B98735210103_180-181.pdf
- Texte
-
BULLETIN
de la Société
des Etudes Océaniennes
POLYNI SU
ORIENTALE
SEPTEMBRETOME
N °
15
DECEMBRE
N ° 7et 8
180/I80
CONSEIL d'ADMINISTRATION
Président
Mr. Henri JACQUIER
Vice-Président
Secrétaire
MALARDÉ
Janine LAGUESSE
Mr. Yves
Melle
Mr. Paul MOORGAT
Trésorier
ASSESSEURS
Mr.
Me
Mr.
Adolphe AGNIERAY
Rudolph BAMBRIDGE
Eric LEQUERRÉ
Mr. Pierre JOURDAIN
Me Jean SOLARI
Mr. Raoulx TESSIER
Mr. Temarii TEAI
Mr. Maco TEVANE
D'HONNEUR
MEMBRES
Mr.
BERTRAND
REVEREND
PERE
Pour être reçu Membre
membre titulaire.
JAUNEZ
PATRICK
de la Société
se
OREILLY
faire présenter
par
un
Bibliothèque.
informe ses membres qu'ils
domicile certains livres de la Bibliothèque
en signant une
reconnaissance de dette ai/ cas où ils ne ren¬
draient pas le livre emprunté à la date fixée. Les autres peu¬
Le
Conseil
d'Administration
peuvent emporter à
vent être
La
consultés dans la Salle de lecture du Musée.
Bibliothèque et la salle de lecture sont ouvertes aux
jours, de 14 à 17 heures, sauf
membres de la Société tous les
le Dimanche.
Musée.
Le Musée est ouvert tous les
jours, sauf le dimanche de 14
à 17 heures.
Société des Etudes Océaniennes
BULLETIN
DE
LA
Société des Etudes Océaniennes
POLYNESIE
ORIENTALE
Septembre-Décembre
TOME 15
-
Société des
No 7 et 8
Études
No 180-180
Océaniennes
Société des Études Océaniennes
LES ELEMENTS DESCRIPTIFS DES
POLYNESIE ORIENTALE, EXAMEN
par
et
Dans
Francine M. Mayer
Fran ci s-Moeava
4),
avions présenté un
nous
Peltier
dans le Bulletin de
(Sept-Déc. 1971, T. XV, No. 3
article précédent, paru également
un
la Société des études océaniennes
&
PILONS DE LA
ET DISCUSSION
compte-rendu aussi détaillé que
possible d'une étude concernant les pilons de pierre de la Polyné¬
sie orientale, étude menée par étapes successives de 1966 à 1968.
Rappelons
d'ensemble de
que
ce
nous
avions précisé l'intérêt d'une étude
matériel archéologique pour retracer l'histoire
polynésienne ; que nous avions ensuite présenté le
lequel cette recherche avait été basée tout en expli¬
quant le système d'analyse utilisé.
culturelle
matériel
sur
système consiste en la codification d'un grand nombre de
descriptives traitées au moyen d'un système
inversé de cartes perforées. Ce grand nombre de caractères des¬
criptifs nous avait amené à créer un code de caractéristiques basé
sur l'ensemble de notre échantillon,
code qui fut reproduit inté¬
Ce
caractéristiques
gralement dans l'article en question.
Nous
l'analyse
également exposé les premiers résultats de
précisant les principales caractéristiques des pilons
aires géographiques de la Polynésie orientale.
avions
en
des diverses
provenaient de l'étude des corrélations entre
principales caractéristiques des pilons et les principaux
groupes d'fles de cette région du globe (cf. p. 72 de l'article
précédent). Toutefois, faute de place, nous n'avions pas présenté
et discuté nos tableaux de corrélations et nos courbes de fré¬
Ces
résultats
les
résultats des corrélations. Cela est maintenant
grâce encore une fois à la Société des études océa¬
niennes qui a bien voulu accepter de publier cette partie impor¬
tante de notre recherche. Les chercheurs pourront ainsi vérifier
nos conclusions. En outre,
ils trouveront en annexe les tables de
distributions et les courbes de répartitions des éléments descrip¬
tifs des pilons de notre échantillon ; il s'agit en fait de nos don¬
nées de base qui nous ont servies à élaborer le code.
quences
des
possible,
191
Société des
Études
Océaniennes
EXAMEN ET DISCUSSION
va suivre portera sur les résultats des
principales caractéristiques des pilons et
les principaux groupes d'fles de la Polynésie orientale. Ces ré
sultats sont exprimés pour chaque groupe d'îles par des courbes
de fréquences des différentes classes de mesures et d'indices.
