Groupe d'hommes, de femmes, et d'enfants posant devant une maison de construction traditionnelle, à Tahiti (une famille ?). Au premier plan, à gauche, les enfants. Certains sont vêtus d'une camisole, d'autres de paréo, et deux fillettes d'une robe. La plupart des hommes portent une camisole et certains un paréo. Au centre de l'image, l'un d'eux est coiffé d'un chapeau. À gauche, un autre, torse nu, surplombe le groupe. Dans ses mains, des régimes de « fē'i », bananes plantain. À droite, une femme vêtue d'une robe sur laquelle elle a noué un paréo. À l'arrière plan, le faré. Les cloisons sont faites de branches d’hibiscus ou de cannes de bambou fixées à des pannes horizontales. Le toit est en pandanus. Dans l'encadrement de la porte, un homme porte un bébé dans ses bras. La végétation environnante montre des pandanus.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Femme debout, coiffée d’une couronne de fleurs de tiaré et vêtue d’une longue robe à manches trois quarts et à l’encolure rehaussée de dentelle, par-dessus laquelle elle a noué un paréo. On aperçoit une boucle d’oreille à son oreille droite. L’arrière plan montre une végétation luxuriante, notamment des fougères.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à droite, un timbre à 90 centimes oblitéré en 1935.
N.B : il existe une carte postale représentant le même personnage, photographié au même endroit et dans la même tenue vestimentaire, affranchie avec un timbre à 5 centimes oblitéré en 1925, information qui permet de situer la scène antérieurement à cette date
Jeunes filles vêtues de paréo, appuyées sur une pirogue posée sur le sable. Celle de gauche porte un bandeau autour du front (une couronne de graines ou de coquillages ?), celle de droite un collier de perles ou de graines autour du cou. Toutes deux portent un bracelet à l’un de leur poignet. Au second plan, sur la plage, on aperçoit d’autres pirogues, et à l’arrière plan, une maison de construction traditionnelle au toit végétal.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Couple préparant un repas à Tahiti. La femme est assise à gauche, sous une sorte d’abri au toit de tôle ondulée. Elle est vêtue d’une robe « mission » et porte un chapeau. À sa droite, on distingue une rame et un harpon et devant elle, posée sur le sol, une bouilloire. L’homme, en pantalon et chemise, est penché au-dessus du feu dans lequel on devine quelques « fē’i » (bananes plantains, Musa troglodytarum), provenant probablement du régime que l’on voit suspendu au centre de l’image. À l’arrière plan, on aperçoit un cheval.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Groupe posant sur le pont enjambant la rivière Tipaerui, à Papeete. Les femmes portent des « robes mission » et les hommes une chemise, certains sur un pantalon, d’autres sur un « paréo ». La plupart sont coiffés d’un chapeau. Au premier plan à droite, l’un d’entre eux transporte un sceau. Le pont est fait d’un parapet métallique, d’une chaussée que l’on devine en bois, et de quatre piliers en briques surmontés d’un réverbère. À droite, on aperçoit une barrière en bois et un poteau de lignes électriques. À l’arrière plan, sur la route bordée de végétation, on aperçoit des voitures et à gauche, dans le lointain, la montagne.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe d’hommes et d’enfants posant au bord du lagon, à Tahiti. Certains sont en paréo, d’autres en pantalon. Certains portent également une chemise ou une camisole et deux d’entre eux un chapeau. Au premier plan, posée sur le rivage, une pirogue dont on aperçoit les liens d’attache des traverses du balancier fixées à la coque sous les fargues. Debout à l’avant de l’embarcation, un pêcheur muni d’un harpon ajuste son tir. Assis à l’arrière du « va'a », un enfant tient une pagaie. Sur la berge, le reste du groupe. À l’arrière plan, on voit des filets suspendus à un arbre, probablement un « pūrau » (Hibiscus tiliaceus).
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser qu'elle a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Vue du phare de Haapape, pointe Vénus à Tahiti, inauguré en 1868. Il est photographié ici dans sa version d’origine. La végétation environnante montre des cocotiers. À l'arrière plan, à gauche, on devine le rivage.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Homme debout au bord d’un chemin, vêtu d’un paréo et coiffé d’une couronne végétale. Il transporte des régimes de « fē’i » (plantain, Musa troglodytarum) suspendus à un poteau d’épaule. L’arrière plan montre une végétation luxuriante.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. Dans la partie inférieure droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
N.B : il existe une carte postale identique affranchie avec un timbre à 30 centimes oblitéré en avril 1924, information qui permet de situer la scène antérieurement à cette date
Jeunes garçons cueillant et décortiquant des cocos. Debout à gauche, un homme et un enfant observent un jeune garçon occupé à fendre une noix à l’aide d’un piquet fiché dans le sol. Au second plan, un autre adolescent est monté au tronc d’un cocotier, au sommet duquel on aperçoit quelques noix. Debout au pied de l’arbre, un deuxième homme le regarde, chapeau à la main. Les adolescents sont vêtus de paréo et l’un d’eux est coiffé d’une casquette. Les hommes portent un pantalon et une chemise, et l’enfant un pantalon et une casquette. À l’arrière plan, la cocoteraie.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue d'une maison d'architecture moderne construite dans une petite clairière. Au premier plan, on devine un premier toit caché par la végétation. Au second plan, une maison à double toit. On aperçoit la colonnade et la balustrade de la véranda sur laquelle s'ouvrent deux portes-fenêtres. À celle de gauche, on devine des rideaux. En contre-bas à droite, une barrière. La végétation environnante montre des cocotiers et à droite un « 'uru » (arbre à pain).
En haut à droite et à gauche, des indications ajoutées au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rade de Papeete. Au premier plan, en contrebas, la route. Elle est longée à gauche par les poteaux des lignes électriques et, à droite, par des maisons dont on aperçoit les toits. Au second plan à droite, le bord de mer forme une avancée. La place Bruat (ancien quai des subsistances) ? Dans la rade, on distingue des voiliers et des bateaux à vapeur. Certains sont à l’ancre, d’autres à quai dont probablement l’Aviso Cassiope à droite, et plus loin le Mariposa (?). À l’arrière plan, la pointe de Fare Ute. On devine quelques toits dont l’un, à droite, est surmonté d’un clocheton.
En bas à droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
N.B. : il existe une carte identique dont les timbres ont été oblitérés en 1925.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Pirogues décorées pour les fêtes de juillet dans le port de Papeete. Au premier plan, à droite, une pirogue à balancier et, à gauche, une pirogue double, surmontées l’une et l’autre d’un dais décoré probablement de fleurs et de guirlandes végétales. Un homme, coiffé d’une couronne végétale, manœuvre une pagaie, assis à l’arrière du « va'a ». À l’arrière plan, on devine deux baleinières s’amarrant à couple de la Zélée. À bord de la canonnière, on aperçoit un matelot sur la hune du grand-mât et, fixé au mât d’artimon, le pavillon français.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, des indications manuscrites ajoutées au crayon.
N.B. : la Zélée sera coulée le 22 septembre 1914 dans la passe de Papeete, information qui permet de situer la scène antérieurement à cette date
Vue d'une maison de construction traditionnelle, à Tahiti. Elle est faite de branches d’hibiscus ou de cannes de bambou fixées à des pannes horizontales. Le toit est en pandanus ou en « nī’au » (palmes de cocotier). Un groupe d'hommes, de femmes et d'enfants pose devant le faré. La plupart sont coiffés d'un chapeau. Les hommes sont vêtus d'une camisole et d'un pantalon ou d'un paréo. Les femmes portent une « robe mission », les fillettes une robe. À droite, on aperçoit l'océan. Au second plan, à gauche, d'autres personnages sur le chemin. À l'arrière plan, la route se poursuit en direction d'un pont dont on devine le parapet. La végétation environnante montre des cocotiers, des bananiers, et à droite un arbre de fer.
En haut à gauche, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rade de Papeete prise depuis les hauteurs surplombant la ville. Au premier plan, un personnage. Une femme coiffée d’un chapeau ? En contrebas, des cocotiers et parmi la végétation, les maisons de construction moderne dont on devine les toits en tôle. À droite, on distingue la cathédrale et, à gauche, un toit surmonté d’un clocheton. Le palais de la reine ? Au second plan à droite, on aperçoit le quai de l’Arsenal et des bâtiments aux toitures à double pans. Probablement les Établissements de Fare Ute. À l’arrière plan à gauche, on devine le « motu » Uta et son ponton et, sur la droite, quelques farés sur pilotis. Dans la rade, un voilier est à l’ancre, d’autres à quai.
