstration et des travaux pratiques qui se¬
ront exécutés à l'hôpital et à la maternité dans la journée.
Travaux Publics.
Adresser
demande comme il est indiqué au
paragaphe
VII. Pour être admis au cours
complet, il faut être titulaire du
brevet local.
Pour être admis au cours du soir
(adultes) il faut avoir le cer¬
tificat d’études local ou une instruction équivalente.
une
DUREE DES ETUDES
Pour les infirmiers: une année scolaire.
Pour les infirmières sages-femmes-visiteuses : deux années sco¬
laires.
ADMISSION AU COURS
DUREE DES ÉTUDES ET DIPLOMES
La durée des études est d’une année scolaire à la fin de
laquelle,
après un examen subi avec succès il est délivré un Certificat
d'aptitude professionnelle pour la section suivie par le candidat.
Les élèves de la première catégorie qui, au cours de la ire an¬
née ont donné pleine satisfaction, tant par
leur travail que par
leur conduite peuvent être admis à suivre une deuxième année
de cours, ce qui leur permettra d'obtenir,
après l’examen de fin
d’études, un Brevet d'aptitude professionnelle.
REMUNERATION.
Les élèves de la première catégorie suivant les cours des tra¬
pratiques de la journée pourront obtenir une rémunération
pour les services rendus. La rémunération pourra être plus éle¬
vaux
vée au cours de la 2II1U année.
'V
Adresser une demande comme il est dit au paragraphe VU. Les
candidats doivent avoir 17 ans au moins et 35 ans au plus. Leur
demande doit être accompagnée des pièces suivantes :
acte de naissance ;
extrait du casier, judiciaire ;
certificat de bonnes vie et mœurs ;
certificat médical.
DIPLOMES
Les élèves ayant subi avec succès l’examen de fin d’études re¬
cevront un Diplôme a infirmier ou un diplôme d’infirmière sage-
femme-visiteuse. permettant le cas échéant, l’accès dans le cadre
local.
COURS DE T*JS. F.
BUT
cours i) i:\S!:k;\i:mi:\t méoicau
BUTS
Les cours d’enseignement médical ont pour but de foi mer:
r des infirmiers
;
2° des infirmières
sages-femmes-visiteuses.
cùu Cb'Trvmc-zesij
Former des Opérateurs de Télégraphie sans fil.
COURS
Les cours auront lieu en deux endroits :
i° Dans le local des cours professionnels:
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a) de 17 heures 15 à 18 heures 17 : leçons théoriques, sur l'é¬
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lectricité, les appareils et les règles de service.
b) de 18 heures 15 à 18 heures 45 : cours de démonstration,
manipulation et lecture au son.
20 Dans le poste de T. S. F. de Fare-Ute: cours de démons¬
tration sur les moteurs, l’entretien et le dépannage des postes.
Travaux manuels.
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Papeete, le 20 septembre 1930.
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A la fin de l’année, les éléves ayant subi avec succès un exa¬
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les notions théoriques et pratiques étudiées,
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Adresser une demande comme il est dit au paragraphe Vil. Les
candidats doivent avoir 15 ans et posséder le brevet local.
recevront un Brevet local d’opérateur de télégraphie sans
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lesquelle* pourront
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repris les ûotira profea&ioimol» que la
ô& Ooimevoe
n*assurera paa„ et de faire toutes propositions utiles au Clief
de 34| Ifeltey
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Xa ft'mille®ion s’oai réunie» eu* le aonvocation
mn
Président, la 3» < ototoe ltsCl dans unlocal des
V.
à 16 havre® »
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stalest psémnt* *
AtTcs&Uf* inspecteur dus Affaires ôdîafnistratum»
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è&eein~ dr- icmol O^HÜ* 0bsf
■servi es d# ..■ante
eicto#i
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clu Service ci©a
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i^éoident donne lecture d« la déoieiea *>w:«wt la
feoBloelon et demande que U Alte oommiaa Ion femule un «vis
aur
l'utilité de «ainWr le8 «ours a*«,a0%ne»Bt profeail# dont la Chaïibr© de ftl®
peut ee ifeMlBMir
Huit si** les
cours d * en?*© i^Bsmænt
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ufemité i^our les 1'
qui concerne 1 *enaeiguornent raedleal* après awll
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ntendu,1* exposé ào
la
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suppression du
d*enseignement mêàt al»
cours
en
réserrant
toutefois» le a droits de 1* élève -sage^f em © actuellement ins*
crit©*
àn ce qui concerne X’enaelg
de
travaux publics» le #r aident expose
a
mécanique et de
qu’a son avis» la Colonie
surtout be so in do bons ouvriers qui ne peuvent
être formés
qu’après un a;parentiaaags* au cours- duquel il» reçoivent un
«ne»ignememt pratique et des notions tli 'oriques
pr tend
cité-
ouvrier
un
1’exeraies do
son
ne
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atiàre d© mécanique» et é lac tri»
qu’en
reçoit, on apprentissage et pendant tout
métier, aucun enseignement
enseignement pratique
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résultats*
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ouvrier -aai n© s’est fbraé que mr la.
ouvrier
éclairé-
ne
ne
s’il acquière
peut être un
mtionb théoriques
donnant X* expli at ion du fonctionnement du èsatériel qu’il ©Emploie*
m
conséquenoe, la corn lésion émet le voeu que les cours
a© m conique
et d#électricité soient maintenus, à condition que
le nombre des
élève» inscrite soif suffisant ©t qu’ils aqp&r**
tiennent depuis d use ans
à la corporation pour
veulent suivi®, les cours
théoriques *
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être repris les cours professionnels que la Chambre de corn'
n* assurera pas»w.
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