La
discussion
qui
corrélations entre les
poids, des hauteurs,
d'élancement,
des indices de sveltesse, des indices de développement latéral du
sommet et des indices de pression de la base. Nous avons égale¬
Les classes considérées furent celles des
indices de convexité de la base, des indices
des
ment
considéré la distribution des formes de têtes par rapport aux
principaux groupes d'îles.
Ce travail
ne
représente qu'une recherche préliminaire et les
corrélations peuvent être innombrables. En outre, notre
échantillon
représente qu'une partie du corpus des pilons de la Polynésie
orientale. Les corrélations que nous avons faites ici nous sem¬
ne
général et devoir apporter une vérification du code
du système utilisé (voir notre article précédent). Les résultats
obtenus semblent montrer l'efficacité des moyens d'étude que nous
blent d'intérêt
et
utilisons
puisque
nous pouvons
distinguer,
comme on va
le voir,
certaines courbes de fréquences des indices, des groupements
valeurs semblables représentant les principales zones géo¬
pour
de
graphiques déjà reconnues par l'ethnologie et l'archéologie poly¬
Lorsque des indices restent groupés dans des limites
restreintes, il s'agit alors vraisemblablement d'attributs fonc¬
nésienne.
tionnels où le choix culturel s'exerce
au
minimum.
premières corrélations e,t sur notre
méthode, d'autres chercheurs pourront, selon leurs buts, utiliser
En
des
basant
se
sur
groupements de
ces
classes plus restreints afin d'obtenir des
données plus précises concernant chacune
des îles s'ils le dési¬
étude complémentaire de ce matériel
ou
d'autres qui leur sont accessibles, des renseignements per¬
mettant de contribuer à une meilleure connaissance du développe¬
ment culturel de la Polynésie orientale. Nous mettons donc à leur
disposition le catalogue descriptif des pilons dont nous avons tiré
nos données ainsi que les cartes IBM perforées en les déposant
au Département d'Anthropologie du Bemice P. Bishop Museum.
rent et
ainsi
Nous
obtenir,
par une
présentons maintenant la
discussion concernant
diverses corrélations. Dans les tableaux et les courbes
ces
qui seront
présentés, les aires géographiques et les autres éléments ayant
servi aux corrélations sont exprimés selon les termes du code que
l'on retrouve reproduit dans notre article précédent. Nous prions
192
Société des
Études
Océaniennes
donc les lecteurs de bien vouloir
Nous devons
des
corrélations
s'y référer.
également avertir les lecteurs que les résultats
les fies Cook, Gambier et Tuamotu
concernant
peuvent être affectés par suite du petit nombre de spécimens
nous avons
eu
pour ces
que
fies.
No. 1 CORRELATIONS AIRES GEOGRAPHIQUES
CLASSES DE POIDS
Nous pouvons constater que
la majeure partie des pilons des
fies de la Société, des Hawaii, des Cook et des Australes se situe
la classe CP-3 (900 à 1600 gr.) où se retrouve la majorité
spécimens de Polynésie orientale. Il faut signaler que les
spécimens des fies Marquises se répartissent selon une courbe
beaucoup plus normale, avec cependant un maximum dans la classe
CP-4 (1600 à 2100 gr.). Les pilons des Gambier se trouvent aussi
dans
des
dans cette classe.
Par la lecture de cette courbe, nous constatons que les pilons
plus pesants ne se retrouvent que dans les Hawaii et dans les
Gambiers. Le poids moyen des Tuamotu se situe dans une des
classes les plus faibles, en l'occurence CP-2 (500 a 900 gr.) où
l'on retrouve une partie importante des pilons des Sociétés. Ces
deux régions sont voisines et cette similitude peut être due à des
influences culturelles ou à des échanges commerciaux.
les
193
Société des
Études
Océaniennes
£.
Au
C.P-2
CF-1
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j
CP- 3
AG-1
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0
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1
1
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0
0
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1
AG-2.4
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0
1
0
0
0
0
0
0
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0
1
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5
0
0
20
AG-3.1
0
1
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4
1
0
0
0
33
AG-3.2
0
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6
8
3
0
2
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0
0
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1
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0
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1
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0
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1
1
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1
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AG-5
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V.O
1
I
TASLEA'J
C£
CCt- izLATIC,' 3
194
Société des
Études
Océaniennes
-
No. I
No. 2 CORRELATIONS AIRES GEOGRAPHIQUES
CLASSES DE HAUTEURS
Si nous considérons la répartition des hauteurs des pilons des
différents groupes d'îles, il semble y avoir une plus grande indi¬
vidualité selon les régions. Pour les Société, les Cook et les
Australes, la hauteur moyenne des pilons se situe dans les classe s
CH-3 et CH-4 (12 à 16 cm.). Pour les Hawaii, la hauteur
moyenne
se
situe dans la classe CH-6 (18 à 20 cm.). Alors que pour les
Gambier et les Marquises, elle se situe dans la classe CH-7
(20 à 22 cm.).
