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pascicalé XMX
�CHEMINS
DE
FER
TOTASE CIBCDLAIBE ER BRETIGHE
BILLETS
DE
f>.fVRIS ^ LONDRES
Viâ Rouen, Dieppe et Newhaven, par
DÉLIVRÉS TOUTE L’ANNÉE
D’EXCURSIONS
:
65
fr.
—
2® Classe
:
50
fr.
■
GRANDE
Les Compagnies de l’Ouest et d’Orléans délivrent, toute l’année, aux prix très réduits
de 05 fr. en l’’® Classe et 50 fr. en 2« Classe, des Billets circulaires valables 30 jours,
comprenant le tour de la presqu’île bretonne, savoir : Rennes, Saint-Malo. Dinard, Saint-
ch.’uiue prolongation, d’un supplément de 10 °jo du prix primitif.
partant d’un point quelconque des réseaux de l’Ouest et d’Orléans pour aller
rejoindre cet itinéraire, peut obtenir, sur demande faite à la gare de départ, 4 jours au moins
à l’avance, en même temps que son Billet d’excursion, un Billet de parcours complémentaire
comportant une réduction de 40 %, sous condition d’un parcours minimum de 150 kilomètres
ou [)ayant comme pour 150 kilomètres.
La même réduction lui est accordée après l’accomplissement du voyage circulaire,
soit pour revenir à son point de départ initial, soit pour se rendre sur tel autre point des
deux réseaux qu’il a choisi.
pour
Le voyageur
ECONOMIE
PRIX DES
Billets
Brieuc, Lannion, Morlaix, Roscoff, Brest, Quimper, Douarnenaz, Pont-l'Abbé, Concarneau,
Lorient, Auray, Quiberon, Vannes, Savenay, Le Croisic, Guérande, Saint-Nazaire, PontChâteau, Redon et Rennes.
Ces Billets peuvent être prolongés trois fois d’une période de 10 jours, moyennant le
paiement,
la Gare Saint-Lazare.
Quatre traverséen par jour (Deux dans chaque sens).
rapides de jour et de nuit tous les jours (Dimanches et Fêtes compris) et toute l’année.
Trajet de Jour en O lieure» (L® et 2® Classe seulement).
Services
1*^ Classe
L’OUEST
Classe
2« Classe
Classe
2® Classe
3« Classe.
23 25
3® Classe
Départs de Paris St-Lazare
à
Londres.
:
Billets d’aller et retour,
43 25
32 »
l'®
Arrivées
BILLETS
simples, valables pendant 7 jours :
10 h. matin. 9 h. soir.
(London-Bridge
1 Victoria.
Des cabines
en
Départs
7 h. soir.
7 h. 40 matin.
7 h. soir.
7 h. 50 matin.
Des Voitures à couloir
sont mises
de
Londres.
sur
72 75
52 75
41 50
...
(London-Bridge
10 h. matin. 9 h. soir.
(
10 h. matin. 8 h. 50 soir.
Victoria.
Arrivées à Paris St-Lazare
7 h. soir.
7 h. 45 matin.
(Water-Closet-Toilette, etc.).
service dans les trains de
particulières
valables pendant un mois
l*"®
maree
de
jour
entre
Paris et Dieppe.
les bateaux peuvent être réservées
sur
demande préalable.
TRANSPORT EN GRANDE VITESSE
Enlèvement à domicile et
des
Enregistrement à l’avance
Bagages.
Un Service d'enlèvement à domicile et
voyageurs
Lazare.
d'enregistrement à l’avance des bagages des
est organisé à Paris, pour toutes les destinuiiuiis, au départ de la gare Saint-
Le Service comprend la descente et le chargement des bagages au domicile, leur
transport à la gare, la-manutention du pesage, etc.
Les voyageurs trouvent à la gare, au moment du départ, une enveloppe contenant leurs
Billets de place et le Bulletin des bagages enregistrés.
Le tarif est fixé, d’après le poids, à 0 fr. 30 par fractions de 10 kilos (minimum 2 fr. 50).
Les commandes sont reçues à la gare Saint-Lazare au bureau des rënseignements.
Un Service analogue à celui du départ fonctionne à l’arrivée de tous les trains des grandes
lignes, à la gare Saint-Lazare.