Elle a été affranchie avec un timbre à 4 centimes oblitéré en 1923. La date de la correspondance indique le 2 juillet.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe d’hommes posant quai Gallieni (anciennement quai de l’Arsenal) menant à Fare Ute, à Papeete. Tous sont coiffés d’un chapeau et portent une chemise sur un pantalon ou un « paréo ». De chaque côté de la route, les poteaux des lignes électriques entre lesquels on a tendu une guirlande lumineuse. Pour les fêtes du 14 juillet ? Sur la droite, derrière les arbres, on distingue un remblai fait de pierres et, sur la gauche, une barrière en bois et des maisons de construction moderne protégées par une palissade et dont le portail d’accès est surmonté d’un drapeau tricolore. Au second plan, on aperçoit deux personnages sur la route et, sur la colline à gauche, le sémaphore (?). À l’arrière plan, on devine d’autres bâtiments, probablement le quai du commerce, et dans le lointain, les montagnes.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de l’hôtel Aina-Pare, à Papeete. La maison est de construction moderne. Au rez-de-chaussée, une véranda à colonnade rehaussée de lambrequins et fermée pas des claustras. L’entrée, à laquelle on accède par un petit escalier, est surmontée d’une enseigne sur laquelle on peut lire « Pare ». À l’étage, les portes-fenêtres munies de persiennes donnent sur un balcon agrémenté de jardinières et pavoisé de trois drapeaux : tricolore (?), américain et anglais. Il est protégé par une balustrade et par l’avancée du toit que l’on devine fait de tôle ondulée. À l’angle gauche, par la fenêtre ouverte, on aperçoit des rideaux. Au second plan à gauche, une maison au toit à double pans dont la façade montre un œil de bœuf. Sous la véranda, on distingue deux personnes et, fixée au pilier droit de la véranda, une enseigne. Un magasin ? Plus loin, une autre maison dont on devine la véranda à colonnade et la balustrade sculptée du balcon supérieur. À droite, sous les arbres, on distingue quelques personnes et assis sur le banc au premier plan, un homme vêtu d’une chemise et d’un pantalon et coiffé d’un chapeau.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la place de la mutualité, quai de la Marne à Papeete. Au centre de l’image, le monument aux morts situé place de la Mutualité, entre le quai du Commerce, la rue Bonnard (aujourd’hui rue Cardella) et la rue du 22 septembre 1914. Il est fait d’un obélisque surmonté d’un boulet de canon. À gauche, on aperçoit des bancs et, derrière les arbres, un bâtiment d’architecture moderne. Probablement celui de la Société commerciale océanienne d’importation et d’exportation dont on devine le toit rehaussé de lambrequins. Au second plan, le long du quai, on distingue les poteaux des lignes électriques et, amarrés au quai à droite, des voiliers dont les mâts sont surmontés d’un drapeau et les haubans décorés de fanions. Derrière le monument, on aperçoit une construction à double toit. Un kiosque ?
En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon. En bas à droite, un tampon portant la mention « Collection D. Martin ».
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rue de Rivoli à Papeete. Elle est bordée de maisons construites sur deux niveaux. Probablement des magasins. Au premier plan à gauche, on distingue le mur d’enceinte de la banque de l’Indochine surmonté d’une grille en fer forgé, un portail fait de deux piliers en maçonnerie, et les poteaux des lignes électriques, dont l’un est équipé d’un transformateur suspendu. À droite, une maison protégée par une palissade. Au second plan, de part et d’autre de la rue, des maisons de construction moderne en bois pavoisées de drapeaux en berne (?). Le balcon de celle de gauche, soutenu par une colonnade, est fermé par des persiennes. Le rez-de-chaussée du bâtiment de droite est occupé par un studio de photographie comme l’indique l’enseigne sur laquelle on peut lire « Photographer » et « W. Crake ». Devant, on devine des voitures en stationnement et un homme debout sur la chaussée. À l’arrière plan, on aperçoit d’autres personnes sur la route et, à droite, quelques d’arbres. Dans le lointain à gauche, deux cheminées (?).
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue du monument Bougainville, situé ancienne place Bruat (?) (ancien quai des Subsistances) à Papeete et inauguré le 14 juillet 1909. Au premier plan, le buste d’Antoine de Bougainville installé dos à la mer, dans le prolongement de l’avenue Dupetit-Thouars. Le buste repose sur une sorte d’obélisque lui-même posé sur un large socle en pierre. L’endroit est délimité par une petite barrière un fer forgé et agrémenté de plantations. Au second plan à gauche, on aperçoit un réverbère et un long mât, probablement un poteau de lignes électriques (?), et à l’arrière plan, un bateau à vapeur à l’ancre dans la rade.
La carte a été affranchie avec un timbre à 50 centimes oblitéré en février 1929. La correspondance est datée du 4 février 1929.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de l’avenue du Petit Thouars à Papeete. La rue est bordée d’arbres (tamariniers ou marumaru ?). À gauche, une barrière en fer forgé délimite le site où se trouvait autrefois le bâtiment des Contributions et Octroi, aujourd’hui le parc Bougainville. En débord de la clôture, on distingue une construction (?). À droite, la route longe un long bâtiment construit sur pilotis. Au second plan, la rue de Rivoli coupe perpendiculairement l’avenue. À l’arrière plan, à droite et à gauche de la rue, on aperçoit des réverbères et plus loin un portail au-delà duquel on devine la résidence du Gouverneur.
Dans la partie supérieure, des informations manuscrites ajoutées au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la place Bougainville située entre l’ancien quai des subsistances et le quai du commerce à Papeete. Au premier plan à droite, des spectateurs ont pris place sous les arbres. D’autres sont assis sur des pirogues à balancier ou installés au bord du rivage. Les hommes sont en costume, les femmes en robes et la plupart portent un chapeau. À droite, on distingue des maisons de construction moderne et à gauche, le long du quai, les poteaux des lignes électriques (?). À l’arrière plan, dans la rade, on aperçoit des bateaux pavoisés. Pour les fêtes du 14 juillet ? On devine, à gauche, la cheminée d’un bateau à vapeur et un toit, probablement celui d’un hangar (?).
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Femme debout, de profil, coiffée d’une couronne végétale et vêtue d'un paréo noué au-dessus de la poitrine. Autour de son cou, un long collier à trois rangs, probablement fait de graines ou peut-être de perles et de coquillages. À l’arrière plan, on aperçoit une cloison de tôle ondulée.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue du marché de « fē'i », à Papeete. Au premier plan, une femme est assise sur une murette sous une halle faite d’un toit soutenu par des piliers. Elle est coiffée d’un chapeau et porte un châle sur ses épaules. À ses côtés, deux enfants, une fillette (?) et probablement un jeune garçon et, posé sur le sol, un panier tressé. Au second plan, deux autres femmes assises parmi les régimes de bananes et, à droite, un homme debout vêtu d’un pantalon et d’une camisole. À l’arrière plan, un bâtiment de construction moderne dont on aperçoit les piliers de soutènement en briques, la façade en bois, et les fenêtres fermées par des persiennes. On devine, sur la gauche, une première ouverture protégée par une grille (?) et, sur la droite, d’autres closes par des portes ou par des stores (?). À droite, l’une d’elle est surmontée d’une enseigne sur laquelle on peut lire « Tong Shing » (?).
La carte a été affranchie avec un timbre à 50 centimes oblitéré en 1928.
La correspondance est datée du 7 février 1928.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Spectateurs attendant le début des festivités du 14 juillet, place du Gouvernement à Papeete. Ils sont installés derrière le cordon de mise à distance, soit debout, soit assis sur des chaises. Quelques-uns, surtout des enfants, ont pris place sur la tribune couverte installée pour l’occasion. Elle est protégée par un toit fait de tôles ondulées et décorée de tissu tricolore, de guirlandes végétales et de faisceaux de drapeaux français. Probablement la tribune réservée aux officiels. Les femmes portent de longues robes ou un ensemble fait d’une longue jupe et d’un corsage, la taille soulignée par une ceinture. La plupart sont coiffées d’un chapeau. On en devine certains garnis de fleurs. Quelques-unes se sont munies d’une ombrelle. Les hommes sont en costume, également coiffés d’un chapeau, et l’un d’eux, d’un casque colonial. À l’arrière plan, derrière la grille, on aperçoit le bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli, et sur le balcon, pavoisé de faisceaux de drapeaux français, quelques spectateurs. Sur la droite, on devine, cachée derrière les drapeaux, l’enseigne du service des « postes » fixée au balcon.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à droite, une indication manuscrite.