A l'exception des Tuamotu et des Gambier dont les courbes
fréquences ne sont pas normales, cela sans doute du au faible
échantillon que nous possédons pour ces îles, les courbes des
autres régions sont normales, mais avec des hauteurs
moyennes
différentes. D'après ces courbes, les classes de hauteurs semblent
fournir des données plus spécifiques concernant les divers
groupes
d'îles et pourraient servir utilement à isoler ou à rapprocher
cul-
de
turellement
un
certain nombre d'îles.
196
Société des Etudes Océaniennes
4
CK -J
E. AG.
CH-2
CH-3 CH-4 CM—5
CH- 6
CH-7 CK- 8 CH -9 CH-10
62
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62
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1
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0
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1
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0
~
TABLEAU
OE
CORRELATIONS
197
Société des
Études
Océaniennes
"6~
Nil.2
198
Société des Etudes Océaniennes
No. 3 CORRELATIONS AIRES GEOGRAPHIQUES
INDICES DE CONVEXITE DE LA BASE
En
ce qui concerne la convexité de la base nous avons cons¬
qu'elle se situe généralement autour de la classe CI-1.2
(indices de 19 à 45) à l'exception des Hawaii et des Tuamotu qui
possèdent un assez grand nombre de spécimens à convexité plus
taté
forte. Les Cook font aussi exception en possédant
nombre de
Par la lecture de
que
19
et
ces
;
grand
courbes presque
la convexité générale des pilons
45
un assez
pilons à faible convexité.
cette faible variation
but fonctionnel du
se
ferait de
identiques il semble
situe entre les indices
cette
convexité
pilon à poi polynésien.
199
Société des
Études
Océaniennes
un
attri¬
*■
E. AG.
62
AG-I
CI-1.1
CI-1 .2
CI-1.3
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0
9
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1
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0
0
2
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0
2
0
1.
AG-2.4
0
1
0
38
AG-3
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19
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0
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AG-3.1
0
16
4
0
33
AG-3.2
0
18
15
1
5
AG-3.3
0
2
3
0
5
AG-3.4
0
4
1
0.
12
AG-3.5
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1
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0
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-
_
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0
1
1
0
ECHANTILLON)
TABLEAU
Dt
«
CCnBELATICNS
200
Société des
Études
Océaniennes
No. 3
No. 4 CORRELATIONS AIRES GEOGRAPHIQUES
INDICES D'ELANCEMENT
répartition des fréquences des indices d'élan¬
les différentes aires géographiques de la Polynésie
orientale sont presque identiques. La grande majorité des pilons
de tous les archipels se situe dans la classe d'indice CI-2.2
(indices de 23 à 38). Cependant un certain nombre de pilons des
Gambier se situe dans des classes d'indices plus élevés, c'està-dire les.classes CI-2.3 et Cl-2.4 (les indices 38 a 38 et plus) ;
Les courbes de
cement
ces
pour
pilons seraient donc plus élancés.
des pilons dans la classe CI-2.2 suggère que
pilon est une caractéristique fonctionnelle.
Ce groupement
cet
élancement du
202
Société des
Études Océaniennes
01-8.4
AG-1
0
62
0
0
62
AG-I.I
2
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2
0
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0
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5
AC-1.3
0
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1
0
3
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0
5
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0
8
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0
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1
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AG-2
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AC-2.1
0
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0
g
AG -2.2
0
2
AC-2.3
0
62
1
_9
0
0
2
0
0
AG-2.4
0
1
0
0
33
AG-3
0
50
8
0
20
AC-3.1
0
18
1
1
33
AG-3.2
■0
16
16
2
0
5
AG-3.3
0
3
2
5
AG-3.4
0
4
1
12
AG-3.5
0
9
3
0
0
10
AG-3.6
0
9
0
0
7
AG-4
0
2
3
2
4
AG-4.1
0
2
2
0
5
AG-4.2
1
1
2
1
3
AG-4.3
0
2
1
0
3
AG-4.4
0
2
1
0
3
AG-4.5
0
1
0
AG-5
—
-
-
2
-
2
AG-5.1
0
2
6
AG-5.2
0
4
12
AG-5.3
0
45
AG-5.4
0
29
AG-5.5
-
0
0
1
0
14
4
4
37
7
-
-
1
_
AG-6
—
-
14
AG-6.1
0
6
3
5
4
AG-7
0
4
0
0
1
AG-7.1
0
1
0
0
1
AG-7.2
1
0
0
0
2
AG-7.3
0
2
0
0
(* E
:
ECHANT 1
.