Le tarif est fixé à 1 fr. jusqu’à 30 kilos, et au-dessus de ce poids à 30 centimes par
fractions de 10 kilos, comprenant le chargement à la gare, les formalités d’octroi, le transport
au domicile et la montée aux étages.
de
Messageries, Primeurs, Fruits, Léijniues, Fleurs, etc., entre Paris et Londres.
TROIS
Les expéditions remises à
et 9 h. du'soir parviennent
à Midi 45.
DÉPARTS
PAR
JOUR
TOUTE
l’aNNÉE
Saint-Lazare pour les trains partant à 1 h. 3, 3 h. 45
à Londres, le lendemain, à 8 h. 45, à 9 h. 15 du matin, ou
la
gare
ABONNEMENTS SUR TOUT LE
RÉSEAU
La Compagnie des chemins de fer de l’Ouest fait délivrer, sur tout son réseau, des cartes
d'abonnement nominatives et personnelles (en 1'’®, 2® et 3® Classe), pour un mois, trois mois,
six mois ou un an.
Ces cartes doRiient le droit à l’abonné de s’arrêter à toutes les stations comprises dans
indiqué sur sa carte et de prendre tous les trains comportant des voitures de la
laquelle l’abonnement a été sousciàt.
prix sont calculés d’après la distance kilométrique parcourue.
le parcours
classe pour
Les
Il est facultatif de
régler le prix de l’abonnement de six mois
ou
d’un
an,
soit immédiate¬
ment, soit par paiements échelonnés.
Les abonnements d’un mois sont délivrés à une date quelconque, ceux
six mois et un an partent du l®*’ et du 15 de chaque mois.
de trois mois,
�(9
Pt/yMeict>t
ÉTABLISSEMENTS FRANÇAIS
EN OCÉANIE
Types & Mœurs des Indigènes
des différents
Archipels
PA{?IS
L.
BOULANGER. ÉDITEUR,
/I/
90.
BOULEVARD MONTPARNASSE
Z'
e<;«5})
�CCCLXXXV.
Indigènes
des
Iles
de
la
Société réunis
pour
la
danse.
Grav. et
imp.
par
Gillot
�/
��CCCLXXXVIII.
—
Himénés
aux
Tuamotu
(Fête
du 14
juillet).
Grav. et imp. par Gillot
�CCCLXXXIX
Indigènes
des
Iles Sous-le-Vent
(Construisant un Gourbi)
Grav. et
imp. par Gillot
�CCCXC.
—
Indigènes
de
Tahiti,
travaillant
le
burao.
Grav. et imp. par Gillot
�CCCXCI.
-
Marché
de
Papeete.
'™P-
�CCCXCII.
—'
Banian
du- cercle militaire
(Papeete).
Grav. et
imp.
par
Gillot
�Etablissements Français en Océanie
9
et
en
Dans notre fascicule n“ 47 nous avons donné un petit aperçu
des vues des Archipels composant nos Etablissements français
Océanie. Afin que notre travail soit plus
différents types des indigènes
montrer les
complet nous allons
de ces archipels et
parler de leurs mœurs et coutumes.
Toutes les îles comprises dans un polygone dont les sommets
seraient : la Nouvelle-Zélande, les îles Walis, l’archipel des Na¬
vigateurs, les îles Sandwich et les Pomotu orientales sont peu¬
plées par une race cuivrée qui se distingue des populations sau¬
vages limitrophes par la teinte et l’uniformité de sa couleur, par
taille très au-dessus de' la moyenne
expression de visage assez douce, toutes les fois que le
désir de paraître terrible ne la pousse pas à se procurer une lai¬
deur factice et laborieusement étudiée par le moyen du iatoiiage,
delà peinture et des autres ornements habituels à la toilette sau¬
vage (indigènes du Tuamatou). Les Indigènes se reconnaissent
tous, à première vue, comme appartenant à une race connue sous
la beauté de
ses
formes,
une
et une
le
de Maori.
Les Tahitiens occupent une
nom
position centrale dans le monde
Polynésien.