N.B. : voir les cartes 849, 850, 851, 852, 853, 854 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Portrait d’un homme, d’une femme et d’une fillette en costumes anciens. Leurs tenues sont garnies de rosaces et de fleurs en pandanus et en « revareva » (fibre végétale). La femme porte une longue robe et une coiffe surmontée d’un panache blanc probablement fait de « revareva » et peut-être de plumes (?). L’homme porte une coiffe végétale et un long « tīputa » (poncho) dont le plastron et les emmanchures sont rehaussés d’un galon de fibres végétales. Autour de son cou, un collier de graines ou de coquillages. La petite fille est vêtue d’un « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), d’une tunique végétale aux manches prolongées d’une garniture en « more » (fibre végétale issue du liber du « pūrau ») et d’une coiffe végétale. Au second plan, à gauche, un homme en chemise et pantalon blancs. À l’arrière plan, on aperçoit la résidence du Gouverneur. On devine, au rez-de-chaussée, les persiennes des portes-fenêtres et, à l’étage, la galerie occultée par des jalousies et pavoisée d’un faisceau de drapeaux tricolores.
En haut à droite, un timbre à 20 centimes oblitéré le 28 mai 1927.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Chefs de groupe et leurs danseurs, place du Gouvernement à Papeete, lors des fêtes de juillet. Les danseurs, au centre de l’image, sont en grand costume : « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), tunique végétale rehaussée de rosaces et de houppes et aux manches prolongées d’une garniture en « more » (?) (fibre végétale issue du liber du « pūrau »), coiffe surmontée d’un panache blanc probablement fait de « revareva » (fibre végétale). À droite, les deux « ra'atira pupu » (chefs de groupe) portent un long « tīputa » (poncho) et une coiffe végétale peut-être garnie de plumes (?). Debout entre eux, une petite fille vêtue d’un « more ». Au second plan à droite, deux musiciens en grand costume et leur « pahu tūpa’i » (tambour à membrane) et, à gauche, les spectateurs. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, parfois munies d'une ombrelle et les hommes en costume. À l’arrière plan à gauche, on aperçoit le bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli et, sur le balcon, pavoisé de faisceaux de drapeaux français, quelques spectateurs. À droite, on devine des hommes en tenue militaire coiffés de casques coloniaux et, fixés aux arbres, des drapeaux tricolores.
En bas à droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon. La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B. : voir les cartes 849, 850, 851, 852, 854, 861 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Groupe exécutant un « 'aparima » (danse et chant traditionnels) place du Gouvernement à Papeete, lors des fêtes de juillet. Les danseurs sont assis sur deux rangs, les bras levés, et se font face. Ils portent une camisole blanche et une couronne de tête garnie d’un panache blanc probablement fait de « revareva » (fibre végétale). Quatre hommes sont restés debout. Trois portent un ornement de tête identique à celui des danseurs, le quatrième un chapeau. Peut-être un membre du jury. Les spectateurs sont assis au second plan. Certains sont installés sur une tribune, protégée par un toit fait de tôles ondulées et décorée de tissu tricolore, de guirlandes végétales et de faisceaux de drapeaux français. Probablement la tribune réservée aux officiels. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume et quelques enfants. On aperçoit une danseuse en grand costume debout à gauche, à droite un homme assis coiffé d’un casque colonial, et à l’arrière plan quelques spectateurs sur le balcon du bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli, pavoisé de faisceaux de drapeaux tricolores.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
N.B. : voir les cartes 849, 850, 851, 852, 853, 861 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Groupe de femme exécutant un « ‘ōte’a vahine » (danse traditionnelle féminine) place du Gouvernement à Papeete, lors des fêtes de juillet. Les danseuses portent de longues robes blanches, une couronne végétale surmontées d’un panache blanc probablement fait de « revareva » (fibre végétale), et quelques-unes de longs colliers. Elles ont souligné leurs hanches à l’aide d’un châle ou d’un fin cordon. Au premier plan, l’une d’entre elles porte une bande de tissu en écharpe. Les spectateurs sont assis au second plan. Certains sont installés sur une tribune, protégée par un toit fait de tôles ondulées et décorée de tissu tricolore, de guirlandes végétales et de faisceaux de drapeaux français. Probablement la tribune réservée aux officiels. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume et quelques enfants. À l’arrière plan à droite, on aperçoit quelques spectateurs sur le balcon du bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli, pavoisé de faisceaux de drapeaux.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut et en bas à droite, des indications manuscrites ajoutées au crayon.
N.B. : voir les cartes 849, 850, 852, 853, 854, 861 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Groupe exécutant une danse place du Gouvernement à Papeete, probablement lors des fêtes de juillet. Les danseurs sont accroupis en demi-cercle et frappent le sol avec leurs mains tandis que quatre d’entre eux, trois femmes et un homme, sont restés debout et exécutent la danse. Les danseurs sont en grand costume : « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), tunique végétale rehaussée de rosaces et de houppes et aux manches prolongées d’une garniture en « more » (?) (fibre végétale issue du liber du « pūrau »), coiffe, pour certaines surmontées d’un panache blanc probablement fait de « revareva » (fibre végétale). Les danseuses portent de longues robes blanches, à col marin pour celles de droite, et une coiffe. Les spectateurs sont assis au second plan. Certains sont installés sur une tribune, protégée par un toit fait de tôles ondulées et décorée de tissu tricolore, de guirlandes végétales et de faisceaux de drapeaux français. Probablement la tribune réservée aux officiels. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume et quelques enfants. À l’arrière plan à droite, on aperçoit quelques spectateurs sur le balcon du bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli, pavoisé de faisceaux de drapeaux.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B. : voir les cartes 849, 850, 852, 853, 854, 861 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Groupe d’hommes exécutant un « pā’ō’ā » (danse traditionnelle) place du Gouvernement à Papeete, probablement lors des fêtes de juillet. Les danseurs et les musiciens sont en grand costume : « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), tunique végétale rehaussée de rosaces et de houppes et aux manches prolongées d’une garniture en « more » (?) (fibre végétale issue du liber du « pūrau »), coiffe surmontée d’un panache blanc probablement fait de « revareva » (fibre végétale). Ils sont assis sur l’herbe en demi-cercle au centre duquel le « ra'atira » (le meneur) exécute sa danse tandis qu’ils frappent le sol avec leurs mains. Un autre danseur se tient debout à l’arrière du groupe et au premier plan à droite, dos à l’objectif, un musicien joue d’un « pahu tūpa’i » (tambour à membrane). Les spectateurs sont assis au second plan. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe et les hommes en costume. À l’arrière plan, on aperçoit un faisceau de drapeaux français, sous les arbres les toits des baraques et, en hauteur, des lignes électriques auxquelles est suspendue un éclairage à ampoule.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B. : voir les cartes 849, 851, 852, 853, 854, 861 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Groupe d’hommes exécutant un « ‘ōte’a tāne » (danse traditionnelle masculine) place du Gouvernement à Papeete, probablement lors des fêtes de juillet. Les danseurs sont en grand costume : « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), tunique végétale rehaussée de rosaces et de houppes et aux manches prolongées d’une garniture en « more » (?) (fibre végétale issue du liber du « pūrau »), coiffe surmontée d’un panache blanc probablement fait de « revareva » (fibre végétale). Au premier plan à droite, dos à l’objectif, un musicien joue d’un « pahu tūpa’i » (tambour à membrane). À gauche, les danseuses attendent assises sur l’herbe. Elles portent de longues robes blanches et une couronne sans doute de fleurs artificielles (?). Les spectateurs sont assis à gauche de l’image et au second plan derrière le groupe de danseurs. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe et les hommes en costume. À droite, on aperçoit un faisceau de drapeaux français, les toits des baraques à l’arrière plan sous les arbres, et, en hauteur, des fils probablement ceux des lignes électriques.
La carte a été affranchie avec un timbre à 15 centimes oblitéré le 12 août 1922 à Makatea. En bas à droite, une signature. Celle du docteur de Louis Rollin médecin à Makatea entre 1920 et 1923 ?
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. À gauche, une indication manuscrite.
N.B. : voir les cartes 850, 851, 852, 853, 854, 861 dont les clichés ont probablement été pris le même jour, soit avant 1915 soit après 1918, car les Contributions et Octroi abritaient également le bureau de poste, visible sur la carte 861, probablement depuis sa destruction lors du raz de marée de 1906 jusqu’en 1919 (?) année de construction d’une nouvelle poste
Femmes debout, bras dessus bras dessous, coiffées d’une couronne végétale et vêtues d'une longue robe à col marin reserrée à la taille par une ceinture de tissu (un foulard ?). L’extrémité des manches et le bas du jupon sont rehaussés d’un galon à rayures, et le décolleté, d'une sorte de bouquet. Celle de droite porte une bague à la main gauche, et celle de gauche, des boucles d’oreilles. À l’arrière plan, on distingue une grille, probablement celle du lavoir public de Papeete.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. Dans la partie supérieure droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Vue du port de Papeete probablement depuis Fare Ute. Au premier plan, la rade. Au second plan, des bateaux sont amarrés quai Galliéni (anciennement quai de l’Arsenal) et d’autres, quai du commerce. À gauche, on aperçoit deux bâtiments d’architecture moderne (des hangars ?). Au centre de l’image, on devine une autre construction, plus loin, le clocher de la cathédrale, et sur la colline, le sémaphore. À l’arrière plan, les montagnes couvertes de végétation.