LL0';J
TABLEAU
C€
CONGELATIONS
212
Société des
Études
Océaniennes
No. 7
213
Société des
Études
Océaniennes
No. 8 CORRELATIONS AIRES GEOGRAPHIQUES
FORMES DE TETES
Nous constatons immédiatement que
les courbes de répartition
fréquences des formes de développement sommital se distri¬
buent de façon bien innégale suivant les différents groupes d'îles.
des
Si
nous
à
têtes
considérons la
sommet
caractéristique CT-1, c'est-à-dire les
élémentaire
nous
constatons
que
ce
sont
les
Australes qui
possèdent la majorité des spécimens de cet ordre.
Quelques rares pilons des Sociétés, des Marquises et des Hawaii
ainsi que des Cook possèdent aussi cette
caractéristique. 11 s'agit
vraisemblablement des
a
pilons dont la tête
a
été brisée et dont
on
repoli le sommet.
Pour
on
qui est des pilons dont le sommet est à développe¬
(TA), ils se trouvent tous aux Hawaii et aux Gambier ;
cependant quelques .spécimens dans les Marquises et
ce
axial
ment
trouve
les Sociétés et ils sont
assez
abondants dans les Australes.
Les
développements latéraux à sommet plat et concave
(TL-a-b) sont typiques des Sociétés, des Cook et des Tuamotu.
La présence dans les Cook et les Tuamotu de ces formes de têtes
pourrait être due à des échanges commerciaux
ou
à des influences
culturelles. On trouve aussi cette forme de tête dans les Australes
dans les Marquises ; la présence aux fies Marquises du pilon à
développement latéral à sommet plat et concave devrait être due à
des échanges commerciaux puisqu'on ne les trouve qu'en nombre
infime dans les fies de cet archipel.
et
Pour
sommets
bien
représentée dans les Tuamotu ; on la retrouve quelque
dans les Australes, les Sociétés, les Gambier et les Cook.
assez
peu
ce qui est de la
catégorie TL-C.l, c'est-à-dire celle des
à développement latéral à deux protubérances, elle est
catégorie TL-C.2, c'est-à-dire celle des sommets à déve¬
loppement latéral à trois protubérances, est assez rare. Ces sortes
de têtes se trouvent surtout dans les Sociétés, les Tuamotu, puis
dans les Australes, les Gambier et les Cook.
La
Les
ou
trois
pilons dont le sommet est à développement latéral à deux
protubérances sont très peu nombreux dans toute la Poly¬
nésie orientale.
Si
considère
plus en détail la courbe des fréquences pour
l'archipel des Australes nous constatons que nous avons en réali¬
té un profil fait de deux courbes successives et bien marquées.
La première courbe concerne les sommets élémentaires et axiaux
on
214
Société des
Études
Océaniennes
la seconde les autres formes de têtes, c'est-à-dire, les déve¬
loppements latéraux. Ces deux sommets dans le profil de la
courbe, marquent une coupure qui existe dans l'archipel des
Australes. Le premier sommet concerne essentiellement l'fle de
Rapa, alors que le second concerne les autres fies de l'archipel
et
en
question.
Il faut prendre note que l'on ne trouve dans les Hawaii
pilon à développement latéral bien que nous sachions qu'il
eu
des contacts
les fies
des
de
aux
ait
Les formes des têtes
deux régions demeurent Pès différentes.
ces
Le sommet à
y
Xllième et XlIIième siècles de notre ère entre
la Société et les îles Hawaii.
pilons de
aucun
développement axial qui
se
retrouve surtout
aux
pourrait peut-être se rapprocher du sommet à développement
latéro-axial des îles Marquises. Ce sont ces deux seules régions
Hawaii
qui possèdent des sommets plus ou moins axiaux, alors que tous
les autres archipels se classent en majorité dans les catégories à
développement latéral. D'après les récentes découvertes archéolo¬
giques il semblerait que les Marquises soient le centre culturel de
diffusion pour la Polynésie orientale. Peut-on voir dans la res¬
semblance entre les formes de têtes des pilons des deux archipels
une
certaine parenté culturelle ? Nous croyons que des corréla¬
tions qui seraient effectuées avec d'autres caractéristiques des¬
criptives proposées dans le code, comme celles concernant les
profils des corps des pilons et les diamètres de leur base, pour¬
raient peut-être venir appuyer cette hypothèse en nous permettant
d'obtenir d'autres données communes aux deux groupes d'îles.