L’archipel des Tuamotu ou Paumotii reconnaît qu’il doit son
origine àTahiti. Dans l’archipel de la Société, Elle Sainte, le ber¬
ceau de la royauté et de la religion, est %aiatéaM pîus considé¬
rable des îles occidentales. C’est de là que iles royautés de Tahiti
se vantent de descendre, et c’est là que,dans certaines solennités,
les Maraé les plus nobles et les plus anciens de Tahiti et de Mooréa étaient obligés d’envoyer des victimes humaines. Ces Maraë
étaient les temples de la religion tahitienne.
La tradition, si peu qu’il en reste, s’accorde avec ces résultats
et les vieillards disent généralement que le berceau de leur race
au coucher du soleil.
Il ne reste rien d’écrit sur les premiers temps de ces peuples.
La tradition fait remonter à vingt générations de rois —à la ving¬
tième on se trouve dansle fabuleux.
Cook attribuait à Tahiti une population extraordinaire lors de
était
sa
première relâche. Il parle de 80.000 âmes, chiffre qui devait
comme population, quelques années avant. Ces
être double,
dires ont été controversés, réfutés, et cependant en consultant
encore les vieillards — la tradition —on sé rend compte que cer¬
tains districts, autrefois, contenaient,à eux seuls, autant de monde
que toute l’île entière.
Le gouvernement de ces
îles, selon aussi la tradition, était
théocratique. Les prêtres n’exerçaient leur ministère qu’en vertu
d’une délégation des Princes. Le Prince descendait en ligne droite
de la divinité et le Maraë, où cette divinité est adorée, a été fondé
par lui en l’honneur de son ancêtre divin. Le premier roi et demidieu fut Hiro. Il serait trop long de nous étendre sur la vie et les
luttes des descendants d’Hiro. Lors
de l’introduction dans
ces
peuples du protestantisme, il y avait trois castes distinctes : les
ou princes, les Raatira., ou petits chefs, propriétaires fon¬
ciers, les Manabune ou gens du peuple, les- prolétaires. Les Arii
étaient des personnages sacrés, doués d’une puissance et de
Arii
vertus miraculeuses.
La nourriture qu’ils avaient touchée devenait, pour tous, un
poison mortel,exceptépour ceux qui appartenaientau même sang.
Parmi les Arii, il y avait un chef de famille auquel les autres
obéissaient ; c’était souvent un enfant et presque toujours un
homme jeune, car dès qu’il lui venait un fils, cet enfant était le chef
légitime, le père n’agissait plus que comme régent. Une coutume
analogue régnait alors dans toutes les familles et même aujour¬
d’hui le culte de T enfance a résisté chez eux à toutes leurs débau¬
ches et a survécu à toutes leurs autres croyances.
Bien que la femme fût réduite à un état d’infériorité
qui allait
jusqu’à la servitude, bien qu’elle fût exclue de la prêtrise et des
Maraë, elle portait en elle un degré de noblesse supérieur à celui
de l’autre sexe ; elle pouvait être reine. Ses ordres étaient exé¬
cutés et ses privilèges sacrés. Elle pouvait faire la guerre en per¬
sonne et quelques-unes s’en, sont très bien acquittées. Si elle
avait un enfant d’un père inconnu, cet enfant était de race royale,
il était prince. Dans les autres castes, la même chose existait et
existe encore ; l’enfant est toujours accepté avec joie par tous,
n’importe d’où qu’il vienne.
La propriété tahitienne était héréditaire et indivisible parmi
les membres d’une même famille.Cela existe encore aujourd’hui.
�Mœurs. — En remontant dans les souvenirs de ces peuples,
dans la tradition oraledes vieillards,on est frappé d’un certain fond
de douceur qui domine les époques les plus barbares. Le canni¬
balisme lui-même, cette vieille religion des archipels de l’Océanie,
n’avait pu se soutenir dans les îles de la Société. L’assassinat
n’existait presque pas.
L’hospitalité était exercée avec une grande bienveillance.
Cette bienveillance cependant n’excluait pas son penchant à
la trahison provenant, chez ces peuples, d’un grand fonds de ruse
mêlé à une grande douceur. La vérité est, chez eux, sans impor¬
tance, ils mentent comme ils disent la vérité. Semblables aux
enfants parla soudaineté et le peu de profondeur de leurs impres¬
sions, ils ressemblent aux vieillards par les raffinements qu’ils
savent introduire dans leurs délassements et par la répugnance
qu’ils éprouvent à se livrer à un effort physique quelconque.