En haut à gauche, un timbre à 1 centime.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Femme debout, mains sur les hanches, coiffée d’une couronne végétale et vêtue d'une longue robe à col marin reserrée à la taille par une ceinture de tissu (un foulard ?). L’extrémité des manches et le bas du jupon sont rehaussés d’un galon à rayures, et le décolleté, d'une sorte de bouquet. Elle porte à l'annulaire gauche une bague garnie d’une perle. À l’arrière plan, on distingue une grille, probablement celle du lavoir public de Papeete.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. Dans la partie supérieure droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Vue panoramique du port de Papeete. Au premier plan, la ville. On aperçoit, parmi la végétation, les maisons de construction moderne dont on devine les toits en tôle. Au centre, la cathédrale. À droite, on aperçoit des bâtiments aux toitures à double pans, probablement les Établissements de Fare Ute. Au second plan, la rade de Papeete. Trois voiliers sont à l’ancre, notamment, à l’arrière plan, un trois-mâts. D’autres bateaux sont à quai à droite et, à gauche, quai du commerce, un vapeur. Probablement le Mariposa ?
La carte est colorisée. En haut à droite, un timbre à 10 centimes oblitéré le 3 février 1924. À gauche, le tampon de la Compagnie Franco-Tahitienne, et en haut à droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue du monument aux morts, place de la Mutualité à Papeete, probablement un jour d’inauguration ou de commémoration. La place se situe dans la zone comprise entre le quai du Commerce, la rue Bonnard (aujourd’hui rue Cardella) et la rue du 22 septembre 1914. Au centre de l’image, le monument fait d’un obélisque surmonté d’un boulet de canon et édifié vers 1919 (?) en hommage aux poilus tahitiens morts au cours de la Grande Guerre. Quelques personnes se sont assises sur les bancs au premier plan et, au second plan, un groupe pose à gauche du monument. On devine les hommes en costume, les femmes en robe et quelques enfants. Tous sont coiffés d’un chapeau ou d’une casquette. À l’arrière plan, le bâtiment de la "Société Parisienne d'importation et d'exportation". On distingue le toit en tôle et les galeries inférieure et supérieure à colonnade. Fixé sous la balustrade de la galerie supérieure, l’enseigne de la société surmontée d’un drapeau tricolore. À droite, en bordure de la route, un second drapeau fixé à un poteau et à l’arrière plan à gauche, on aperçoit les lignes électriques.
La carte postale est colorisée.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe posant de part et d’autre du pont de l’Est qui enjambe la rivière Papeava (?), rue du Maréchal-Foch (ancienne rue de l’Est), à Papeete. Les hommes portent une camisole sur un pantalon, certains une veste, et la femme debout à gauche, une « robe mission ». La plupart sont coiffés d’un chapeau ou d’une casquette. On distingue quelques enfants et adolescents, certains sont munis d’une bicyclette et l’un d’entre eux, à gauche, d’un triporteur (?). À droite et à gauche du pont, deux hommes perchés sur le parapet en pierre se tiennent à l’un des réverbères fixés à chaque extrémité du pont dont on devine la chaussée en bois. Au second plan à droite, derrière la barrière en bois, l’hôtel Tiare situé entre la rue du Maréchal Foch à gauche et la rue de la Petite Pologne à droite (aujourd’hui rue Gauguin). On aperçoit son large toit en tôle et celui à deux pans de la véranda rehaussés de lambrequins. Au second plan, la rue du Maréchal Foch bordée d’arbres. Sur la route à droite, une voiture tirée par un cheval et au loin, d’autres constructions.
La carte postale est colorisée.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la cascade de la Fautaua, sur l'île de Tahiti. Au premier plan, on devine des fougères.
La carte est colorisée.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rivière Vaitepiha à Tautira, sur la presqu’île de Tahiti. Au premier plan, la rivière et ses berges couvertes de végétation. À gauche, on distingue un homme dans une pirogue à balancier. À l’arrière plan, on aperçoit les montagnes et au centre de l’image le mont Ronui.
La carte est colorisée.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la route menant aux grottes Maraa qui enjambe le lagon au niveau de la pointe Motuavini, sur l’île de Tahiti. Debout au bord de la route, un homme accompagné d’un enfant. Ils sont vêtus d’un paréo et d’une chemise. L’homme est coiffé d’un chapeau, le jeune garçon d’une casquette. Au second plan, la route se poursuit en direction de Papeete. À l’arrière plan, la végétation montre des cocotiers.
La carte est colorisée. En bas à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe d’hommes, de femmes, et d’enfant posant au bord du lagon à Tahiti. Au premier plan, debout dans une pirogue à balancier posée sur le rivage, un pêcheur muni d’un harpon ajuste son tir. Assis à l’arrière du « va'a », un enfant (peut-être une fillette ?) tient une pagaie. Le reste du groupe s’est installé sur la berge, notamment : une femme en robe et un enfant assis à droite, deux hommes en paréo et chemise, l’un accroupi, l’autre debout, et assise à gauche, une seconde femme et un bébé. Au second plan, on distingue un fil sur lequel sèche un peu de linge et une petite maison de construction traditionnelle. Le toit végétal est probablement en « nī’au » (palmes de cocotier) et les cloisons faites de palmes de cocotier tressées. Un abri provisoire ? À droite du « fare », on devine deux autres personnages assis. À l’arrière plan, la végétation montre des « pūrau » (Hibiscus tiliaceus).
La carte a été colorisée.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser qu'elle a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Vue de la plage à Arue, sur l'île de Tahiti. Au premier plan, le sable a formé une digue. Au second plan, la plage bordée de cocotiers et, à l'arrière plan, les montagnes couvertes de végétation.
La carte est colorisée.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de l'Hôtel du Diadème, ancien Hôtel de France, à Papeete. Au premier plan, sur la route, un groupe d'hommes et leurs vélos. Ils sont vêtus de pantalons et de chemises, et sont coiffés de chapeaux. Au second plan, l'Hôtel du Diadème. Le balcon, soustenu par une colonnade, est protégé par une avancée de toit en tôle et par une balustrade. Il est partiellement occulté par des persiennes. Un peu plus loin, une construction identique. À droite, à l'angle des rues Ferdiand Cassiau et Rivoli (actuelle rue du Général De Gaulle), derrière la barrière blanche, le restaurant Diadème. D'architecture moderne, il est construit également sur deux niveaux. À l'étage supérieur, une galerie couverte. En hauteur, rue de Rivoli, on devine les lignes électriques auxquelles est suspendue, à gauche, un éclairage à ampoule.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de l’hôtel Tiare, établissement appartenant à Lovaina Chapman, situé à Papeete, entre la rue du Maréchal Foch (ancienne rue de l’Est) à gauche et la rue de la Petite Pologne à droite (aujourd’hui rue Gauguin). Au premier plan, la barrière blanche qui délimite la propriété et le portail surmonté d’une enseigne sur laquelle on peut lire « Hôtel Tiare ». Au second plan, caché par la végétation, on aperçoit l’hôtel et son large toit en tôle rehaussé de lambrequins. On devine la véranda couverte d’un toit à deux pans également décoré de lambrequins et protégée par une balustrade. Dans le jardin, fixé à un mât, un drapeau tricolore.
La carte postale est colorisée. En bas à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rue du Commandant Destremau (ancienne rue de l’Ouest) à Papeete. La rue est bordée d’arbres, probablement des tamariniers. A droite, derrière une barrière en bois, une maison de construction moderne à laquelle on accède par un porche fait de deux piliers en pierre surmontés d’une enseigne illisible. À gauche du portail, on aperçoit un réverbère et, plus loin, d’autres toits dissimulés par la végétation. En face, des piliers en briques délimitent une autre propriété. Sur la route, un groupe d’hommes et d’enfants. La plupart sont coiffés d’un chapeau et vêtus d’une camisole que certains portent sur un pantalon, d’autres sur un paréo. On devine au centre du groupe, une fillette en robe (?). A l’arrière plan, la route se prolonge en direction de Papeete.
La carte postale est colorisée. En bas à droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe d’hommes et de femmes posant place du Maréchal Joffre à Papeete, ancienne place du Gouvernement (aujourd’hui place Tarahoi). La plupart portent un chapeau et on devine les hommes en costume et les femmes en « robe mission ». Certains se sont assis sur l’escalier menant au kiosque à musique installé au centre de la place agrémentée d’un réverbère et de quelques bancs. Le kiosque est protégé par un toit en tôle ondulée surmonté d’une lyre et soutenu par une colonnade rehaussée de volutes en fer forgé (?). À l’intérieur, on distingue un banc et les pupitres dont l’éclairage est assuré par des lampes suspendues. Au second plan à gauche, un homme et sa bicyclette. À l’arrière plan, derrière les barrières en bois et les arbres, on aperçoit des maisons de construction moderne. Probablement la résidence du Gouverneur.