Pour
comme
ment
et
résumer,
nous
pouvons
indiquer
les indices de convexité de la base,
certains indices,
les indices d'élance¬
que
de sveltesse, ainsi que ceux concernant
base semblent être des
attributs fonctionnels
la pression de la
en
raison de leurs
peut-être le poids,
sûrement la hauteur, l'indice de développement latéral et les
différentes formes de têtes semblent être plus sensibles aux
faibles
variations.
D'autres attributs,
comme
influences culturelles.
Nous
avons
effectué ici
une
faible partie des corrélations qui
à partir des éléments descriptifs indiqués dans le
code, cela afin de dégager les conclusions les plus générales et
de montrer l'utilité de ce genre de recherche.
peuvent se faire
215
Société des
Études
Océaniennes
*
E. AG.
0Ï-1
TA
TLA
TL-a-b
TL-C.1
TL-0.2
62
AC-1
9
4
2
34
4
11
62
AG-I.I
0
2
1
48
2
8
27
AG-1.2
3
5
1
13
2
4
5
AG-1.3
1
1
0
1
1
1
3
AG-1,4
0
1
0
0
0
1
8
AG-1.5
1
3
0
3
1
0
36
AG-2
6
5
23
2
0
0
14
AG-2.1
5
1
5
0
0
0
9
AG-2.2
0
2
7
0
0
0
2
AG-2.3
0
0
1
0
0
1
1
AG-2.4
0
0
1
0
0
0
38
AC-3
0
36
2
0
0
0
0
0
20
AG-3.1
2
18
0
0
33
AC-3.2
0
33
1
0
0
0
5
AG-3.3
0
5
0
0
0
0
5
AG-3.4
0
5
0
0
0
0
12
AG—3•5
2
9
1
0
0
0
10
AG-3.6
0
10
0
0
0
0
7
AG-4
0
0
0
6
1
0
4
AG-4.1
0
0
0
3
1
0
3
1
0
'
5
AG-4.2
1
0
3
AG-4.3
0
0
1
1
0
1
3
AG-4.4
1
0
0
2
0
0
3
AG-4.5
0
3
0
0
0
AG-5
—
_
0
_
2
AG-5.1
0
0
6
AG-5.2
■j
1
12
Au—5.u
1
45
AG-5.4
29
AG-5.5
AG-6
—
0
-
_
_
0
1
1
0
0
2
2
0
1
2
14
4
0
43
2
0
0
0
0
0
22
0
7
0
-
-
-
-
0
-
«
14
AC—6.1
0
9
1
1
2
4
AG-7
0
0
0
2
1
1
1
AG-7.1
0
0
0
0
1
0
1
AG-7.2
0
0
0
0
1
0
2
AG-7.3
0
0
0
2
0
0
(* E
:
ÉCHAMT
1
LL0f])
TABLEAU
DE
1
COFRC LATICN5
216
Société des
Études
Océaniennes
No.8
|
LE PILON POLYNESIEN.
218
Société des Etudes Océaniennes
TABLES DE DISTRIBUTIONS
ET COURBES DE REPARTITIONS
No. 1
:
poids
No. 2
:
hauteurs
No. 3
:
indices de convexité de la base
No. 4
:
indices d'élancement
No. 5
:
indices de sveltesse
No. 6
:
indices de développement latéral du sommet
No. 7
:
indices de convexité de la calotte
No. 8
:
indices de hauteur maximum de la tête
No. 9
:
indices de concavité du sommet
No. 10
No. 11
:
:
indices de
hauteurs
pression de la base
maxima
de
la
tête
par
rapport
sommitale
No. 12
:
13
:
No.
angles d'encolures
angles des faces latérales
219
Société c|es
Études Océaniennes
à la surface
TABLE DE DISTRIBUTION DES POIDS
(EN OHAW/ES)
*
■
*
P:
NO.I
E
P:
E:
P:
Ei
300
2
2100
8
350
3
2150
1
3950
1
400
3
2200
7
4000
0
450
2
2250
4
4050
2
500
9
2300
3
4100
0
550
14
2350
7
4150
0
600
17
2400
3
4200
0
650
16
2450
6
4250
0
700
20
2500
6
4300
0
750
18
2550
1
4350.
