VEA MAOHI_N_001_1939_JANVIER.pdf

Texte

C o lo n ies
V*wc.:-r
F lic s’ amaigrit cscasid^r»,ble®icrj;t' ©t &1X© s ’ anlcylosaj des s o is '.pont
nécessaire» pour redonner à l ’ erticul&tion du- genou la p o s s ib ilité de
tienaaer à r
. Quelque fo is avec ues -individus bous, p&re»®eux,
le jssbe res te raid* et l e gonou est ankylosé pour toujours.
Pour ton esp rit e t ton .Inteliigt.-ace i l ©n ©si %1« .-*»«.

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Le»tahifci«® so doit . ’
: ter Se® aliacnis nouveaux 1 son e s p rit
pour le. t e n ir . é v e ille r e t eâs«£ pour s’ in s tru ire , savoir ce qui se pats©
déos le rond®7plus-loin, que son d is tric t.
C’ est une erreur de cro ire qu’ un cultivateur ou tua pêcheur nu o it
pas être instruit.'ton t cossae un. eoÆserq&at. C’ e s t à -cause de Isu r Igaorfnc® que beaucoup de tahitien s ont vandn ou p*-r.;u leurs terres.
One ceux -donc qui connaissent l e nVo& ■ï&iohi* e t y trouveat rie l ’ tnt le fassent coanaîtr© autour d’ eux.
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On tahifcion d o it chercha? 1® moyen d’ âtr® u t i l e aux autres f-.hitiens.
Si tous le s Tabitituis é ta ie n t unis i l s ©©raient oap&hlos de P a ir * ri®
grande© choses, peut-être aièm*& de .racheter leur & terres. Le T-sa '4 c h i v

ne s® propos?® pas autre chose que d’ aider l ’ indigène pourquoi donc
a® cherches-tu pas toi ceux qui ignorant ce jounnàl et qui ont comm»
toi besoin d’ être Instruit pour vivre non comm» un parasite, mai»
ceæae un héame libre»
La Gouverneur Cb&ftenet d® Gery veut que ce journal colt u tile à
tous les tahitiens, c’ est pourquoi i l lui a donné sa fora® nouvelle
actuelle»
#
Pour qu’ i l soit un véritable trait d’union entre lu i et Iss popu­
lations de toutes les île s i l a chargé 1. E. Pailioux qui connaît
depuis longtemps beaucoup ol indigènes de l a rédeo^on es français .
des «rtic le s du ¥ea que traduit ensuite S. G. Lagarde qui est le
meilleur interprète en tafcitisn.
Vous 9Kwm du reste ainsi que l e Gouverneur l ’ a exprimé aux chefs
et aux populations au cours déjà de ses différentes tournées que
toutes vos suggestions, vos doléances, vos réclamations et vos
plaintes peuvent être adressées à son Cabinet où un service spécial
est du r© ‘te organisé pour les étudier et leur donnsr/satisfaction
qu’ elles comportent*
Le fee leohi est cowæ® un bateau à voile. Le bateau «et là solide
avec d# bons sait# et des voiles neuves mais i l n’ y « pas assez d#
vent pour qu’ i l gagne 1® large et a ille loin .
Saorie de? E.F.ü. -tous êtes m vent Ü .

8oj&t M slraac à souffler dens les voiles du Vea Maobl.

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Janvier 19S-9
QHS WSt L 'If-L IE ?

6o@as I# relatait le If*» Ms©M aififun» gravie isf»rae«ib àî 100*000 Ü&ulsiens é ta ie n t 4cccura# spontan-é.soat
s i f.
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JLn.
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À Tunis — Sistcaurmt m. cours dm
donne- es $00 h o n n ir à l 1-5t e l t-j.8 siiC f D:JLacier souligna t*L»z téteaign&g&s renouvelée ie f i d é l i t é
et d® lo^-alisffie donnés 1 ls Pri nce* au cours des derniers mois xutty les
corps constitués « t l e » populations de Tunisie, d #Algérie et du Maroc,
ns pouvaient pas rscler sans répons#* C’ est ç>ou.rçuoi 1*3 cht-f ciu gasttvsriie»
sent fracQiii# tin t à v*a ii lu i —?aê.se cire à notre f la ir e qti© la M tropole
ti.'snt à. lu i autant q u 'il tien t à e lle .
bous» n'avons pas coutstæ de regarder au—ce la des lim ites «roi nous cu­
rent fix é e s par l 'h is to ire ,
La Pr-oîce vous apporte l'o r d r e e t la d is c ip lin e oui sont 1s plus sûre
st la plus e ffic a c e duo protections contre la fo rc e brutale, c i l s vous
apports sa. propre expérience de fra te rn ité et 'de lib e r té , e lle a la force
d'assurer votre séewrlté, m paisaeuo# est in v in c ib le tsia» q u 'e lle
pacifique lit contant ne :a^rquer&1s—je pas i c i due, eux forces de l ’ &risc®
a■trop®üt--inc s'ajoutent le s forces dë i ’ areé© d'Afrique, ineomoar^bl©
fcCole ce l 't & i t i é du dévoua...ont autre i'rwaç*is e t Husulsan»,
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Fuis Xs Prwsicisnt f la d ie r ®e rendit pssssôr en revu® les troupes qui
gardent la fro n iiô re Tunisienne» voisine de & U c de 1s Lybie où fon t iii 3ta ii«s Iss ïfclliftf.s. Plus de ^0,000 soldats à chs-vsl, à chs-asau, 4 pi sa8
prê@ a® leur# evios*, près de leurs canon# ou àe Xmxrs tealc,s ’-ltsi a t aassls dan# m cirque iwurveilleux*
M 44s©ri eoB^e d«s io la te ia s .viU sge» des a i l l i o r s d’ arabes étaient

Vfsm» v o i t X# repr&seBts&t 4 e Xfe f
a i ses soldats*
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