La carte postale est colorisée. En bas à droite, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la route de remblais à Papeari, sur l’île de Tahiti, qui traverse le lagon dans la baie de Teahuahu. Sur la route, on devine deux personnes. À l’arrière plan, la végétation montre des cocotiers.
La carte est colorisée. En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe d'enfants dans une clairière. Au centre de l'image, quatre enfants sont assis sur un tronc. Deux d'entre eux sont coiffées d'un chapeau. Les garçons sont vêtus d'une camisole et la fillette d'une robe. Au second plan, à gauche, un jeune garçon debout, un chapeau dans ses mains. À l'arrière plan, on devine des blocs de pierre dressés. Ceux d'un ancien « marae » ?
La carte est colorisée. En bas à droite, une indication manuscritte ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rivière Vaitepiha à Tautira, sur la presqu’île de Tahiti. Au premier plan, la rivière et ses berges couvertes de végétation. À gauche, on devine un chemin. Au second plan, les montagnes. Dans le lointain, on aperçoit le mont Ronui.
La carte a été colorisée. En haut à droite, un timbre à 10 centimes oblitéré le 7 avril 1924.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue d’un chemin bordé d‘arbres (tamariniers ou marumaru ?). À l’arrière plan, derrière une barrière blanche, on aperçoit une maison de construction moderne. On devine le toit et la véranda à colonnade protégée par une balustrade.
La carte postale est colorisée. Elle a été affranchie avec un timbre à 75 centimes oblitéré le 29 mai 1926. Dans les parties supérieure et inférieure, des indications ajoutées au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la baie d'Opunohu, à Moorea. Au premier plan, le lagon. Au second plan, on aperçoit le fond de la baie bordé de cocotiers et, l'arrière plan, le mont Mouaroa.
En haut à gauche, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Fare Ute et la rade de Papeete vus depuis le motu Uta. Au premier plan à gauche, le « motu » Uta dont la végétation montre des cocotiers. Posé sur le rivage, un demi tonneau métallique, plus loin à droite trois hommes debout sur la plage et, à gauche, un mât. Au second plan, on distingue quelques bateaux à l’ancre dans la rade de Papeete et, à l’arrière plan, Fare Ute. On devine des bâtiments d’architecture moderne. Les établissements de Fare Ute ? L’un montre un toit surmonté d’un clocheton, un autre des chiens-assis. Au loin, les montagnes.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la rade de Papeete, côté Fare Ute. Au premier plan, le lagon. Au second plan à gauche, on devine des pirogues à balancier et, le long du rivage, les poteaux des lignes électriques. Derrière la végétation, on aperçoit des maisons d’architecture moderne construites sur deux niveaux. Au centre, l’une montre un toit surmonté d’un clocheton, une autre des chiens-assis et celle de gauche, une cheminée. Les établissements de Fare Ute ? À droite, on distingue un bateau posé sur la berge en appui sur un remblai. Probablement celui longeant le quai Gallieni (ancien quai de l’Arsenal) et visible sur la carte n°Z14-003-00863. À l’arrière plan, on aperçoit le sémaphore, à droite le clocher de la cathédrale et, au loin, les montagnes. À gauche, le mont Aorai.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue du quai du commerce à Papeete. Au premier plan, sur le quai, on distingue une bitte d’amarrage, un amas de branches et de troncs ( ?), et des tonneaux métalliques. À droite, un bâtiment d’architecture moderne, construit sur deux étages, dont on aperçoit la colonnade de la galerie inférieure. Un magasin ? Le second plan montre des voiliers amarrés au quai et on devine quelques toits à double pans. Des hangars ? À l’arrière plan, la rade de Papeete, un bateau à l’ancre et dans le lointain, Fare Ute.
La carte est colorisée. La correspondance est datée du 17 septembre 1930.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue panoramique de la mairie de Papeete, construite en 1923. Au premier plan, une large allée mène au bâtiment principal construit sur deux étages et à la toiture à quatre pans probablement en bardeaux. Au bout de l’allée à droite, un homme attend sous un arbre. Au rez-de-chaussée, on distingue les fenêtres et la double porte d’entrée vitrée. Une colonnade soutient le balcon à balustrade de l’étage supérieur, pavoisé d’un faisceau de drapeaux tricolores et couvert d’un toit décoré d’un lambrequin. À droite, un second bâtiment de construction similaire, et à l’arrière plan, une végétation luxuriante.
En bas à gauche, un timbre à 25 centimes oblitéré le 3 mai 1926.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue panoramique de la résidence du Gouverneur à Papeete. Au premier plan, derrière les arbres, le mur d’enceinte en demi-cercle surmonté d’une grille sur laquelle on devine des oriflammes tricolores. Le portail forme une arche faite d’une ferronnerie, sur laquelle on peut lire « Gouvernement », soutenue par deux piliers sur lesquels ont été fixés des drapeaux. À gauche, celui de la Grande-Bretagne, à droite, celui des Etats-Unis. Au second plan, la résidence du Gouverneur pavoisée de drapeaux français. Les signes d’une réception récente ? Peut-être à l’occasion de Noël ? Ce qui expliquerait la présence des deux petits sapins, probablement en bois, installés de chaque côté du portail. On devine, au rez-de-chaussée, la balustrade et la colonnade de la véranda, et à l’étage, la galerie occultée par des jalousies et des persiennes. À l’arrière plan, derrière le toit à quatre pans en tôle surmonté d’un clocheton, on devine la montagne.
En haut à gauche, un timbre à 25 centimes oblitéré le 5 avril 1926.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue panoramique de la rue de Rivoli (actuelle avenue du Général de Gaulle) bordée d’arbres, à Papeete. À droite, la place du Gouvernement longée par un caniveau enjambé par une petite passerelle. Plus loin, derrière la barrière blanche en bois, la cour du « Cercle colonial ». On devine une petite maison (le garage à bicyclettes ?) et à droite le banian dans les branches duquel était aménagée une plateforme. Peut-être voit-on sur la gauche, l’escalier par lequel on y accédait. À gauche de la rue, derrière la grille, le bâtiment des Contributions et Octroi dont on distingue la galerie supérieure à colonnade. Dans le lointain, sur la route, on aperçoit une voiture. En hauteur, on devine, de chaque côté de la rue, les poteaux et les fils des lignes électriques.
En haut à droite, un timbre à 30 centimes oblitéré en 1926.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B. : les travaux d’électrification de Papeete ont débuté en 1917 et les Contributions ont été installées dans le bâtiment à gauche après le raz de marée de 1906, bâtiment qui sera détruit vers 1934
Monument commémorant les Poilus tahitiens morts au cours de la Première Guerre mondiale, photographié ici dans sa version originale et à l’endroit où il fut initialement installé en 1923 : face à la mer, avenue Bruat. Œuvre du sculpteur Hippolyte Marius Galy, il a été inauguré le 14 juillet 1923. Sur le monument, au premier plan, on devine sous les couronnes de fleurs fraîches une des quatre couronnes mortuaires sculptées. Au second plan, sur l’obélisque, on peut voir la liste des noms des soldats morts pour la France. À gauche, on distingue une jeune femme en plâtre offrant un bouquet au soldat représenté plus haut en médaillon. Au sommet de l’obélisque, le coq symbolisant la nation et le patriotisme. Au pied du monument, d’autres couronnes et bouquets de fleurs, signes d’une cérémonie récente. À l’arrière plan, sous les arbres, on aperçoit une petite barrière en bois.
La carte a été affranchie avec un timbre à 40 centimes mais la date d’oblitération est illisible.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, la date de la correspondance indique le 2 janvier 1934.
Vue panoramique du Cours de l'Union-Sacrée bordé d’arbres, à Papeete. Un groupe pose au premier plan. Trois hommes se tiennent debout sur la route. Ils portent une camisole sur un paréo fleuri et sont coiffés d'un chapeau. À gauche, sur le bord du chemin, une femme vêtue d'une robe. À droite, derrière les arbres, on devine une barrière.
En haut à gauche, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Maison sur pilotis de construction traditionnelle à laquelle on accède par un escalier en bois sur lequel une femme, vêtue d'une longue robe, est assise. Le toit végétal en « ni’au » (palmes de cocotier) est à deux pans et les cloisons sont faites de panneaux de tiges de bambous tressées. À droite, l’un d’eux est maintenu ouvert par une cale laissant voir l’intérieur du « fare ». À gauche, on aperçoit la coque retournée d’une pirogue et, sous la maison, des objets difficilement identifiables. À droite au pied du cocotier, on distingue deux récipients (paniers ou baquets ?), l’un posé sur une sorte de banc, l’autre dessous, et plus loin, une seconde construction, probablement le « fare t?tu » (la cuisine) dont on aperçoit le toit végétal. À l’arrière plan, on devine l’océan.