0
800
16
2600
"Z
4400
0
850
5
2650
1
4450
0
900
14
2700
2
4500
0
950
15
2750
3
4550
0
1000
13
2800
2
4.6OO
1
1050
"13
2850
1
4650
0
0
3900
i
'
0
1100
15
2900
2
4 700
1150
12
2950
0
4750
0
1200
10
3000
0
4800
0
1250
16
3050
0
4850
0
1300
11
3100
0
4900
0
1350
8
3150
0
4950
0
1400
12
3200
2
5000
0
1450
14
3250
0
5050
0
1500
9
3300
3
5100
2
1550
22
3350
1
1 600
7
3400
0
1650
7
3450
0
1700
9
3500
0
1750
7
3550
2
1800
7
3600
0
1850
11
3650
0
1900
10
3700
0
1950
10
3750
0
2000
9
3800
1
2050
4
3850
1
Pï
PO 1D s
E:
ÉCHANT1LLON
220
Société des
Études
Océaniennes
221
Société des
Études
Océaniennes
TABLE DE DISÏKIB:JTICN EES I
*
MILL ! f
H:
E:
80
0
116
1
152
5
188
8.
81
0
117
2
153
3
189
1
225
1
82
0
118
2
154
5
190
3
226
1
262
0
83
2
119
8
155
8
191
5
227
0
263
0
84
0
120
4
156
4
192
4
228
0
264
0
85
0
121
3
157
1
193
3
229
1
265
0
86
0
122
5
158
7
194
5
230
2
266
0
87
0
123
3
159
6
4
231
0
267
0
88
1
124
5
160
3
232
0
26 8
0
89
0
125
5
161
0
269
0
90
0
126
6
1
270
0
91
1
127
1
163
271
1
92
1
128
8
93
0
1
29
5
94
0
130
95
2
96
97
162
5
2
5
195
196
197
198
3
3
224
233
234
1
3
235
1
200
7
236
0
201
0
237
0
7
202
1
238
0
7
203
3
239
0
168
6
204
2
240
0
169
4
205
1
241
0
7
170
7
206
0
242
0
135
4
171
2
207
3
243
1
2
136
3
172
6
208
1
244
0
101
1
137
4
173
4
209
2
245
0
102
1
138
5
174
3
210
3
246
0
103
2
139
3
175
4
211
4
247
0
104
1
140
é
176
3
212
3
248
0
105
2
141
6
177
5
213
2
249
0
106
4
142
5
178
7
214
1
250
0
107
0
143
3
179
3
215
2
251
0
108
3
1*4
4
180
6
216
0
252
1
109
1
145
7
181
4
217
0
253
0
110
4
146
4
182
3
216
2
254
1
111
3
147
5
183
3
219
1
255
0
112
5
148
5
184
4
220
3
256
0
113
2
149
3
185
4
221
1
257
0
114
4
150
4
186
5
222 '
0
250
0
115
2
151
4
187
4
1
259
0
H:
HAUTEUR
5
199
164
6
165
3
2
166
131
5
167
0
132
9
0
133
7
98
0
134
99
1
100
223
E: ÉCHANTILLON
222
Société des Etudes Océaniennes
260
0
261
0
223
Société des
Études
Océaniennes
table de oisnu.auTicN des
ce :
INDICES de ccn vex 11e le
E:
9
1
34
16
62
1
10
1
35
8
63
0
11
4
36
17
64
3
12
3
37
11
65
1
13
2
38
17
66
1
•
*
ici?.:
14
4
39
9
67
1
15
1
40
15
68
2
16
1
41
6
69
0
17
2
42
8
70
1
18
8
43
15
71
1
19
2
44
10
20
7
45
6
21
8
47
7
22
13
48
7
23
13
49
8
24
14
50
12
25
17
51
5
26
14
52
11
27
10
53
4
28
9
54
6
29
21
55
4
30
11
56
6
31
21
57
4
30
11
58
3
31
24
59
1
32
18
60
2
33
15
61
4
LUS
i tones
e:
L'échantillon
224
Société des Etudes Océaniennes
225
Société des
Études
Océaniennes
liijl CEB
TA3LE D_ DIS1t>IBUI I*-*.
ie:
E:
17
1
42
1
18
2
43
1
19
1
44
3
20
2
45
2
21
6
46
1
22
12
47
0
23
13
48
0
24
30
49
1
25
23
50,
0
26
22
51
1
27
27
52
1
28
23
53
1
29
27
54
0
30
33
55
0
31
37
56
0
32
39
57
0
33
25
58
1
34
33
35
19
36
22
37
21
38
14
39
14
40
8
41
4
LE?
I f. 0 I C E S
L î
L
EO>*:TILLON
226
Société des
Études
Océaniennes
227
Société des
Études
Océaniennes
TABLE ÛE DISTRIBUTION DES
1 s
*
is
:
les
!