Le respect qu’ils ont pour leur chef tient lieu pour eux d’un
code tout entier. C’est aux blancs et surtout aux Français — c’est
triste à dire— qu’il fout attribuer l’affaiblissement de ce senti¬
ment. Les prêtres — et l’Arii — surtout étaient l’objet d’une
grande vénération.
Himénés.
Ils ont une poésie et une sorte de littérature ;
elle se compose de chants guerriers ou de chants de plaisirs, le
plus souvent confondus ; aussi une sorte de prose caden¬
cée que l’on répète en appuyant sur certaines syllabes marquées
un accent tonique — en lesaccompagnantd’un battement de
mains, d’un trépignement de pieds et de mouvements du corps.
Unemesure règle tous ces mouvements.Ils ont aussi les légendes
et les généalogies récitées par des^ Or^fo, sorte de diacre païen.
Sans aucune espèce d’écriture, la mémoire des hommes, des
princes et des prêtres—était le seul véhiculeau moyen duquel leur
passé est arrivé jusqu’à nous. L’ancienne langue était diffuse et
abondante. Actuellement elle s’altère et dépérit comme la popu¬
lation ; elle est remplacée par un jargon vague qui cherche à se
compléter par des mots que l’on dérobe aux langues étrangères.
On peut dire que la vraie langue tahitienne n’est presque plus
connue et patlée.
De la femme. — Dans les castes inférieures, la femme était, et
est encore, la servante de son mari qui usait généralement rude¬
ment de son autorité. Elle apprêtait la nourriture et ne s’attablait
point avec les hommes. C’était elle qui avait le soin de pagaye, dt
la pirogue et de tous les ustensiles de chasse ou de pêche, de son
mari. Elle l’accompagnait parfois, mais toujours en subordonnée.
—
—
IMP.
NOIZETTE,
8,
RUE
Ces
peuples avaient une grande abondance de cérémonies
les actes de la vie publique et plusieurs delà vie privée,
naissances, mariages, morts. Le mariage avaitordinairement lieu
entre personnes de même condition, se choisissant avec entière
liberté. Les liens n’étaient pas indissolubles ; la même autorité qui
pour tous
le sanctionnait le brisait très facilement. Les enfants adultérins
illégitimes étaient aussi bien
estimer
ces
considérations
ou
que les autres. On peut
très heureuses, car dans ce
venus
comme
paradis terrestre où tout semble plaisir, l’état primitif, la débau¬
che qui régnait chez ces peuples aurait amené des haines et des
meurtres sans nombre si la naissance des enfants avait été vue
du même œil que dans notre civilisation. L’enfant est aimé, pro¬
tégé, adopté et, autrefois, comme aujourd’hui, c’est ce qui con¬
serve l’entente parmi ce peuple
composé de grands enfants.
Danses.— L’âme de toutes leurs réjouissances était et est la
danse— la iipaupa ou biva qui n’est autrechose qu’une série de
danses, dont l’entraînement
va
crescendo et finit ordinairement
par une orgie. Ces
sons d’un orchestre
danses, ou contorsions, sont exécutées aux
composé d’un ou plusieurs tambours (grosse
caisse) — de flageolets en bambou dans lequel on souflle par le
nez
d’un chœur d’hommes ou de femmes disposés sur un ou
plusieurs rangs, les uns assis, les autres debout.
Industrie. Marchés.
Si l’industrie consiste dans l’échange
des produits pour arriver à une plus grande somme de bien-être,
celle des Tahitiens était nulle. Chaque homme produisait alors ce
qui était nécessaire à sesbesoins et à ceux de safamille. Leschefs
prélevaient sur la masse du peuple des impôts sous formes de
—
—
dons volontaires et forcés et de corvées.Les vêtements étaientfaits
l’écorce de certains arbres et on les teignait ensuite au
moyen de suc de plantes. La base de la nourritureétaitle poisson,
le cochon, les fruits, le tara (espèce de chou caraïbe), l’igname,
avec
le fruit de l’arbre à
et le lait de coco,
pain, le fof, sorte de banane sauvage, la noix
le pria, Vape, etc. Ils allaient à la pêche dans
leurs
pirogues et à la chasse de leurs cochons avec des lances.
de changement, mais l’on retrouve
toujours les mêmes tendances ; l’absence de travail a peu mo¬
difié leur genre de vie, de nourriture et de vêtements. Comme
partout cependant, dans les centres où la civilisation pénètre, elle
apporte, avec elle, des changements, des améliorations qui sont
d autant plus grands que le gouvernement qui dirige est sérieux
et prend à cœur le bien-être et le bonheur des peuples qu’il a
conquisUn Créole.