La carte a été affranchie avec un timbre à 40 centimes mais le cachet de la poste est illisible.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser qu'elle a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B : correspondance datée du 27 avril 1930
La baie de Matavai vue probablement depuis les hauteurs de Arue, sur l'île de Tahiti. Au second plan, on aperçoit la pointe Vénus, à Mahina.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue du monument dédié au Capitaine James Cook et du phare, pointe Vénus à Mahina sur l’île de Tahiti. Au premier plan, le monument, érigé en 1901, commémore l’observation du transit de Vénus lors du séjour du Capitaine Cook, baie de Matavai, en 1769. À l’arrière plan, le phare, inauguré en 1868, photographié ici dans sa version d’origine.
À droite, deux timbres à 10 centimes oblitérés le 1er juin 1926.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Plage de Papenoo (ou Teatea, ou Rairoa) formant une baie, vue probablement depuis la pointe Tapahi à Mahina, sur l’île de Tahiti. Au premier plan, l’océan et, à droite, les falaises abruptes. Au second plan, on aperçoit la plage de sable bordée de cocotiers et à l’arrière plan, la pointe de Papenoo.
En haut à gauche, un timbre à 25 centimes oblitéré en mai 1926.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue du lagon et d’un rivage formant une petite baie à Papara, sur l’île de Tahiti (peut-être la pointe Piiraaorie, dite pointe Erich ?). À l’arrière plan, on aperçoit la berge opposée plantée de cocotiers.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue d’une route bordée de végétation, notamment de cocotiers, menant à Tautira, sur l’île de Tahiti. À gauche, on aperçoit l’océan et à l’arrière plan, probablement la pointe Tatatua. Sur la route, une voiture.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Vue de la pointe de Tautira, probablement depuis la pointe Matahiva, sur la presqu’île de Tahiti. Au premier plan à droite, des cocotiers et, plus loin, quelques rochers. Au second plan, le lagon au niveau de la passe Teafa. À l’arrière plan, on aperçoit la pointe Tatatua. On devine quelques constructions cachées dans la végétation. Le village de Tautira ?
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Homme tatoué posant debout de profil. Il porte un « hami », sorte de pagne marquisien porté par les hommes. Le visage présente de larges bandes horizontales tatouées, « ti'apu », au niveau du regard et de la zone buccale. Celle du front est unilatérale. On reconnaît, sur la face interne du bras gauche, de grands « ipu ». Le creux du genou est partagé par des « fatina », motifs disposés en croix. Au-dessus, à la naissance de la cuisse, on devine un « pahito » et au-dessous, sur la face interne du mollet, un autre « pahito » associé à un « kofati ».
Le cliché est attribué à Susan Hoare par Jean-Yves Tréhin (2003), Tahiti, l’Éden à l’épreuve de la photographie, Gallimard & Musée de Tahiti et des Îles, page 83.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Le marché à Papeete. Au premier plan, on distingue des charrettes et des voitures, tirées par des chevaux, stationnées aux abords du marché installé sous les arbres. À l’arrière plan, on aperçoit quelques bâtiments de construction moderne.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Groupe d’hommes attendant sur le quai des subsistances (actuelle Place Jacques Chirac), à Papeete. Ils portent des pantalons et des chapeaux. Certains sont en chemise, d’autres en veste. Dans la foule, on devine quelques bicyclettes. Ancrés à droite, une petite embarcation à voile et plus loin un voilier. On distingue un homme à l’avant et, amarrée à l’arrière, l’annexe. Au second plan, on aperçoit les poteaux des lignes électriques auxquels sont fixées les lampes à ampoule de l’éclairage public et, à droite, deux lampadaires. À l’arrière plan, l’île de Moorea.
La carte a été affranchie avec un timbre à 10 centimes mais la date d’oblitération est illisible.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
N.B. : les travaux d’électrification de Papeete ont débuté en 1917
Vue du quai du commerce, à Papeete. Au premier plan, on distingue un personnage coiffé d’un chapeau (?) assis dans une embarcation et des bateaux amarrés au quai. Les haubans des voiliers ont été décorés de fanions et de drapeaux. Au second plan, on aperçoit les poteaux des lignes électriques, et à gauche, le monument aux morts, situé place de la Mutualité, fait d’un obélisque surmonté d’un boulet de canon. Derrière la végétation qui longe le quai, on devine des maisons d'architecture moderne. Des magasins ? À l’arrière plan, les montagnes.
La carte a été affranchie avec un timbre à 30 centimes oblitéré en octobre 1926.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Écoliers posant sur l’escalier à double volée de l’école communale de Papeete. Elle a été construite sur pilotis. L’escalier repose sur une double arcade. Les élèves ont pris place sur chacune des deux volées menant à la galerie couverte à colonnade du premier étage. On aperçoit les fenêtres du second niveau et le toit à quatre pans en tôle. À l’arrière plan, on devine une petite maison à droite et, derrière la clôture, un autre bâtiment.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. À gauche et en bas, des indications manuscrites ajoutées au crayon.
N.B. : il existe une carte similaire affranchie avec un timbre à 10 centimes oblitéré en mars 1928
Groupe d'adolescents et d'enfants posant devant une maison de construction traditionnelle. Le groupe est assis à l’exception de deux jeunes filles qui se tiennent debout, à droite et à gauche, d'un jeune garçon placé au centre de l’image. Le reste des enfants s’est installé de part et d’autre du trio. Les garçons sont vêtus de chemises ou de camisoles, et de pantalons. Certains portent des chapeaux, d’autres des colliers végétaux. À gauche, un enfant est coiffé d’une casquette. Les deux jeunes filles sont en paréo et coiffées de couronnes de fleurs. Celle de droite porte également un pendentif. Au second plan, le « fare », au toit végétal en « nī’au » (palmes de cocotier), repose sur une rangée de pilotis. Le mur de pignon est fait de panneaux de cannes de bambou tressées. À l’arrière plan, sous les cocotiers, on devine une bicyclette.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Groupe de musique et chanteuse lors des fêtes de juillet, place du Gouvernement à Papeete. La chanteuse se tient debout vêtue d’une robe et coiffée d’une couronne végétale. Un homme est assis à sa droite. Il porte un « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), une sorte de plastron rehaussé de rosaces, et une coiffe végétale. Les joueurs de flûtes sont assis dans l’herbe à droite. Deux portent une chemise et un chapeau et on aperçoit partiellement le costume végétal du troisième musicien. Un quatrième homme, vêtu d’un pantalon et d’une chemise, se tient debout derrière lui. Une femme est assise dos à l’objectif. On distingue le tressage de son costume végétal et sur ses épaules un poncho en « more » (fibre végétale issue du liber du « pūrau », Hibiscus tiliaceus). Au second plan, on aperçoit une femme debout vêtue d’une tunique probablement faite en « tapa » (fibre végétale) et en « more ». Elle porte également une coiffe végétale identique à celle de l’homme assis à gauche. Les spectateurs sont assis à l’arrière plan. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe et les hommes en costume.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, des indications manuscrites ajoutées au crayon dont une date : le 21 juillet 1939.