INDICES DE SVELTESSE
E:
13
2
28
32
14
3
29
21
15
6
30
27
16
7
31
16
17
15
32
15
18
22
33
12
19
23
34
10
20
38
35
7
21
21
36
1
22
31
37
3
23
28
38
5
24
37
39
0
25
33
40
1
26
37
27
29
indices
E: l'échantillon
228
Société des
Études
Océaniennes
No.5
229
Société des
Études
Océaniennes
E;
1 DLS :
26
62
0
97
13
93
1
27
0
63
9
99
3
28
0
64
17
100
2
29
2
65
6
101
0
30
1
66
7
102
1
31
32
33
1
67
4
103
2
3
68
5
104
0
69
6
105
1
106
2
5
34
2
70
5
35
5
71
6
107
1
2
0
36
11
72
2
108
37
5
73
11
109
38
74
9
4
110
2
0
7
73
8
111
40
14
76
6
112
0
41
14
77
4
113
2
42
7
78
2
114
1
43
9
79
5
115
0
14
80
1
116
0
45
14
81
5
117
0
46
10
82
4
118
0
83
1
119
1
39
44
5
47
*
61
1
25
2
7
'
48
12
84
1
49
18
85
1
50
14
86
1
51
12
87
2
52
17
88
0
53
10
89
1
54
11
90
0
55
12
91
0
56
10
92
1
57
12
93
1
58
13
94
2
59
6
95
2
60
11
96
2
lols
:
les
i no i ces
Eï
l'échantillon
230
Société des Etudes Océaniennes
231
Société des
Études
Océaniennes
TAPI F DE DISTRIBUTION DES INDICES DE CONVEXITE DE LA CALOTTE
★
icc:
t:
0
9
36
1
72
3
108
1
1
0
37
3
73
3
109
0
2
0
38
3
74
0
110
0
3
0
39
0
75
4
111
0
4
4
40
1
76
4
112
0
5
0
41
1
77
2
113
0
6
0
42
1
78
1
114
0
7
0
43
3
79
3
115
0
8
0
44
2
80
4
116
1
81
1
117
1
32
2
118
0
2
9
0
45
4
10
2
46
3
11
0
47
5
S3
3
119
12
0
48
3
-84
2
120
0
1>
0
49
1
85
2
121
0
14
2
50
3
86
3
122
0
15
0
51
1
87
3
123
0
16
1
52
2
88
0
124
0
17
2
53
3
89
4
125
0
18
1
54
1
90
0
126
0
19
1
55
5
91
5
127
1
20
1
56
0
92
3
21
0
57
2
93
1
22
0
58
0
94
2
23
0
59
7
95
1
24
0
60
4
96
3
25
0
61
5
97
1
26
2
62
2
98
0
27
1
63
4
99
0
28
0
64
2
100
5
29
2
65
3
101
0
30
0
66
2
102
4
31
1
67
1
103
0
32
0
68
4
104
0
33
3
69
5
105
0
4
70
0
106
0
3
71
4
107
2
34
35
*
ICO
:
LES
INDICES
Et L'ECHANTILLON
232
Société des
Études
Océaniennes
No.7
TA3LE DE DISTRIBUTION DES
INDICES DE HAUTEUR MAXIMUM DE LA TETE
*
E:
iht:
*
9
1
30
2
10
3
31
0
11
3
32
0
12
1
33
1
13
4
34
14
8
35
1
15
11
36
C
16
6
37
0
17
12
38
1
18
6
19
8
20
7
21
11
22
5
23
10
24
6
25
8
26
1
27
2
28
4
29
1
iht
:
les
indices
El
l
"
0
échantillon
233
Société des
Études
Océaniennes
No.8
DISTKIBUTIO
TABLE DE
DES
KL ILLS DE CLïsCAV i TE DU
SC.SAE1
*
ics:
E:
0
13
3
1
4
1
5
1
6
1
0
39
0
40
1
41
0
42
c
0
7
1
43
8
0
44
0
45
0
46
0
9
1
10
0
4
47
0
12
2
48
0
13
3
11
3
14
4
15
0
16
7
17
49
0
'50
0
51
0
52
0
53
1
54
0
55
0
0
18
3
19
3
20
2
56
21
1
57
0
58
0
59
0
60
0
61
0
62
0
63
1
22
4
23
1
24
0
0
25
0
26
*
38
27
3
28
0
29
2
30
2
31
1
32
0
33
4
34
0
35
0
36
0
37
0
:
les
les
■
/
indices
E: l'echant1llon
234
Société des
Études
Océaniennes
No.9
TABLE DE DISTRIBUTION DES INDICES DL PRESSION DE LA BASE
*
*
I PB
I Pô :
E:
5
1
25
8
6
0
26
4
7
2
27
5
8
1
28
3
9
7
29
1
10
9
30
3
11
13
31
1
12
33
32
1
13
44
33
1
14
60
34
0
15
56
35
0
16
62
36
0
17
47
37
0
18
31
38
0
19
24
39
0
20
6
40
1
21
16
41
1
22
16
23
10
24
8
î
INDICES
LES
Eî L#tCHANT
ILLON
235
Société des Etudes Océaniennes
No.lC
236
Société des
Études
Océaniennes
TABLE DE Dl STRIE. T i.