Actuellement il y a un peu
!-PREMIÈRE, PARIS
�e-
LA FRANCE
flcjüattelles
-'■'
Souvenirs de Voyage
200 Photochromies
—
25 Fascicules à 60 Centimes
A vrai dire, ce n’est pas
l’éditeur, c’est le public qui a eu l’idée de cet ouvrage. Lorsqu’oiit paru les premiers fascicules de notre
publication en couleurs : AUTOUR DU MONDE, de tous les coins de la France des milliers de lettres nous ont apporté cette même
phrase : Pourquoi ne pas en faire autant pour notre pays ? L'étranger, c'est bien. Mais la France, c'est mieux.
Nous ne nous dissimulions pas les difficultés de l’entreprise. Grâce à des bonnes volontés que nous remercions ici d’avance et que
nous
signalerons dans nos fascicules, nous sommes assurés de présenter au public une des plus belles publications qu’il ait jamais vues.
L’ouvrage comprendra 2o fascicules, divisés en deux catégories : Les uns sont la reproduction des merveilles de notre France. Les
autres sont des tableaux de la vie
Bien
entendu,
sous
réelle, des scènes de mœurs. Nous les entremêlerons pour obtenir de la variété.
le titre de LA FRANGE nous comprenons VAlgérie, notre France d’Afrique qui nous fournira les plus curieux
et les
plus pittoresques de nos tableaux.
Chaque fascicule est un tout complet. Il ne contient pas tout ce qu’on peut photographier sur un sujei. Mais il ne contient rien
d’autre. Chacun porte au verso de la couverture la nomenclature de ce qui a paru et l’indication du numéro à paraître. Il paraît un fascicule
tous les quinze jours, alternativement avec les fascicules de : AUTOUR DU MONDE.
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Cette reliure coûte 2 francs. Mais elle sera laissée à 75 centimes à tous les
souscripteurs qui voudront bien détacher le bon joint à notre premier numéro. Elle ne sera fournie à 75 centimes qu’en échange de ce
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UTOUR
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Le
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Soavenit*s de Voyage
50' Fascicule de cet ouvrage )est
consacré à la
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Sites et
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Paysages
Éditeai?, 90, boclleVaPd IWofitpairûasse, Paris
IMF. MCl2nTB M
C>e, 8,
SVB
CBMFAQIW-'t'*, PÀBU.
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Imprimés et manuscrits
Description
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Livres et manuscrits provenant de la Bibliothèque de l'Université de la Polynésie française (BUPF), du Service du Patrimoine Archivistique et Audiovisuel (SPAA) de la Polynésie française ou de collections privées.
Text
A resource consisting primarily of words for reading. Examples include books, letters, dissertations, poems, newspapers, articles, archives of mailing lists. Note that facsimiles or images of texts are still of the genre Text.
Établissement
Université de la Polynésie Française
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Title
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Nos possessions françaises en Océanie : Tahiti, sites et payages, fascicule XLIX
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La couverture porte en plus : "Autour du monde aquarelles souvenirs voyages"
Source
A related resource from which the described resource is derived
Université de la Polynésie française (UPF)
Publisher
An entity responsible for making the resource available
L. Boulanger
Date
A point or period of time associated with an event in the lifecycle of the resource
1894
Date de numérisation : 2018
Relation
A related resource
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Format
The file format, physical medium, or dimensions of the resource
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A language of the resource
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Type
The nature or genre of the resource
Imprimé
Identifier
An unambiguous reference to the resource within a given context
O 517 (Fonds polynésien)
Coverage
The spatial or temporal topic of the resource, the spatial applicability of the resource, or the jurisdiction under which the resource is relevant
Polynésie française
Tahiti
19ème siècle
Rights
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