Groupe de chanteuses lors des fêtes de juillet, place du Gouvernement à Papeete. Le groupe exécute son chant, assis dans l’herbe en demi-cercles. Les femmes sont coiffées de couronnes de fleurs et portent de longues robes blanches, et certaines des chaussures. On aperçoit quelques hommes assis en retrait du groupe (des chanteurs ?). Debout, au centre de l’image, le chef de chœur en costume blanc et, à droite, un homme en veste blanche sur laquelle on distingue une médaille. Les spectateurs sont assis au second plan. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume, et quelques enfants sur les genoux de leurs parents. Au centre, fixé à un mât, un faisceau de cinq drapeaux français. À l’arrière plan à droite, derrière la grille, on aperçoit quelques spectateurs sur le balcon du bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
N.B. : la scène se situe probablement en 1919, lors des premières fêtes de juillet après la Première Guerre mondiale
Groupe d’hommes et de jeunes garçons. Probablement un groupe de danse se préparant à l’exécution d’un « 'ōte'a tāne » (danse traditionnelle masculine), lors des fêtes de juillet. Au centre, les musiciens. Au premier plan, l’un d’eux porte un « pahu tūpa'i » (tambour à membrane). À sa gauche, un jeune garçon aux pieds duquel on devine un objet. Probablement une boîte en fer blanc sur laquelle il battra la mesure. À gauche et à droite, alignées en files indiennes, mains sur les hanches, les danseurs. Tous portent une chemise ou une camisole et, par-dessus leur pantalon, un « more » (jupe en « pūrau », Hibiscus tiliaceus) rehaussé de rosaces faites du même matériau. Il est maintenu à la taille par une ceinture également décorée de rosaces, peut-être de nacres ou de boutons, et de houppes. La plupart sont coiffés d’une couronne végétale et quelques-uns d’un chapeau. Au premier plan, les danseurs en tête de file tiennent une houppe dans chaque main (des « 'i'i » ?) et un autre, à gauche, une sorte de drapeau., À l’arrière plan, on aperçoit une maison d’architecture moderne faite de planches et couverte d’un toit en tôle et, à droite, sur le chemin bordé de végétation, un homme.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Spectateurs et groupes de danse lors des fêtes de juillet, place du Gouvernement à Papeete. Assis au premier plan, un homme tient un drapeau tricolore fixé à un long mât. À ses côtés, des hommes et des femmes en costumes de danse. Au centre, certains portent un costume et une couronne végétale probablement faits de feuilles de « tī » (Cordyline fruticosa), d’autres à droite, une tunique et une coiffe végétales rehaussées de rosaces. Les danseuses assises à gauche sont vêtues d’un costume en « more » (fibre végétale issue du liber du « pūrau ») et d’une couronne de tête. Au second plan, les spectateurs. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume et des enfants. Au centre, quelques militaires en uniforme, certains coiffés d’un casque colonial. On distingue, à droite, un mât pavoisé d’un faisceau de drapeaux tricolores et, à gauche, un arbre dans lequel ont été fixés d’autres drapeaux. À l’arrière plan, à gauche, le bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli. On aperçoit quelques spectateurs sur le balcon. Au centre, un poteau électrique surmonté d’un drapeau américain et un homme en costume blanc sur lequel on distingue une médaille. Sous les arbres à droite, on devine le toit du hangar à vélos du cercle colonial. Dans le lointain, la végétation.
Au centre, une indication ajoutée au crayon. En haut à droite, un timbre à 40 centimes oblitéré le 12 septembre 1932. Présence du tampon postal « Visitez Tahiti perle du Pacifique ». En haut à gauche, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe exécutant un « 'aparima » (danse et chant traditionnels) lors des fêtes de juillet, place du Gouvernement à Papeete. Les danseurs sont assis sur trois rangs, les bras levés. Au centre, les femmes, à gauche et à droite, les hommes. Les femmes portent un costume fait d’un « more » (jupe en « pūrau », Hibiscus tiliaceus), d’une tunique végétale rehaussée de rosaces et aux manches garnies de « more » (?) (fibre végétale issue du liber du « pūrau »), et d'une couronne végétale. Les hommes portent un pagne et une couronne végétale probablement faits de feuilles de « tī » (Cordyline fruticosa). À gauche, le « ra'atira pupu » (?) (chef de groupe) en grand costume : « more », tunique rehaussée de rosaces, et coiffe végétale. Dans sa main droite, un « to'o » (bâton). Les spectateurs sont assis au second plan. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume et quelques enfants. On aperçoit, en hauteur, les lignes électriques et, à droite, un mât pavoisé d’un faisceau de drapeaux tricolores. À l’arrière plan, sous les bananiers, une grille et, à droite, le bâtiment des Contributions et Octroi, rue de Rivoli.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe d’hommes exécutant un « 'ōte'a tāne » (danse traditionnelle masculine) lors des fêtes de juillet, place du Gouvernement à Papeete. Les danseurs sont debout sur deux rangs, bras levés. Ils portent un « more » (jupe en « pūrau », Hibiscus tiliaceus) maintenu à la taille par une ceinture, une tunique et une coiffe végétales probablement faites du même matériau, rehaussées de houppes et de rosaces. À droite, en costume blanc, le « ra'atira pupu » (chef de groupe) ? Les spectateurs sont assis au second plan. La plupart portent un chapeau et on devine les femmes en robe, les hommes en costume et quelques enfants. On aperçoit, en hauteur, les lignes électriques et, à droite, un mât pavoisé d’un faisceau de drapeaux tricolores.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Annexion de Tahiti et des territoires sous Protectorat par la France. La cérémonie se déroule sur une place bordée d'arbres. Au centre de l'image, le mât de pavillon. De part et d'autre, les soldats de l'infanterie de marine en grande tenue. Au second plan, à gauche, on devine un attroupement. Les officiels ? À l'arrière plan, derrière la barrière blanche, on aperçoit des maisons d'architecture moderne.
Le cliché est attribué à Susan Hoare par Jean-Yves Tréhin (2003), Tahiti, l’Éden à l’épreuve de la photographie, Gallimard & Musée de Tahiti et des Îles, page 106.
En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe de trois danseuses en grand costume posant place du Gouvernement à Papeete pendant les fêtes de juillet. Elles portent, par-dessus une longue camisole blanche, un « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus) maintenu par une ceinture. Leur costume est rehaussé d’un plastron, de rosaces et de houppes probablement faits du même matériau. Deux sont coiffées d’une couronne de fleurs, la troisième d’une simple couronne végétale. Elle porte également un bracelet et des bagues, à la main et au bras gauches. À l’arrière plan, le kiosque à musique sur lequel on aperçoit des faisceaux de drapeaux français.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. La date d’oblitération indique le 9 novembre 1931.
Groupe de danseurs posant place du Gouvernement à Papeete, pendant les fêtes de juillet. Les hommes assis au premier plan portent un costume probablement fait de feuilles de « tī » (Cordyline fruticosa) et sont coiffés de couronnes végétales, pour certains de couronnes de fleurs. Les danseurs debout au second plan sont en grand costume : « more » (jupe réalisée en « pūrau », Hibiscus tiliaceus) maintenu par une ceinture, plastron fait du même matériau rehaussé de rosaces et de tressages, et coiffe tressées garnie de pompons évoquant un béret de marin. À l’arrière plan, on aperçoit le kiosque à musique et plus loin deux hommes de type européen vêtus d’un costume blanc et, à droite, un danseur. Il porte une coiffe surmontée d’un panache blanc et décorée d’une nacre (?). De chaque côté du kiosque, des baraques recouvertes de « nī’au » (palmes de cocotier). Fixé à celle de gauche, un écusson tricolore sur lequel on devine le monogramme « RF ».
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
Femme assise sur une natte, coiffée d’une couronne de fleurs de tiaré et vêtue d’un paréo noué au-dessus de la poitrine. Autour de son cou, un long collier probablement fait de coquillages. À L’arrière plan, on aperçoit une végétation luxuriante, notamment des fougères, et posé sur le sol à gauche, une sorte de grand récipient (un baquet ?).
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B : il existe une carte postale représentant le même personnage, photographié dans le même lieu et dans la même tenue vestimentaire, avec correspondance datée de décembre 1925 (1924 ?), information qui permet de situer la scène antérieurement à cette date
Femme debout, coiffée d’une couronne de fleurs de tiaré et vêtue d’un paréo noué au-dessus de la poitrine. Autour de son cou, un long collier probablement fait de coquillages. À gauche, on aperçoit une sorte de grand récipient (un baquet ?) et plus loin on devine les tôles ondulées d’un toit. À l’arrière plan, la végétation luxuriante montre des fougères et des bananiers.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ.
N.B : il existe une carte postale identique avec correspondance datée de décembre 1925 (1924 ?), information qui permet de situer la scène antérieurement à cette date
Carte de Moorea qui détaille les districts, les passes, les baies, les « motu », les rivières, et les principales montagnes de l'île.
En haut à gauche, une indications manuscrite ajoutée au crayon.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Femme assise, coiffée d’une couronne de fleurs de tiaré et vêtue d’une longue robe à manches trois quarts et à l’encolure rehaussée de dentelle. Elle tient une seconde couronne entre ses mains et à son annulaire gauche, on devine une bague. L’arrière plan montre une végétation luxuriante.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. Dans la partie inférieure droite, des indications manuscrites ajoutées au crayon.
N.B : il existe une carte postale identique affranchie avec un timbre à 5 centimes oblitéré en 1925, information qui permet de situer la scène antérieurement à cette date
Groupe d’hommes autour d’un four traditionnel à Tahiti. Au premier plan, le four ouvert laisse voir des demi « 'uru » (fruits à pain, Artocarpus altilis). On devine, posées sur le sol, les palmes de cocotier et les feuilles de bananiers qui recouvraient la nourriture. La plupart des hommes sont assis ou accroupis, coiffés d'un chapeau et vêtus d’un pantalon, d’une chemise ou d’une camisole, à l’exception d’un homme debout à droite en paréo. À l’arrière plan à gauche, on aperçoit un grand « ‘ūmete » (récipient).
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à gauche, une indication manuscrite ajoutée au crayon.