.
HAUIELRS fv'AXI.VA DE LA TETE PAR
RAPPORT A LA SL^r/^L c-.ï.'ITALE
*
(en millimetres)
H:
E:
2
10
21
0
3
15
22
0
4
12
23
2
5
13
24
0
6
9
23
0
7
5
26
1
8
5
27
0
5
3
28
0
10
2
29
0
11
1
30
2
12
7
31
0
13
2
32
0
14
2
33
1
15
2
16
1
17
1
18
3
19
2
20
1
Hî
LES
HAUTEURS
Eî
L
' ECH ANT
I LLON
237
Société des Etudes Océaniennes
No. Il
TABLE DE DlSTrtlB'JTiCN Lu b Aî.ùLtj
A:
5
1
0
2
0
3
1
4
2
5
72
3
9
73
4
38
4
74
2
39
6
75
4
5
76
4
3
77
1
6
36
37
40
6
41
6
5
42
5
78
7
2
43
7
79
4
8
3
44
4
80
1
9
2
45
5
10
7
46
11
11
3
47
3
12
5
48
2
13
8
49
10
14
5
50
7
15
7
51
2
16
7
52
5
17
8
53
5
18
6
54
5
19
4
55
3
20
5
56
1
21
6
57
6
22
5
58
12
23
6
59
2
24
9
60
7
25
6
61
3
26
3
62
3
27
8
63
6
28
7
64
3
29
2
65
4
30
4
66
3
31
8
67
1
32
4
68
2
33
4
69
2
34
7
70
7
35
5
71
0
A:
(en
decree
Ei
0
5
U'LNuOLLViES
les
ancles
E: l' e'chant
illon
238
Société des
Études
Océaniennes
)
No. 12
TABLE DE DISTRIBUTION DES ANCJ ES DES FACES LATERALES
(LU oegels)
*
i
E:
A:
42
1
78
6
43
0
79
2
44
0
80
10
45
0
81
4
46
1
82
3
47
0
83
5
48
1
03 -fck
6
49
0
85
6
50
0
86
6
51
0
87
6
52
1
88
4
0
89
1
0
90
25
55
0
91
1
56
0
92
1
57
3
93
0
58
5
94
1
59
53
54
0
95
1
60
4
96
1
61
0
97
1
62
2
98
0
63
0
99.
0
1
100
1
65
1
101
0
66
3
102
0
67
0
103
1
68
1
64
*
.
69
1
70
4
71
2
72
0
73
2
74
1
75
4
76
4
77
3
A:
LES
ANGLES
Eï L'ECHAN
T1LLON
239
Société des
Études
Océaniennes
KL. I3
Société des
Études Océaniennes
Le
Bulletin
Le Bureau de la Société accepte
l'impression de tous les
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numéro
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au
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Cotisation annuelle des Membres résidant
en
pays français
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Souscription Unique
Membre à vie
résidant
en
France
ou
dans
ses
colonies
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Membre à vie résidant à
l'Etranger,
80 dollars
Avantages de
faire recevoir Membre à vie pour cette
fois pour toutes. (Article 24 du règle¬
Intérieur. Bulletins N° 17 et N° 29).
somme
ment
se
versée
une
.1°- Le Bulletin continuera à lui être adressé,
quand bien
même il cesserait d'être Membre résidant à Tahiti.
2°
ou
et
-
du
un
Le Membre à vie n'a
paiement de
sa
plus à se préoccuper de l'envoi
cotisation annuelle, c'est une dépense
souci de moins.
En consequence : Dans leur intérêt et celui de la Société,
sont invités à devenir Membre à vie :
TOUS CEUX qui, résidant hors de Tahiti, désirent
rece
voir le Bulletin.
TOUS LES Jeunes Membres de la Société.
TOUS CEUX
même
Imp. R. BRISSAUD
qui, quittant Tahiti,
s v
intéressent quand
Fait partie de Bulletin de la Société des Études Océaniennes numéro 180-181