Coucher de soleil sur Moorea vu de Tahiti. À l’arrière plan, la côte Est de Moorea. On aperçoit à gauche, le « motu » (îlot) Ahi et, dominant l’île (de gauche à droite), les monts Tohiea, Mouaputa et Tearai.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. Elle a été affranchie avec un timbre à 40 centimes mais le cachet de la poste est illisible. En haut à gauche, la correspondance est datée du 19 janvier 1929.
Vue de la baie d’Opunohu, à Moorea. Au premier plan à gauche, on devine une pirogue à balancier posée sur la berge. À l’arrière plan, dominant la baie, on aperçoit le mont Mouaroa et, à gauche du cocotier, caché par la végétation, le mont Tohiea.
La couleur du papier utilisé pour le recto laisse penser que cette carte postale a probablement été éditée entre 1914 et 1920 environ. En haut à droite, des indications manuscrites ajoutées au crayon.
Groupe de femmes, d’enfants et d’hommes. Au premier plan, deux femmes en « robe mission » sont assises sous un cocotier avec quatre petites filles. Un jeune garçon en paréo se tient debout à leurs côtés et plus loin, un homme en pantalon muni d’une longue gaule. Une famille ? À gauche de l’image, une maison de construction traditionnelle au toit en pandanus ou « nī’au » (palmes de cocotier) et aux cloisons faites de palmes de cocotier tressées. À l’arrière plan, un second faré et, en appui sur la toiture, une natte grossière en palme de cocotier tressée (« pāua »).
Les informations imprimées au recto indiquent que cette carte postale a été éditée après le 16 mai 1904
Femmes vêtues de paréos posant dans une rivière. Au premier plan, une première jeune fille est étendue dans l'eau. Elle est coiffée d’une couronne végétale. La seconde est assise de dos sur un rocher. On aperçoit une boucle d'oreille à son oreille gauche. Au second plan, la rivière.
Imprimé au recto, le nom du magasin de Georges Spitz à Papeete.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Femme assise sur un rocher dans une rivière, coiffée d’une couronne végétale et vêtue d’un paréo noué à la taille. À l’arrière plan, on aperçoit la berge couverte de végétation.
Carte postale monochrome sépia, couleur qui laisse penser qu'elle a probablement été éditée à partir de 1930. Imprimé au recto, le nom du magasin de Georges Spitz à Papeete. En haut à droite, une indication ajoutée au crayon.
Vue d'une cascade sur l'île de Tahiti. Au premier plan, une rivière (ou le fond d'une baie ?). La végétation montre quelques cocotiers. À l'arrière plan, on aperçoit les montagnes couvertes de végétaiton et une cascade.
Imprimé au recto, le nom du magasin de Georges Spitz à Papeete. En haut à droite, un timbre à 40 centimes oblitéré le 12 septembre 1932. Présence du timbre postal « Voir Tahiti et y vivre ».
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la baie d'Opunohu à Moorea. Au premier plan, le lagon. Au second plan, on aperçoit des cocotiers au fond de la baie et, à l'arrière plan, le mont Mouaroa.
Un titre a été attribué à la carte postale lors de son indexation dans Ana'ite. Elle n'en comporte pas à l'origine.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue d’une route en bordure de la baie de Papeete. Au premier plan à droite, la route part en direction de Fare Ute. Au centre de l'image, on distingue, posée sur le sol, une nasse de pêcheur faite de bambou et, sur le rivage, des pirogues à balancier. Au second plan à gauche, on aperçoit un poteau de lignes électriques, une maison d’architecture moderne et, dans la rade, trois bateaux à vapeur. Dans le lointain, les montagnes.
Un titre a été attribué à la carte postale lors de son indexation dans Ana'ite. Elle n'en comporte pas à l'origine.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Vue de la baie d’Opunohu, à Moorea. Au premier plan, sur le lagon, deux hommes sur deux pirogues à balancier. Au second plan, la baie, sur la droite, le mont Tautuapae ( ?) et le rivage que l’on devine bordé de végétation. À l’arrière plan, on aperçoit le mont Mouaroa.
En haut à gauche, la correspondance est datée du 15 février 1911.
Les informations imprimées au recto indiquent que cette carte postale a été éditée après le 16 mai 1904. La carte a été affranchie mais le timbre a disparu et le cachet de la poste est illisible.
Vue de la baie de d'Opunohu, à Moorea. Au premier plan, le lagon. Au second plan, on aperçoit, au fond de la baie, des cocotiers et des maisons d'architecture moderne. À l'arrière plan, le mont Mouaroa.
En haut à gauche, un timbre à 10 centimes oblitéré en mars 1908.
Aucune date d'édition n'est mentionnée sur la carte postale. La datation approximative proposée résulte d'une analyse des indices de mise en forme et de la correspondance.
Groupe posant autour de la pierre-tortue, « ofa'i honu », située dans la vallée de Vaiati à Bora Bora. Au premier plan, la pierre sur laquelle on distingue des pétroglyphes : trois motifs de tortue et, à l’arrière, des cercles et demi-cercles concentriques. La pierre elle-même évoque la forme du reptile : carapace bombée sur laquelle les motifs ont été gravés, tête partiellement masquée par le timbre, et sur les côtés, les membres. Au second plan, deux femmes vêtues de « robes mission » et deux hommes, dont l’un est en paréo, se tiennent debout autour du rocher. À l’arrière plan, une végétation luxuriante.
En bas à droite, un timbre à 1 centime oblitéré le 22 avril 1908.
Les informations imprimées au recto indiquent que cette carte postale a été éditée avant le 16 mai 1904.
N.B. : il existe une carte postale de cette vue portant la mention « A. Itchner, Huahine », information qui permet de situer la scène entre l’arrivée du photographe à Huahine en 1895 et 1904
Groupe d’enfants devant une maison de construction traditionnelle. Au premier plan, quatre fillettes en robe et un jeune garçon se tiennent par la main. Au second plan, le « fare » sur pilotis, au toit végétal en pandanus, dont on distingue une cloison faite probablement de cannes de bambou. À l’arrière plan à gauche, on aperçoit une montagne. Le mont Pahia (Pa'ihia) ? La végétation environnante montre des plants de taro (Colocasia esculenta) et des arbres fruitiers, notamment des bananiers, des cocotiers, des manguiers et des arbres à pain.
Les informations imprimées au recto indiquent que cette carte postale a été éditée avant le 16 mai 1904.
Femmes et jeunes filles, vêtues de robes « mission », posant avec la Reine de Bora Bora, Teriimaevarua, assise au second rang. Elle est coiffée d’une couronne de fleurs et porte une robe sombre au col rehaussé de dentelle, une bague à la main gauche, et autour du cou, un pendentif. La plupart des femmes ont garni leurs oreilles d’une ou plusieurs fleurs et, à gauche, l’une d’elles est coiffée d’une couronne identique à celle de la Reine. Au premier rang, assise sur le sol, une jeune fille porte également des boucles d’oreilles. Derrière le groupe, à droite, un homme vêtu d’une chemise et coiffé d’un chapeau, et à l’arrière plan, une maison sur pilotis de construction traditionnelle. On aperçoit l’escalier d’accès (sous le timbre), les cloisons faites de branches d’hibiscus ou de cannes de bambou fixées à des pannes horizontales, et le toit végétal en pandanus ou en « nī’au » (palmes de cocotier).
En haut à gauche, un timbre à 5 centimes oblitéré le 11 décembre 1904.
Les informations imprimées au recto indiquent que cette carte postale a été éditée avant le 16 mai 1904.
N.B. : il existe une description de cette scène faite par Eugène Hänni dans un courrier adressé à sa tante en 1895, accompagné de la photographie probablement à l’origine de la carte et achetée auprès de A. Itchner
Femmes et jeunes filles, vêtues de robes « mission », posant avec la Reine de Bora Bora, Teriimaevarua, assise au second rang. Elle est coiffée d’une couronne de fleurs et porte une robe sombre au col rehaussé de dentelle, une bague à la main gauche, et autour du cou, un pendentif. La plupart des femmes ont garni leurs oreilles d’une ou plusieurs fleurs et, à gauche, l’une d’elles est coiffée d’une couronne identique à celle de la Reine. Au premier rang, assise sur le sol, une jeune fille porte également des boucles d’oreilles. Derrière le groupe, à droite, un homme vêtu d’une chemise et coiffé d’un chapeau, et à l’arrière plan, une maison sur pilotis de construction traditionnelle. On aperçoit l’escalier d’accès, les cloisons faites de branches d’hibiscus ou de cannes de bambou fixées à des pannes horizontales, et le toit végétal en pandanus ou en « nī’au » (palmes de cocotier).
Les informations imprimées au recto indiquent que cette carte postale a été éditée avant le 16 mai 1904.
N.B. : il existe une description de cette scène faite par Eugène Hänni dans un courrier adressé à sa tante en 1895, accompagné de la photographie probablement à l’origine de la carte et achetée auprès de A. Itchner